Ils passent dans un restaurant pas loin de la clinique, ils prennent à manger Mina qu’elle mangeait à la clinique pour gagner du temps, il était bientôt minuit. Fatima était pressée de se faire examiner, savoir si réellement il était possible de lui enlever ce fameux traceur de la tête. Mais en vrai, elle y croyait toujours pas, que s'était réelle, que ça lui arrivait a elle. Franchement elle attendait qu'on lui sort ça de la tete pour vraiment y croire.
Arrivés on l'examine, Mina mangeait en ce temps. Le docteur vérifie et dit que s’était possible de lui enlever cette nuit. Mais elle ne pouvait pas quitter la clinique cette nuit comme elle le voulait. Il faudrait au moin qu’elle y passe la nuit, qu'on lui prescrit des médicaments a prendre avec beaucoup de repos pour ne pas avoir de maux de tête. Elle accepte d'y passer la nuit n'ayant pas d'autre choix.
Mina finit de manger, on l’examine aussi. On faisait faire encore en même temps d'autres examens a sa sœur. Dieu merci elle n’avait vraiment rien. Après se fît l'operation de Fatima. Quand ça se termine, on l'installe dans une chambre Mina reste à ses côté ou elles passent la nuit. Mais seulment Fatima dormait sous l'effet de l'anesthésie, elle, elle veillait sur elle.
Elle est réveillée à 6h passé, et voulait qu'on lui enlève coût que coûte la bande autour de la tête mise après l'opération. Elle préférait quelque chose de moin visible, discrete. Le médecin examine d'abord voir son état qui semblait stable et rassurant avant de lui faire un autre pansement avec une colle à plaie, en protégeant bien la plaie. Comme elle était presque derrière la tête elle pouvait le cacher avec les cheveux où s'il faut avec un foulard.
Avant de quitter la clinique, elle reçu quelques conseils, comme bien se reposer, beaucoup dormir et prendre les médicaments qui lui étaient prescrit comme il le fallait. Elle voulu régler la facture, Jared lui dit qu’il s’était en déjà occupé. Elle voulu lui rendre son argent qu’il ne fallait pas, mais il n'était pas du même avis. Qu'il l le devait a ses frères, elle le remercie pour tout.
Ils arrivent a la maison vers presque 8h, Jared reste un peu avec elles. Ils prennent le pétit déje ensemble et discutent un peu après pour faire plus connaissance. Avant de quitter il les laissent sa carte de visite pour lui contacter si elles ont un quelconque autre soucis. Elles lui remercierent encore, Fatima lui de ne rien dit a ses frères a propos de tout ceci. Il lui promet de ne pas le faire, il trouvera quelque chose pour les rassurer.
Après qu’il soit parti, elles prennent leurs bains. Elle prend ses médicaments après et se couche pour dormir un peu, Mina aussi fait de même. Elles se réveillent vers les 11h, après leurs toilettes, Fatima raconte a sa sœur ce qui s’était passé avec les Ngom. Le problème du traceur et sa décision de s’éloigner d’eux car leur relation devenait de plus en plus dangereuse pour elles. Elle ignorait ce qu’elle aurait fait ou pu vivre, si quelque chose lui était arrivé avec son kidnapping, sans parler des parents a qui elle naurait su comment dire. S'était bien d’avoir la chance d’être aimé par des personnes riches qui vous offrent une vie rêvée. Mais si cela mettait tout le temps votre vie en danger, vous vous retrouvez chaque fois dans de mauvaises situations. Ç'en vallait vraiment la peine, même si s'était le pris a payer ? Elles devaient partir, loin de tout ça. Même si cela pouvait causés beaucoup de peine aux Ngom, ils sauraient leurs comprendre.
Mina était d’accord avec elle, elle a toujours été bien consciente des choses. Elles ne pouvaient vivre constamment dans la crainte que quelque chose de grave pouvait leur arriver. Elles avaient des visas, elles pouvaient rejoindre les jumeaux aux États-Unis. Même si les Ngom pouvaient les retrouver la bas, elles feront tous pour les eviter.
