Recueil Harry Potter

• Agonie de l'âme •

Musique conseillé pour la totalité de la lecture : My Alcoholic Friend, The Dresden Dolls ou My Blood, The twenty one pilots.
Bonne lecture :)

Je suis entrain de mourir. Je le jures sur tout ce que j'ai de plus précieux au monde, je suis au bord de la mort. Je n'ai plus rien de toute façon, sauf cette âme sœur qui ne me verra plus jamais. Puis j'arrête de mourir, cette main glaciale desserre son étreinte sur moi. Je suis en larmes, j'ai peur et je regarde autour de moi. Jusqu'à ce que je le vois, ce tenant bien debout devant moi. Il me pointe du doigt et la honte me submerge, elle me tue, elle me brûle. Je ne sens même plus mes larmes coulées à toute vitesse sur mes joues, tout ce que je sens c'est ce regard. Puis il arrive, cette âme sœur dont les contours sont floues. Je ne peux même pas imaginer tout qu'il peut me voir et brutalement, me revoilà de retourne dans cette enfer. J'ai ma baguette en main, les gens hurle. Ou bien c'est moi ? Aucune idée. Je ne peux pas combattre, je ne peux plus combattre. C'est au-dessus de mes forces, tout est au-dessus de mes forces, combattre est au-dessus de mes forces. Continuer est au-dessus de mes forces, c'est impossible.

"Pénélope !"

Et c'est reparti. Je ne retourne même pas parce que je sais que ce que je vais voir vas me détruire, sans aucun remords, aucun regret, aucune pitié. Je serres les dents mais rien n'y fait, j'ai rêvée des milliards de fois de cette voix. Je me retournes et il est devant moi, en chair et en os. Il me souris, ce sourire qu'il ne l'a pas quittée même dans la mort. Ces cheveux, ce sourire... Par Merlin. Je vais m'évanouir. Je ne peux pas, je suffoque, je meurs, je tombes.

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"AAAHHH !"

C'est en hurlant que Pénélope ce réveil, le corps tremblant et les joues baignés de larmes. Heureusement qu'elle est seule, autrement elle aurait percée les timpens de son/sa colloc. Elle ne respire presque plus et mets aussitôt sa main sur son torse avant de fermer les yeux. Elle essaie de calmer les battements de son cœur, de son âme mais rien ne fonctionne. Son rêve lui revient en boucle, comme des milliers de poignards dans son cœur en miettes. Pénélope essaie de reprendre le contrôle d'elle-même mais au fond, elle maudit tout ça. Elle maudit cette putain de guerre, Voldemort et ses putains de partisans, son avenir putain de volé sous ses putains d'yeux. Pénélope a envie de vomir, d'hurler, de tuer quiconque viendra dans sa chambre. Mais elle ce contente de ce lever si vite qu'elle manque de tomber, sort du doctoire et cours. Elle cours jusqu'à ce que sa poitrine la brûle, comme dans son rêve. Comme si elle en voulait à son corps et dans un sens, c'est vrai. Elle ce fiche bien de tout ces tableaux, il n'en à qu'un qu'elle veut voir. Pénélope manque de tomber au virage et quand elle arrive devant le tableau en question, sa respiration ce bloque.

C'est à peine si elle sent sa poitrine, si elle a conscience de tout ce qui l'entoure qui n'est pas ce tableau. Pénélope le regarde comme on regarderait un souvenir, parce qu'au fond, c'est ce qu'il est. Un putain de souvenir, quelque chose que l'on racontera aux repas de famille et qui fera chialer tout le monde. Pénélope ne peut pas accepter cette fin et elle mets sa main sur la pierre, dans une tentative désespérée. Elle tombe, que ce soit sur le sol ou dans son esprit. Elle tombe et elle sait que c'est une chute sans fin. Pénélope sombre et elle en oublie ce qu'est que la lumière. Elle n'arrive pas à respirer, penser, vivre. Tout ce qu'elle voit, tout ce qu'elle est capable  de voir, c'est ce putain de tableau. Elle le déteste et elle l'adore, elle ne peut pas le voir et elle vient ici tout les soirs. Pénélope n'a aucune idée de ce qui lui arrive, tout ce qu'elle sait c'est que ça lui déchire l'âme. Elle ne peut juste pas vivre sans lui, sans son amour, sans son corps, sans... Sans lui à ses côtés. Impossible.

Elle mets une nouvelle fois une main sur son coeur mais rien ne suffit plus. Elle n'y arrive plus. Elle devrait détruite ce foutu tableau mais ce serait détruite ce qui lui reste de cœur, d'âme. Pénélope regarde cette personne qui continue de lui sourire et elle étouffe en plainte pathétique, comme celle que pousse un animal avant de mourir. Parce que c'est exactement ce qui lui arrive ; elle est entrain de mourir à son tour.

Tant mieux. Comme ça, je pourrais enfin rejoindre mon Freddie.

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Bon... Je ne sais absolument pas d'où sort cette inspiration ni si ça veut dire que je reviens mais... Voilà du nouveau !

Je voulais tou.s vous remercier. Malgré le statut compliqué de cette œuvre, vous êtes toujours là et merci à tout.e.s les nouvelles/nouveaux qui sont arrivés en cours de route ! Vos retours me combles toujours de joie, même si je ne suis plus active !

Quant à ce recueil... Ah, je ne sais pas ! Cette écrit est venu tout seul et puis, j'ai un gros projet pour mon compte Wattpad (et plus, si j'ose espérer), mais qui prends du temps. Je n'ai pas envie de vous teaser plus, parce que je pourrais aussi tout arrêter demain (même si cette fois, c'est bien partit pour durer !).

Merci milles fois. Vous êtes des amours, jamais je ne cesserais d'être touchée et étonnée de votre gentillesse. J'espère que les ancienn.e.s ne n'en veulent pas trop de cette longue inactivité et malgré tout, cette OS ne signe pas pour autant mon retour. Je préfères être transparente et vous le dire. Honnêtement, j'ai aucune idée de ce que je vais faire avec ce recueil.

J'espère quand même que ça vous à plut, ça m'est venu comme ça ! X) (sorry, je sais, pour un poste depuis pas mal de temps c'est vraiment nul un OS triste mais bon on fais comme un peut hein).

Bisous sur vos nez (Et merci à Kaleenyl pour cette expression juste incroyablement adorable à mes yeux) ! <3

Chil_of_the_sun.