Hana Mitsura a été à l'un des plus grands lycées pour héros, Yuei.
Après une soirée mouvementée, seuls Momo Yaoyorozu et Denki Kaminari ont des nouvelles d'elle.
6 ans plus tard, Hana retrouve des camarades de classe.
Les enfants s'entendent bien...
Une enfant âgée de six ans regardait sa mère. Cette dernière, assise à la table de la cuisine, tirait une tête qui lui faisait peur. La mère se retourna vers sa fille, un doux sourire et une lueur dans le regard qui prouvait son amour.
— Oui, trésor ? Que se passe-t-il ?
L'enfant ne se lassera jamais de la voix mélodieuse de sa figure maternelle.
— Tout va bien ? — Oui chérie, ne t'en fait pas. Cette après-midi, on va chez tes grands-parents, ça te dis ? — Oh oui !
L'enfant appréciait par-dessus tout les après-midi chez son papi. Il était très gentil, il lui faisait des cookies à chaque fois qu'elle avait une bonne note à l'école. Il ne râlait jamais quand elle faisait une bêtise, et lui expliquait pourquoi ce qu'elle avait fait été mal.
— Tu veux mettre une robe, aujourd'hui ? — On ira faire un tour au parc ? Si on y va, je veux mettre un short ! — Si tu veux, tu peux mettre une robe et en dessous, tu mets un short ? Papi sera content que tu mettes la robe qu'il t'a offerte.
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La petite fille courait vers le terrain de jeu, son papi et sa maman s'étaient assis sur un banc. Un peu timide, l'enfant hésitait à rejoindre le groupe d'enfants qui avait l'air de s'amuser ensemble.
— Comment tu t'appelles ? Moi, c'est Yüna Midoriya !
La petite fille se retourna timidement, avant de se présenter.
— Je m'appelle Yun Mitsura. — Enchantée Mitsura-chan ! Ça te dit de jouer avec nous ?
Yun regarda un peu plus loin, les enfants regardaient les deux filles, en attente de sa réponse.
— Eum... pourquoi pas !
La mère sourit en voyant sa fille jouer avec d'autres enfants.
— Le temps passe vite, hein ? — Je ne te le fais pas dire, papa. Je ne l'a voit pas grandir. — Ahahah, ça nous a fait la même chose, à ta mère et moi. Tu as vingt-quatre ans, j'ai l'impression que tu es née hier. — N'exagère rien, ah... la mère soupira. — Son alter s'est déclaré il y a longtemps, déjà. Elle s'en ai servit ?
La mère soupira, encore, et se tendit: elle savait quelle question allait suivre.
— Elle a essayé, je ne te dis pas la galère pour dégeler toute une pièce. — Hana, cet alter... c'est celui de... ? — C'est celui de son père, oui. Sinon, elle aurait détruit la pièce... — Tu ne m'as jamais dit qui était-ce. Je sais que ta mère pense que tu ne sais pas qui c'est. Mais, tu le sais. N'est-ce pas ?