Elles decident d’aller d’abord en Guinée et parler de tout ça a leur mère. Profiter d’elle et de leur sœur, investir une partie de leur argent que les deux allaient gérer avant de rejoindre les jumeaux. Et plus tard après, au fure et a mesure elles réaliseront tout leur projets en faisant des vas et viens, puisqu’elles leurs visas étaient pour de longues periodes. Avant de parler de tout ça, Fatima avait éteint tout leur appareil. Pensant qu’elles pouvaient aussi être sur écoute, elle se méfier de tout maintenant.
Après leur discussion, elle les rallume. Mr Ngom devait l’appeler, il ne devait avoir aucun soupçon. A peine qu’elle les allume elle reçoit des messages venant d'eux et des notification de leurs manqués. Et avant même qu'elle n'aille le temps de les lire, elle reçoit un appel de Mr Ngom. Elle décroche sans le faire attendre
Fatima - Allô
Mr Ngomn- Bonjour ma princesse
Fatima - Bonjour mon roi
Mr Ngom - Ça va tu t’es bien reposé ?
Fatima - Oui bien et vous ?
Mr Ngom - Oui je me suis bien reposé aussi
Fatima - Dieu merci
Mr Ngom - Et Princesse Mina, elle va bien, elle n’est pas….
- Elle va très bien vous en faites pas, elle n’a rien eu.
Mr Ngom - Dieu merci, sauf que tu me manque. Je viens te chercher on va voir pour ta tête, si on peut l’enlever aujourd’hui ? Ou on laisse demain on passe du temps ensemble.
Fatima - Vous me manquez aussi mon roi. Mais en fait je….
Mr Ngom - On l’enlève aujourd’hui si c’est ce que tu veux
Il dit cela ne la laissant pas terminer, pensant qu’il avait dit demain pour le traceur, parce qu’il voulait pas l’enlever. Et ce demain qu’il lui dira encore autre chose…
Fatima - Non c’est pas ça, en réalité j’ai pas assez dormis. Avec Mina on resté éveillée presque toute la nuit.
Mr Ngom - D’accord je vois, je te laisse dormir alors le soir je t’appelle on va discuter.
- Ok a ce soir
- A ce soir ma princesse
Il ne voulait pas insister pour qu'elle ne sente aucune contrainte
Elle allait raccrocher, mais il semblait ne pas finit
Mr Ngom - Ma princesse
Fatima - Oui mon roi
Mr Ngom - N’oublie pas que je t’aime énormément et que je tiens a toi et princesse Mina aussi.
Fatima - Je sais mon roi, je l’oublie pas. Nous vous aimons beaucoup aussi.
L’attendre dire cela lui réchauffait le cœur et lui rassurait. Il était pressé de la voir le lendemain, il comptait la câliner toute la journée. La rassurer aussi qu’elle pouvait encore lui faire confiance, il fera plus les mêmes erreurs.
Mr Ngom - Merci ma princesse
Fatima - C’est quoi ce mot ?
Il rit et elle aussi
Mr Ngom - Désolé ma princesse j’avais oublier qu’il est pas sensé exixter dans notre langage.
Fatima - Alors on est d’accord la dessus
Ils rient
Mr Ngom - Je te laisse maintenant te reposer, a plus.
- A plus mon roi.
S’il savait qu’après ce dimanche il l’entendrait pas et la reverrait pas d'aussi tôt, il n’aurait jamais du la laisser sortir de chez lui ou se séparer d’elle au restaurant.
Après cet appel, Fatima prend la photo du studio, des meubles et des appareils électroménagers, tout ce qu'elle pouvait vendre. Elle les met sur une page d’annonce des étudiants. Il y’avait des étudiants qui pouvait avoir besoin de logement ou même pas les étudiants. Certain au lieu de traiter directement avec le bailleur, la personne préferait traiter avec la personne qui liberait, continue avec son contrat et en lui remboursant sa caution. Pour éviter l'augmentation du loyer après sa sorti, ou d'autre conditions supplémentaires.
Le loyer était déjà chèr a Dakar, les bailleurs ne manquaient aucune occasion pour encore augmenter. Ce qui n’est pas évident pour certains étudiant. Donc ils s’arrangeaient entre eux a travers les sites d’annonce d'étudiants et cela de fois pas que les étudiants. Tous ce dont cela pouvait faire leurs affaires aussi.
