Chapitre 14

6 1 0
                                    


Au lieu de ranger les nombreux paquets, elles décident finalement de les déballer. Elles se regardaient avec de gros yeux voyant tout ce qu'il y'avait dans les paquets. Des paires de louboutin pour Fatima, des robes classe de soirées, des jupes, des tailleurs, tout sorte de haut, des sacs de marques, sacoches, des pochettes et plein d'autres accessoires. Pour Mina aussi s'était presque pareil mais avec plus de chaussures, de sport, baskets et de pantalon jean. Elle avait son prénom marqué sur les siens. Elle demande a sa sœur comment il avait su pour les baskets et les sports. Elle lui répond que c'est sûrement, le fait qu'il l'avait vu en prendre le jours ou ils ont fait le shopping ensemble au centre commercial de la cité. Et devait aussi se dire que c'est pas son style, puisqu'il le voyait pas portait.
Il y'en avait même pour Ami son prenom marqué aussi la dessu. Elles finissent par tout ranger tout avec plein de commentaire. Elles se changeaient pour la prière quand on sonne a la porte, s'était Ami. C'est Fatima qui va ouvrir la porte, elle saute sur elle, trop contente qu'elle sorte en fin de la clinique et qu'elle aille repris la forme.


Quand elles se séparent, elles s'installent. Avec sa sœur lui raconte leur week-end chez les Mr Ngom. Sa proposition pour que Mina vienne étudier a l'Institut de la cité, de revoir aussi sa décision de ne plus vouloir travailler a l'entreprise.
Ami - Chou je te conseille d'accepter pour Mina et de retourner travailler aussi. Peut être Dieu vous envoie Mr Ngom, pour aider a avoir une bonne réussite dans la vie. C'est pas tout les jours qu'on a ses genres de chances et c'est pas aussi donné a tout le monde. Il ya certaines chances qui arrivent une seule fois dans notre vie. Si on les rates c'est finit, on aura plus l'occasion d'en avoir. C'est la chance de votre vie, ne la laissée passer. En ce qui concerne les parents a vous de gérer ça. vous ne faitent rien de mal et vous avez rien demandés non plus. C'est lui qui veut vous aider, il faut accepter. En acceptant de se faire aider cela veut pas dire que vous êtes faibles oubien feneant, ou que vous donnez a la faciliter. Tu travaille déjà pour eux et Mina aussi étudie dans le but travailler.


Cela était une vérité, mais s'était pas facile pour tout le monde d'être la personne qu'on est pas ou qu'on ne veut pas être. Mr Ngom en faisait beaucoup trop et cela sans limite, sans modération. C'est ce qui les pertubait le plus. Ami leur dit qu'elles pouvaient gérer tout ça.


Elles lui parlent aussi de l'attitude de Roger. Elle confirme la même chose que Mina, mais Fatima ne voulait rien entendre et préférait lui parler des cadeaux aussi. Elles lui montrent et lui donnent pour elle. Elle avait aussi un peu de tout, elle en était très contente et les remercie. Par ce que s'était grâce a elles qu'elle avait tout ça. Elle leur demande de remercier Mr Ngom aussi pour elle, ce qu'elle ferait aussi quand elle le verra.
Elles finissent avec les cadeaux, Ami leur rend compte de 200.000 de la vente des marchandises. Mina dit qu'elle avaient aussi récupérée 275000, ce petit commerce marchait bien avec elles. Fatima en était ravi, Mina lui disait qu'elle l'avait bien formé tout comme Ami.
Elle faisait la même chose dès son arrivé a Dakar. Quand elle a commencé les cours, les gens l'aimait bien, surtout les gars, certains d'entre eux achetaient uniquement pour avoir plus de contacte avec elle. Ça l'aidait avec sa scolairité et ses autres besoins avant qu'elle ne se trouve du travail pour renforcé la satisfaction de ses besoins. Mais quand elle a arrêtée tout les deux, l'école comme le travail ça ne marchait plus trop bien. Si non à l'école même les profs achetaient par ce qu'il l'aimait bien auss. C'est d'ailleurs avec cette bonne relation avec ses professeurs qu'elle avait pu trouver du travail. Mais après s'était devenue un peu compliqué pour elle sans qu'elle ne comprenne trop pourquoi, des choses qui arrivent.

De bases elle était venue Dakar grâce a ses frères et sa mère ne voulant pas continuer ses études a Conakry. Ses frères se battaient corps et âme pour elles, surtout que qu'ils étaient les deux seuls garçons et remplaçaient leur père pour assister leur mère pour qu'ils arrivent a bien réussir. Dès le lycée, il avaient commencés aider pour les dépenses familliales, survenir au p'tit besoin de leurs sœurs. Tout ça grâce a des cours de mathématiques qu'ils donnaient a des élèves de collèges et certains lycéens comme eux. On les payaient bien pour ça et ils ont continués avec a donner des cours jusqu'à l'université et même après avoir finit. Maintenant des professeurs très compétant, doués dans leur domaines. C'est dans ça qu'ils ont envoyé Fatima a Dakar pour ses études. Avant qu'elle ne commence se débrouiller elle même pour serrer les coudes. Ce qu'elle faisait un peu ausssi avant d'aller a Dakar toujours avec ce petit commerce.

Fatima, Un Amour Dangereux Où les histoires vivent. Découvrez maintenant