Black Widow X Gaella

Chapitre 29

POV Gaella

- Tu n'as aucun droit de m'appeler comme ça pas après ce que tu m'as fait. Et je te rappelle que nous sommes jumeaux.

- Dit moi. Quand est-ce que tu t'es rappelée de qui j'étais ?

- Y a 2 mois environ. Comment as-tu peut m'abandonner ?

- Gaella, je ne le voulais pas, mais ils m'ont dit que tu étais morte au cours d'une expérience qui aurais mal tournée.

Je sers les dents et le regarde droit dans les yeux.

- Tu savais qui j'étais ce jour-là ? Demandais-je froidement

- Oui, mais...

Il se rapproche de moi.

- NON ! Recule. S'il te plaît.

Il lève les bras et recule de quelques pas.

- Oui, ce jour-là, je savais qui tu étais. Me dit-il les larmes aux yeux.

- Alors comment as tu pu me faire ça. Dis-je en pleurant et en le frappant. Comment ? Comment ? Tu es mon frère, tu dois me protéger. Criais-je en continuant de le frapper. Réponds-moi pourquoi ? Pourquoi ?

- Je suis désolé. Me dit-il simplement en me bloquant et en me prenant dans ses bras.

- Non, non-lâche moi. Dis-je en essayant de me débattre. 

J'abandonne et m'effondre dans ses bras.

- J'ai été aveuglé pas la vengeance et tu t'es retrouvée au milieu de tout ça. J'en voulais aux parents de m'avoir caché que tu étais toujours en vie et de m'avoir fait subir tout ce qu'ils mont fait subir. Et aussi ce qu'ils t'ont fait subir. Quand, tu étais à l'hôpital, je venais prendre de tes nouvel tous les jours.

- Pourquoi tu n'es pas venu me voir directement ?

- Tu ne te rappelais pas encore qui j'étais. Et pour l'instant, j'étais encore l'homme inconnu qui t'avais privée d'une partie de ta jambe et qui en voulais à tes parents.

Je me décale de ses bras et recule de quelques pas.
Je commence à faire une crise et tousse en crachant du sang.

- Gaella ça va ? Crie-t-il en se jetant presque sur moi.

- Ou... oui... n... ne... t'inquiètes p... pas. Essayais-je de dire.

- Essaye de boire un peu. Me dit-il en s'approchant avec une bouteille d'eau.

La crise commença à se calmer et il me fit asseoir par terre contre une caisse.

- Tu m'expliques ce qu'il vient de se passer ?

- Ne t'inquiète pas tout va bien Hélios.

- Gaella ne me dit pas que tout va bien alors qu'il y a peine quelque secondes du cracher du sang en toussant.

- Toujours aussi têtue à ce que je vois. Dit je avec un petit sourire.

- Réponds-moi au lieu d'essayer de changer de discussion.

- Je ne sais pas.

- Ça dure depuis combien de temps ?

- 1 mois.

- 1 mois ? Et tu n'es toujours pas allé voir quelqu'un ? Me crie-t-il.

- J'y vais demain.

- Et ta copine elle es au courant ?

- Comment tu, sais que j'ai une copine ? Non, oublie question bête, tu as toujours un œil sur moi, je me trompe ?

Il détourne le regard et rougit.

- Hélios, regarde moi.

Il tourne la tête. Je mets ma main sur sa capuche pour l'enlever, mais il m'attrape le poignet, je le regarde dans les yeux et il me lâche. J'enlève sa capuche et pose ma main sur sa joue.

- Λυπάμαι αδελφέ, έπρεπε να σε προστατεύσω (Lypámai aderfé mou, éprepe na se prostatépso) (Je suis désolée mon frère, j'aurais dû te protéger).

Pendant plus de 3 heures, nous rattrapons une partie du temps perdue (si je peux dire) en se racontant tout ce qu'ils nous est arrivés pendants toutes ces années. Il m'a avoué en autre qu'il m'avait belle et bien mentis en me disant lors de notre « rencontre » qu'il s'était porté volontaire.

Mon téléphone sonne, je regarde qui ça peut-être et je vois que ces Natasha et qu'elle a essayait de m'appeler a plusieurs reprise.

- Merde.

- Qu'est-ce qu'il y a ? Me demande Hélios.

- C'est Natasha, elle a essayé de m'appeler plusieurs fois, je suis s morte si je ne la rappelle pas.

Je me lève et m'éloigne un peu.

* Au téléphone *

- Hey, coucou mon cœur qu'est ce qu'il se passe ?

- Ah, enfin, pourquoi tu ne répondais pas ?

- J'étais avec un ami qu'est ce qu'il se passe ?

- Je m'inquiétais, tu n'as prévenu personne de là où tu allais, j'ai eu peur.

- Chérie tout va bien, je rentre bientôt ne t'inquiète pas.

- Ok bon à toute à l'heure.

- Je t'aime bisous.

Je raccroche et retourne auprès de Hélios.

- Je suis désolée, mais il va falloir que je parte.

- D'accord pas de souci. On pourra se revoir ?

- Oui, bien sûr, je ne vais plus te quittais maintenant. Tu as déjà mon numéro alors on pourra parler et se retrouver facilement.

Je le prends dans mes bras une dernière fois et prends le chemin du retour vers le QG.