De même pour les meubles et appareils électroménagers ou autres... Ceux qui n'avaient pas les moyens de s'acheter de nouveux, s'en procuraient des deuxièmes main, c'est à dire ceux déjà utilisés soit en bon état, moin chèr et utilisable.
Après avoir publié les photos sur la page d’annonce, elles s’habillent et partent au guichet pour un retrait de 12000000cfa sur le compte personnel de Fatima. Ce qui était la moitié de la somme sur son compte d'étudiant. Ses dernières semaines Mr Ngom lui versait pas mal d’argent sur ce compte. Même avec le shopping qu’elles faisaient chaque vendredi avec lui ou Roger. Il lui disait que s’était pour leurs petits besoins, elle en riait dépassée. De telle fortune pour des petits besoin. Elle lui rappellait qu’elle avait un salaire. Il répondait aussi que s'était au cas ou ça ne serait pas suffisant. Et surtout qu'elle étaient des filles, elles avaient tout le temps des besoins. Elle savait pas exatement quoi lui qu'il arrête sans qu'il n'aille un argument a y apporter. Surtout il n’arrêtait pas de lui rappeller de lui laisser faire tout ce qu’il voulait pour elle.
Roger aussi s’y était mis. Il avait lui ouvert pour chacune d’elle un compte et les alimentait. Bien longtemps avant d’en parler a Fatima le vendredi d'avant, avant la disparition de Mina. Elle refusait d’accepter cela, pour elle ça serait trop abuser de leur générosité. Il avait essayé de lui convaincre, elle était catégorique, elle n'avait même touchée es documents des compte qu'il lui avait montré.
Elle pensait encore a tout ceci en faisant le retrait. On pouvait avoir toute les richesses du monde, mais si on n’avait pas la paix et la tranquillité qu'il nous fallait tout ceci pourrait être insignifiant pour nous.
Après le retrait de son compte, elle ne pense pas toucher celui de Mina. Elles allaient continuer a l'alimenter si tout se passait bien avec l’investissement qu’elles comptaient faire avec la somme retirée de son compte. Et si jamais elles arrivent a obtenir un bon travail quand elles rejoindraient les jumeaux. Tout compte fait avec les cartes visa qu'elles pouvaient effectuer n'importe quel retrait partout où elles pouvaient être.
Elles passent par le marché pour quelques courses. Mais avant elle appelle leur chauffeur en utilisant son ancien téléphone qui était avec Mina, les Ngom avaient pas ce numéro. Le chauffeur bougeait lundi, ça leur arrangeait. Elle ne voulait pas qu’elles prennent de vol, ils pouvaient sûrement se rendre compte qu’elles quittaient le pays.
Elle parle aussi au chauffeur des marchandises qu’elles allaient acheter, elle voulait que ça soit embarquer directement dès qu’elles finissent de les acheter. Comme ça elle n’auront qu’a s’embarquer simplement le lundi. Le chauffeur ne trouvait aucun inconvénient surtout qu’il bougeait lundi très tôt. Elles réservent une place pour quatre pour deux pour être à l’aise.
Ces courses ont pris presque toute la journée. Des va et vient entre différents marchés comme à leur habitude. Plus 1.000.000 de dépense et elles ont aussi remit 250000 au chauffeur pour leur transport et celui des marchandises. Il restait seulement leurs valise comme bagages a embarquer. Elles devaient bouger le lendemain a 10h. Elles rentrent à la maison presque a la prière du crépuscule après avoir aussi achetés des valises qu’elles laissent au vendeur en lui disant qu’elles enverrait quelqu’un les chercher un peu plus tard. Fatima est sûr que les Ngom les faisait surveiller, ça serait pas maligne de rentrer avec elles.
Elles montent d’abord voir leur voisines au dessus d’elles, leur demande si elles pouvaient les aider à les récupérer. En les expliquant simplement qu’elles avaient une connaissance dans les environs, elles aimeraient qu’elle leur voit rentrer avec. Elles devaient aussi les aider les embarquer avec le chauffeur la nuit quand elles auront finit de ranger. Elles acceptent Fatima leur donne l’argent pour le transport et leurs indique la place du vendeur au marché. Elle leurs donne quelque chose aussi pour le vendeur pour qu’il comprend qu’il s’agit d’elles et le vendeur devait aussi l’appeler pour plus de sûreté.
