BLOOD OF THE DRAGON°°° l'avènement du chaos TOME 1

3) Qui suis-je ?

• Elisabeth •
°À Reelha°

De long Cheveux immaculés, deux grand yeux, des iris verts, et, un visage d'ange. Des lèvres roses et pulpeuses, peu sûr d'elle, c'est tout moi.

Je me suis auto- biographié comme la conne que je suis, la belle conne que je suis pour être plus précise. Je sens qu'à cause de moi, dès que l'aube arrive, mon père souffre. il ne le dit juste pour ne pas me blesser mais, je sais qu'il est déçu de moi, car, je ne peux encore lui donner un gendre plus encore, des héritiers pour le trône. j'ai presque vingt-huit printemps et je ne peux me résoudre à choisir un prince. J'ai eu beaucoup de prétendant détrompez-vous, néanmoins, ils avaient tous ce petit truc qui gâchait tout l'ensemble. Tantôt trop prétentieux, orgueilleux, peu sûr d'eux, ou trop avare des richesses parentaux. Bien qu'il y a le fils du régent de mon père, un grand brun ténébreux dénommé Arthur. On a peut-être batifolé une, deux fois...ou peut-être plus tout compte fait. Néanmoins, si mon Paternel apprend que j'ai souvent eu des rapports sexuels avec le fils séduisant de son régent, il lui fera coupé la tête. Tout a toujours un drame avec lui, mais, je lui comprends. Il m'a élevé seul. Ma mère est morte lors de l'accouchement. Je n'ai pas reçu l'amour maternel, et j'en ai grandement besoin. Ce n'est pas toujours facile tous les jours, quoi qu' ils pensent que la vie de princesse n'est que bonheur et luxe. Le stresse n'est que l'un de mes démons intérieurs, puis, vient cette peur d'être un fardeau pour mon père ,ou que je ne sois pas à la hauteur d'être reine et que je lui déçois.

Je suis en quête de savoir qui je suis en réalité, et je me sens tellement perdue rien qu'au commencement. Mon père me dit souvent que je suis comme ma mère, que j'ai herité de son fort caractère, et, elle me manque tellement. Je ne comprends pas comment quelqu'un peut vous manquer sans l'avoir connu. J'ai envie de savoir comment elle était, ce qu'elle faisait dans son quotidien, se sentait- elle aussi compressée comme moi je le suis par moment? Collins, le Régent de papa me dit souvent que ma mère était une battante, une rebelle, et qu'elle avait des capacités démente. Et pour cela, l'église lui a pourchassé pendant beaucoup d'hivers, car, ils voulaient la purifier d'une quelconque malédiction, c'est ce que m'a dit mon père. Je pense que cette dite malédiction est heriditaire à chaque jeune femme de la famille de ma mère. Je le suis, je le sens au plus profond de moi. Et je l'ai ressenti s'amplifié dans ce jour maudit qu'était mon anniversaire.

Ce jour là, comme à chaque fois, mon père organise toujours une grande fête pour mon anniversaire. Il invite quelques renommé, mais, je déteste ce jour qui est aussi celui, où, ma mère à rendu l'âme. Je suis né dans la tristesse, à quoi bon se réjouir en ce jour maudit.

Mon éternel combat a toujours été celui que je mène avec moi même. je suis mon adversaire redoutable. C'est à cause de moi que ma mère n'est plus de ce monde.

Je m'étais habillée d'une époustouflante robe émeraude choisit  par les soins de ma femme de chambre, Sabrina. C'est étonnant de voir combien elle a des talents de styliste cette fille. Elle est celle qui s'approche plus d'une amie pour moi. Sabrina n'a jamais cessé de m'épater.

— Si aujourd'hui un prince charmant ne tombe pas amoureux de vous, épouse Arthur le canon.

Et oui, elle le sait.

— Ce n'est pas aussi facile que tu l'imagines mademoiselle l'optimiste, me moquai-je.

On avait passé la plupart du temps à rigoler, au début de cette journée qui s'annonçait merdique comme tous les autres jours de mon anniversaire. Peu de temps après, quelqu'un frappa la porte, et je l'invitai à rentrer.

— Quand on parle du loup...me disait-elle d'un sourire narquois, je lui ai fais mine de bouder pendant qu'elle tournait vers la personne en question.

— Monsieur Arthur, rajouta t-elle accompagné d'une piètre révérence, qui eu au moins la décence de faire sourire l'intéressé. Bienvenue dans la demeure du princesse Elisabeth, elle vous attendait justement.