• Notre histoire folle •

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Il sortait du bureau de Rogue. Sa main était douloureuse, le professeur lui ayant fait écrire deux heures. Tout cela, car il avait défendu un élève que leur enseignant de Potion ridiculisait pour rien. Il regarda les taches d'encre sur son poignet et ses mains avec dégoût et partie vers sa maison. Sur le chemin, il entendit un bruit plus que suspect. Des pleurs.

Il ne savait qui pouvait bien pleurer et aussi tard, mais il était certain qu'une personne pleurait non loin. Il resta quelques instants immobile dans les couloirs, hésitant. Mais lorsqu'il a entendu Rusard arrivé, il partit vers les pleurs. Et la personne qu'il trouva le surprit. Charlie Weasley pleurait à chaudes larmes, les bras passés sur ses genoux contre son torse.

Celle-ci paru surprit, mais il lui fit signe de se taire. Il connaissait Charlie. Il avait beaucoup parlé avec lui l'année précédente, mais moins lors de leur début de dernière année, cette à dire cette année-ci. Il se rappelait avoir un crush sur le roux, ce qui était toujours le cas.

Le jeune Serdaigle lui montra d'un geste de la main la silhouette de Rusard et Charlie comprit. Après que le vieil homme soit partit, il s'assit à côté du jeune Gryffondor. Il ne savait pourquoi Charlie pleurait tant, lui d'habitude si rieur. Henris détestait le voir dans un tel état. Même si son crush l'évitait depuis peu.

Alors, Charlie lui raconta tout. Les disputes constantes chez lui, la fatigue des attaques contre sa pansexualité de certains Serpentard et Gryffondor qui avaient recommencé. Il n'en croyait pas ses oreilles. Pourquoi ne lui avait-il rien dit ? Henris avait envie de tuer les élèves insultant son ami pour sa sexualité. Il remarqua une larme coulait sur la joue de son ami et, par reflex, l'essuya avec son pouce.

Le visage peint de surprise du Gryffond prit une teinte rouge qu'il lui trouvait si mignonne. En réalisant lui-même ce qu'il avait fait, il rougit à son tour. Mais il n'arrêta pas son geste pour autant, allant jusqu'à prendre délicatement le Weasley dans ces bras. Le Gryffondor rougit, mais ne dis rien, se laissant aller dans ses bras, sans pour autant pleurer.

Il sentit ses joues chauffer et les papillons. Décidément, il lui faisait toujours autant d'effet... Après quelques minutes sans ne rien dire, sans n'échanger aucune parole, Henris entendit Charlie dire :

-Je suis désolé... Je suis désolé de t'éviter...
-... J'aurais fait quelque chose de mal... ?
-Non... Je... Tu me plais...

Il avait cru rêver. Il lui plaisait ? À Charlie ? Il n'était pas encore dans un de ses nombreux rêves ? Il fixa le roux, les joues rouges comme celle du Gryffondor. Il n'y croyait pas... Il fit alors une chose dont il avait envie depuis longtemps : il l'embrassa. Son amant paru surprit, mais répondue au baiser. Se baiser fut au début timide, mais fut bientôt sensuelle.

Leur langue s'était rencontrée, comme faite pour aller ensemble. Henris avait senti les papillons dans son ventre et cette sensation de bonheur. Charlie passa ses mains dans ses cheveux, se collant plus à son corps chaud. Quant à lui, il passait ses mains dans le dos du roux, des gémissements lui échappant de temps à autre. Une fois ce baiser finit, à bout de souffle, les joues cramoisies, ils s'étaient fixés. Il se perdit quelques instants dans le regard de son amant qu'il aimait tant. Il se sentit si bien, là. Avec celui qu'il aime.

-Tu me plais aussi. Avait-il dit. Je... C'était génial...
-J'avais cru comprendre en t'entendant, mon cher... Lui avait soufflé son amant à l'oreille, le faisant furieusement rougir. Haha, tu es hilarant !
-Même pas mignon ? Avait-il demandé en une moue, mais le sourire menaçant de se former sur son visage.
-Horriblement mignon... Avait murmuré Charlie en posant une nouvelle fois ses lèvres contre les siennes. 》

Recueil Harry PotterOù les histoires vivent. Découvrez maintenant