Elles redescendent avec elles, mais elles dans leur studio. Fatima allait vérifier pour l’annonce pour le studio et les meubles, quand elle reçoit l’appel d’un Monsieur qui était intéressé. Il voulait passé directement ce soir voir l’endroit a l’œil nu, si ça lui convenait encore comme sur la vidéo il le prennait directement. Juste question de plus d’assurance. S'était un nouveau marié pas trop de moyens, le prix lui convenait. Fatima lui donne rendez-vous après les prières a 21h, elle l’aurait finit de parler avec Mr Ngom qui devait l’appeler.
En mettant les photos sur la page d’annonce elle n’était même pas sûr d’avoir quelqu’un dans cette urgence, elle pensait comment faire. Mais on dirait que la chance était de son côté. Quelque temps après, les voisines amènent les valises, elles les remercient de leur rendre ce service. Elles avaient profité entre temps après la prière du crépuscule, arranger pas mal de leurs affaires.
Après les prières Mr Ngom l’appelle, elle discute avec lui ensuite avec Mina. Elles rangeaient le reste des affaires en même temps sans qu’il ne comprenne. Au moment où ils parlaient Roger essayait aussi de la joindre. Il lui laisse un message pour lui dire de lui faire signe et lui demande pourquoi le numéro de Mina ne passait, il aimerait parler avec elle. Quand elles finissent de parler avec Mr Ngom c’est l’appel du Monsieur qui voulait le studio qu'elle reçoit, il était arrivé a fann. Fatima lui indique l’immeuble il arrive en moin de quelque minutes. Il visite le studio qui la encore plût, il le prenait avec tout ce qui y était. La chance oui, elle remerciait Dieu pour. Le Monsieur lui règle tout sur le coup, il devait payer la caution et les mois de loyer qu’elle a payée en avance, en plus le prix des meubles et appareils. Elle lui remet le contrat après et une des clés, le reste des clés elle le laissait avec ses voisines avec qui il récupéra. Elles montent après leur voir et leur explique en leur envoyant pas mal de truc qu’elles ne pouvaient pas envoyé avec elles. Elles leurs parlent aussi les valises étaient prêtes pour aller les embarquer. Elles étaient contentes pour toutes les choses qu'elles avaient donnée et elles les en remercient et descendent avec elles pour aller embarquer les valises. Elles reviennent après pour dire que s’était fait, elles leurs remercie aussi encore pour tout.
Au lit, maintenant que tout était fait, elles pouvaient dormir tranquillement, rentrer au pays le lendemain la tête posée . Mais cela s'était avant qu'elles ne commencent à parler réellement de leur départ précipité. Ça leur rendait triste, elles avaient beaucoup de peine de devoir quitter les Ngom, le pays de cette façon avec tout ce qu'elles avaient vécues avec eux. Tout ce qu'ils leurs avaient apportés, tout ce qu'elles avaient pu obtenir grâce à eux. Oui s'était triste et douleureux pour elles, se separer de cette manière c'est ce qu'elles auront vraiment souhaitées. Ils allaient leurs
manquer, malgré tout ils étaient devenus très importants pour elles comme elles étaient pour eux, mais il a fallut que tout soit si compliqué. Peut-être qu’un jour ils se renverront sûrement, mais dans de meilleures circonstances. Et si Dieu décidait qu’ils seront de nouveau réuni, cela arriverait. Pour le moment il fallait qu’elles s’éloignent, leur lien restait dangereux pour elles. Bien que dans la vie il y’a des haut et des bas, elles aimeraient quand même avoir une vie tranquille, moin mouvementée. Elles finissent par dormir sur ses pensés.
