• Âmes soeurs •

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Marcus Flint regardait les étoiles, pensif. C'était le soir du bal et la musique était audible d'ici. Le Serpentard aurait dut passée une bonne soirée, en théorie. Néanmoins, la pratique c'était révélée bien différente. Marcus avait réussit à trouver une partenaire. Une jeune Serdaigle jolie, cultivé, intelligente et drôle. Il aurait dut être heureux. Mais durant tout le bal, il m'avait cessé de fixer Dubois. Ce dernier portait un élégant costume et avait coiffé ses cheveux. Et il y avait cette fille. Cette fille qui était avec lui, qui glousser tel une idiote, cette fille qui lui tenait le bras, qui l'embrasser. Cette fille qui était tout le contraire de Marcus. Ce dernier soupira. Il songea que les étoiles étaient libres, elles. On le les jugeaient guère, on ne leur imposé pas une vie dont elles me voulaient pas. Flint monta sur la rembarde, les pieds pendant dans le vide. Il regardait les étoiles. Elles étaient si belles.

Marcus fit une grimace en songeant que sa mère aurait désapprouver un tel comportement. En effet, Mrs. Flint était une femme de la haute classe sociale et plutôt riche. Elle faisait partie de ce genre de famille qui me voyait que par le sang dit "Pur". Elle détestait qu'on ce tienne mal, peut importe l'endroit et les gens l'entourent. Mrs. Flint reprenait sans arrêt Marcus lorsqu'il était enfant. Effectivement, le Serpentard avait était un enfant plutôt énergétique. Et à cette époque, il ce fichait bien de ce tenir bien. Ce qui avait fortement déplut à Mrs. Flint. Cette dernière avait donnée une leçon à Marcus et ce dernier avait comprit à cette instant qu'il fallait écouter sa mère.

Le joueur de Quittich releva la tête, respirant l'air frais. Mais il ce fichait bien de sa mère, à cette instant précis. Il me cessait de repenser à la soirée qu'il venait de passer. Le garçon serra les poings. Il m'aurait jamais regarder autant Olivier. Il m'aurait jamais dut, car Élise me l'aurait jamais vue autrement. Et il me lui aurait jamais avoué son homosexualité, prit d'un élan de courage. Elle me l'aurait jamais giflé en le traitant de pédale, en lui disant qu'il était contre nature, qu'il devrait avoir honte, et qu'elle le dirait à tout Poudlard. Élise me serait jamais partie, Marcus m'aurait jamais était incapable de la rattraper. Mais désormais, c'était fait. Il était sûr que demain matin, toute l'école le serait. Élise avait de nombreux amis. Le garçon sentit une boule ce formé dans sa gorge. Il avait suffisamment honte sans m'avoir besoin d'insultes. Le capitaine sentit une larme coulée sur sa joue. Étonnement, il la laissa faire son chemin. Marcus avait peur. Il avait peur de ce que deviendrait sa vie, après ce fameux bal. Il était certain que ses parents allaient en entendre parler. Et il savait dorset déjà qu'il me rentrerait guère pour les prochaines vacances chez lui. Flint songea que cela me lui manquerait pas. Une fois chez lui, il perdait toute confiance. Son père me cessait de lui rappeler à quel point il espérait un bon avenir pour lui, à quel point Marcus était un échec en vue de ses notes dites minables. Sa mère me manquait jamais une occasion de lui rappeler qu'il m'était pas distingué, que jamais une femme me voudrait de lui, de lui dire à quel point son grand-frère était mieux que lui. Marcus sentit ses yeux ce remplir à nouveau de larmes. Il détestait sa famille. Il détestait son frère, qui me voyait en lui qu'un obstacle à l'adoration de leur parents.

Flint songea que rien me le retenait ici. Il m'avait aucun ami. Et cela était compréhensif. Le garçon c'était réfugié dans cette carapace de méchant, dans ce rôle de Serpentard hautain. Il détestait ce rôle. Il détestait ce qu'il était devenu. Marcus repensa à l'enfant qu'il était, autrefois. Il un enfant souriant, joyeux, ouverts et timide. Mais au fur à mesure, il avait apprit à perdre toute innocence, à comprendre qu'on viendrait lui parler principalement par profit. Le capitaine de Quittich songea à Olivier. Ce garçon dont il était tombé amoureux, ce garçon qui avait bousculé toute sa vie, ce garçon qu'il faisait tout afin de croiser. Ce garçon qui le détestait. Ce garçon pour lequel il pleuré le soir. Ce garçon qui me l'aimerait jamais en retour. Cette pensée eu l'effet de briser le cœur du Serpentard d'avantage. Il sentit une douleur aiguë au niveau de son coeur. Il avait l'impression que l'on lui avait arraché. Marcus était-il condamné à regarder Olivier faire sa vie avec une autre, à le regarder le détestait ?

Recueil Harry PotterOù les histoires vivent. Découvrez maintenant