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- Nous voilà dans de beaux draps. Dis-je en rigolant à Minho

Il venait de rentrer dans ma chambre au beau milieu de la nuit. L'obscurité rentrée par la fenêtre et seule, une simple petite chandelle, nous éclairer pour une si grande distance entre nos deux corps. Cela fessait bientôt un mois que nous nous étions embrassé. Beaucoup de choses, c'était passé dans le bloc, mais pas assez à mon goût, en tout cas, en ce qui concerne Minho et moi. Et j'avais décidé d'y remédier, ce soir même. Comme la plupart des soirs, Minho me rendait visite pour qu'on puisse parler sans avoir la peur d'être démasqué.

Je lui souris, je supposais qu'il devait avoir compris mon petit manège, et cela semblé le ravir. Je sortis de mon lit et lui sautais dessus pour l'embrasser fougueusement. Je ne savais pas s'il y avait des sentiments réels derrière ce baiser, lui aussi s'en moqué. Pour l'instant, le plus important pour nous, c'était juste nous deux et cette tension à faire bondir votre sang. Je fessais exprès d'esquiver ses baisers pour le mettre un peu en rage. Nous étions comme des bêtes ayant des désirs sexuels fugaces mélangées à la chorégraphie de nos corps, qui dansés au rythme effréné de la passion. 

Oui, nous n'étions pas amoureux, nous étions passionnés. 

Mes mains se mirent derrière sa nuque et je me mise à califourchon sur sa taille. Ses mains se placèrent sur mes fesses, me poussant davantage sur lui. Le monde autour de nous tourner, mais nous, nous restions intacts par cet incroyable effet qu'est la passion. L'amour n'avait pas la place dans nos vies et nous le savions. Simplement, nous vivions intensément chaque instant comme je lui avais promis.

 Nos langues se mélangèrent, le souffle nous manquer. Minho, s'assit sur le lit, sans nous défère de ce lien qu'unissaient nos corps. Je mis fin à notre baisé pour lui firent enlever son t-shirt. Je le regardais un instant, savourant le tableau qui m'étais permis de voir. Je le voyais me regarder, le pauvre n'osait sans doute pas bouger par peur de tout faire foirer. Je pris alors moi-même l'initiative d'enlever mon haut. Il me regarda à son tour, je n'en fus aucunement gêné, c'était cette tension qui me faisait vriller. Je commençais à l'embrasser partout, en débutant par le coin de ses lèvres en descendant de plus en plus. Des soupirs sortaient de sa bouche. Nous en voulant tout les davantage. Monsieur se leva et me fit basculer sur le lit. Il me fit enlever mon pantalon en douceurs et s'empressa à son tour de parsemer mon corps de baisers. Il s'attarda sur mon coup afin de descendre le plus lentement possible sur mes seins qui finirent par être très vite découverts de mon soutien-gorge noir. J'étais à présent en petite culotte devant lui. Son pantalon vola également à l'autre bout de la pièce. Nos corps en sueurs, alors que nous venions simplement de commencer, seul des soupir satisfait comblait le silence de cette pièce sombre. Bien vite, les caresses s'intensifiaient, le jeu était dangereux, mais la passion en valait le prix. Enfin après s'être assuré que tout allez bien, nous unissons nos corps pour n'en former qu'un. Enfin, nous vrillions dans une extase absolue. 

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⏰ Dernière mise à jour : Jan 30, 2022 ⏰

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