Le matin, dès après la prière, elles se préparent en s’habillant le plus simplement possible. Elles devaient donner l’impression d’aller au boulot, même si s’était très tôt pour ça, on penserait qu’elles avaient quelque chose a faire avant. Elles montent voir leur voisines pour leur dire au-revoir et leur donner la clé pour le gars. Quand celles-ci leurs ont demandés si elles rentraient au pays elles ont dit non, mais qu’elles quittaient quand-même le Sénégal. Elles ne pouvaient prendre aucun risque. Elles descendent après et quittent les lieux le plus naturellement. Elles rendent d’abord dans un point de transfère d’argent. Fatima fait la monnaie de 7000 dollars valeurs de 4250000cfa pour leur argent de poche pour les États-Unis et la place bien soigneusement dans son sacs a main. Il lui restait 6000000 et quelque centaines de mille cfa. Elle le transfère au compte de sa mère, celle-ci, l'appel sur le coup. Elle la rassure qu’elle allait tout l’expliquer, qu’elles arrivaient bientôt. Elle met le reste de l’argent quelque centaines de milles cfa dans son sacs pour le voyage. Elles vont ensuite partent à la gare ou le chauffeur les entendait. Durant toute ses opérations, elle avait encore utilisée son ancien téléphone et avait éteint l’autre lorsqu’elles quittaient à la maison.
A la gare elles s’embarquent donc pour Conakry avec toujours cette tristesse d’avoir quittés les Ngom, ils les manquaient déjà. Elles pensaient encore à eux et elles se disaient qu’ils étaient la meilleur chose qui leur soit arrivé dans leur vie, elles ne pourront jamais leur oublier. Car ils ont marqué leur vie à jamais. Elles garderont toujours en elles les meilleurs souvenir d’eux et aussi leurs amour inconditionnel pour elles. A leurs revoir un jour dans de meilleures circonstances, sans risques de danger.
Mr Ngom dans son bureau tentait et retentait le numéro de Fatima et celui de sa sœur, aucun des deux ne passait. Après que Mr Gueye lui aille avertit qu’il n’a trouvé personne chez elles quand il est parti leur chercher et leurs numéro ne passaient pas. Il était monté à leur, sonné plusieurs fois à la porte, il avait eu aucune réponse. C’est en ce moment qu’il s’est mis tenter aussi leur numéro et le faisait a chaque cinq minutes. Roger aussi s’y était mis aussi et s’était la même chose. Mr Ngom appel son agent qui les surveillait, ce dernier lui dit qu’elles étaient sorti très tôt, il n'avait rien remarqué de suspect avec elles. Il était dans le doute, pourquoi éteindre leur appareil, mais il attendait revoir quelques temps peut qu'elles feront signe. L'agent lui rendrait aussi des comptes, s'il a quelque chose. Au cas où elles reviendront.
Il s’était mis à penser a tout et a n’importe quoi. Es ce que elles avaient eu d’autres problèmes ce matin. Les Fall avaient des complices qui avaient profité de leurs sorties ce matin pour encore leur kinnaper toute les deux. Ou étaient-elles parties faire quelque chose d’important avant de venir à la cité et elles ne voulaient qu’il le sache ? Etc... Mais son réel soucis était pourquoi elles étaient injouables sur leurs téléphones. Ou-bien elles avaient finalement décidées de s’éloigner d'eux ? Non il refusait de penser à cela, tout avait l'air normal. Il avait bien parlé avec elles la veille, il yavait rien de douteux ou d’anormale qui pouvait lui faire penser cela. Alors qu’es ce qui se passait réellement ? Toutes ses questions et des doutes se bouscoulaient dans sa tête. En réalité il ne savait pas à quoi penser réellement. Il commençait en s’inquiéter et Roger aussi. Ils essayent de se rassurer du mieux qu’ils pouvaient pour ne pas se laisser gagner par la panique et voir la suite des choses, et puis s'était trop tôt pour se faire des idées. Mais s’était facile a dire qu’a faire, avec qui était arrivé à Mina ils ne pouvaient être tranquille.
Il voulait vérifier le traceur de Fatima, il n’en avait pas le courage. Vu la façon dont elle l'avait pris, quand elle a su, il n’osait plus voir avec ce traceur encore moin entendre parler.
A 10h, alors qu’il retentait encore leur numéro, l’agent l’appelle. Il était aussi aller voir chez elles, frapper a la porte, personne ne répondait, elles pouvaient être la. Il attendait de demander aux voisins,a cette heure l’immeuble est presque que vide. Il lui tiendrait au courant dans la soirée ça trouvera que les étudiants sont revenus des cours. Puisque presque tout l'immeuble était habité par les étudiants.
Qu'est ce qu'il pouvait bien faire si ce n'était qu’attendre, et continue à chercher les infos sur leur silence. Cela ne l’enchantait guère, il n’était pas tranquille. Il voulait déployé de bons moyens, mais il se disait aussi que s’était encore trop tôt pour ça, et puis il n’était pas sur que quelque se passait réellement. Roger lui parle du traceur, il dit non, elles doivent sûrement avoir envie d’avoir un moment privé. Il ne voulait plus d'autres soucis avec elle, le précédent était encore fraîs. Ils pouvaient au moin attendre jusqu’au soir voir, elles finiront par allumer leur téléphone.
Ils décident donc d’attendre le soir. Mais durant toute la journée ils n’ont pas arrêtés tenter leur numéros, aucune suite. Aucun des deux n’a pu rien faire n’a pu faire de concret, ils étaient réellement stressés. A l'idée qu'il puisse leurs arrive autre chose, où qu'elles aillent réellement pris leur distance.
Vers 18h, Roger avait décidé de ne pas écouter son père et vérifie le traceur, ça donnait plus de signal. Comment était - il possible alors qu'on lui avait pas encore enlevé. Il va voir rapidement dans le bureau de son père pour le lui dire. Il trouve l’agent chargé de leur surveiller avec son père et qui lui disait que les sœurs Chérif avaient quittées le pays, il l'avait appris de leur voisines au dessus d'elles. Par contre elles ne savaient où elles allaient exactement, elles avaient juste dit qu’elles quittaient le Sénégal. Roger était incapable de bouger de la où il était, au beau milieu du bureau de son père, sous le choc. Son père arrivait pas parlé, il fixait l’agent sans rien dire. Un moment il finit par lui remercier et le libèrer. Il baisse la tête anéanti, Roger se rapproche et va coté de lui.
Roger - Papa…
Il relève la tête et le regarde
Mr Ngom - Elle a finalement décidée de seloigner sans rien me dire. Elle est partit sans me dire au-revoir, elle m’avait pas pardonnée.
Elle a seulement essayer de me consoler un moment pour que je me doute de rien. Elles nous ont quittées Prince.
Roger le regardait avec beaucoup de tristesses, s'était douleureux. Même pour sa mère, de toute sa vie, il n'avait jamais vu de telle peine dans ses yeux. Il était meurtrie, lui de même.
Il avait mal, il avait tellement mal, qu’il était incapable de dire ce qu’il ressentait réellement en ce moment. Sa princesse d’amour l’avait quittée et il ne savait pas comment le vivre.
Roger lui prends dans ses bras pour le réconforter.
Mr Nfom - Mon prince, ma princesse a finit par partir.
Roger - Ça va aller papa
Mr NGom - Comment le vivre ?
Roger - Suis la moi Papa, je serais toujours aà tes côtés, on va le surmonter ensemble, toi et moi, comme toujours.
Mr Ngom - Pourquoi, elle m’a rien dit, pourquoi ?
Roger - Je crois qu’elle eu peur de te le dire, pour ne pas te voir dans cet état ça n’aurait pas été facile pour elle non plus.Tu sais combien qu’elle t’aime aussi, elle n’a pas dù avoir le choix. Elle a eu peur de tout ce qui leurs arrivaient.
Il n’a plus rien dit. Il se sentait pas bien et il n’avait plus la force de rester au bureau. Ils sont rentrés tout les deux.
Chez lui, ils directement monté dans sa chambre. Son fils décide de le laissé seul un moment avant d’aller a ses côtés, il en avait besoin, lui aussi. Ils étaient tout les deux abattu, mais il voulait garder la force pour lui. Même si ça allait être difficile, il faudra par ce qu’il savait comment son père pouvait être quand il perd une personne qu’il aime. Ça lui rappellait quand sa mère leurs a quitté. Il lui a fallut du temps pour qu’il apprend a vivre avec, mais il jamais réellement su s’en remettre. Cette douleur restait enfouie quelque part en lui, il essayait de ne jamais le montrer depuis. Il avait peur que le départ Fatima ouvre a nouveau cette blessure du passé. C’est pourquoi il devait être la pour lui, même il restait encore plus anéanti que lui. Fatima est l’amour de sa vie, ce qu’il ressentait pour elle, il l’avait jamais ressenti pour aucune femme de toute sa vie. Sa Tima, lui qui ne vivait maintenant que pour elle. Tout ce qu’il faisait en ce moment s'était essayer de devenir quelqu’un de meilleure pour elle, digne d’elle, qui la mérite vraiment. Il faisait tout son possible pour qu’elle partage les même sentiments qu’il avait pour elle. Cet amour fou, démesuré accompagné d’un terrible désire dont il contrôlait avec un effort surhumain. Il l’avait déjà dans la peau, elle vivait en lui, elle s’était planté en plein milieu dans son cœur, impossible de la sortir de la.Couché sur le dos sur le canapé dans sa chambre, le regard vers le haut, mille une pensée se vagabondait dans sa tête. Tout ce qu’ils ont vécu avec elle et sa sœur. Ces moments inoubliables, aussi bons que mauvais, il garde de meilleure souvenir. Il tapote sur son téléphone pour voir des photos et des vidéos d’elle. Il tombe sur une, celle qu’il avait fait avec Abdoul, lorsqu’elle était en convalescence chez eux et qu’elle avait décidé avec sa sœur de se promener dans le jardin et qu'elles ont sur la terace où elles dansaient. Il n’a pu s’empêcher de rire, a cause des commentaires de Mina, en gardant le regard le sur sa sur la vidéo. Une larme lui perle les yeux sans qu’il puisse le retenir. Elles allaient lui manquer, surtout sa Tima, il ne pensait pouvoir lui remplacer, s’était imaginable pour lui. Soit il l’entend en attendant de trouver de meilleurs moyens pour la rassurer pour qu’elle se sente capable de revenir. Ou il préfèrait restait ainsi pour le restant de ses jours. Mais pouvait - il réellement vivre sans elle ? Non s’était impossible, alors la première option semblaiétait être la bonne. Il devait trouvé des moyens qui les rendraient aussi inaccessible que intouchable.
Son père aussi dans son lit, faisait la même chose que son fils, regarder leurs vidéos et leurs photos. Il restait longtemps sur certaines, comme celles sur les quelles elle est dans ses bras entrain de lui sourire. Il y’avait une vidéo qui aimait le plus aussi, c'est Roger qui l’avait pris alors qu'elle était dans un fou de rire, durant un jeu qu'ils faisaient. Il adorait regarder cette vidéo chaque qu’elle lui manquait ou que l’envie lui prenait. Il finit par se focaliser par celle-ci et la regarder en boucle, ça lui réconfortait un peu, ça arrivait a lui faire rire. Mais a chaque fois que la vidéo finissait et que ça devait reprendre, ça lui rappellait qu’elle était partit. Il pouvait pas dire a quel point s’était insupportable pour lui.
Il se rappelle d’un jour avant qu’elle ne s’en endorme dans ses bras, il l’avait chatouillé en lui faisant des bisous. Jusqu’à avoir peur qu’elle se mettent a pleurer. Elle s’était endormie en moin de quelque minutes après. Ça lui avait tellement fait rire, lui, Roger et Mina, s’était trop bizarre.
Il aimait la voir rire, il aimait son rire contagieux avec son éternelle douceur. Il aimait ce calme et cette tranquillité qui lui quittait jamais, sa princesse d’amour. Il ne pouvait pas supporter son éloignement, s'était insupportable. Il devait la retrouver, mais était-ce le moment ? Fallait-il pas laisser un peu temps comme Roger le pensait ? Chercher des moyens plus efficaces pour la rassurer avant. Que plus rien ne lui donne envie de s’éloigner d'eux. Oui s'était ça la meilleure solution, mais il devait le faire le plus vite que possible, car il ne pouvait pas rester longtemps dans sa nostalgie.