02

857 47 13
                                    



Il est soit venu me parler, soit pour se vider les couilles. C'était assez simple à comprendre, c'est vraiment dégoûtant.

- C'est pareille, homme femme, ça revient au même.

« Alors mon morceau de violon, vous l'aviez trouvé comment? »

- j'ai applaudis alors ça devait être pas mal.

Il commença à réajuster sa cravate et sa ceinture sauf qu'il a glissé en arrière. J'ai commencé à rire, il est soigné alors voir quelqu'un de snob tomber, c'est assez drôle.

« Aide moi, qu'est-ce t'attend! »

- J'ai pas le temps monsieur, au revoir.

Il est rester assis en me voyant sortir des toilettes et un de ses amis l'attendait devant les toilettes, il m'a regardé avec incompréhension.

J'ai rejoin mes copines, on s'apprêtait à rentrer alors qu'il n'est même pas encore minuit. On a pris beaucoup de photo ensemble.
Nous descendons du restaurant et chacune allait partir de son côté.

J'attends mon taxi qui ne devrait pas tarder à venir. Lorsque qu'une voiture s'arrête à mon niveau, la vitre s'est baissé et c'est encore lui.

« Tiens ton sac. »

- Ah merci.

« Monte »

Il gelait dehors alors je suis montée dans sa voiture, vu sa caisse, il doit être sacrément riche pour ce payer ça. Il m'a donné sa carte de visite et il y avait écrit Haitani Ran avec son numéro de téléphone.

- Bon monsieur Haitani Ran, déposez moi chez moi.

Ran: C'est payant.

- Je vous fais un virement, combien?

Ran: je veux en nature.

- T'as décidément choisi de me faire chier, c'est bon j'ai compris!

Il roula dans toute la ville pour trouver un spot libre. Je regardais l'heure, il était à peine minuit moins quart.

- Dans la voiture?

Ran: t'as d'autres endroit peut-être.

Il parlait beaucoup sur un ton sarcastique.

On est partis sur la banquette arrière, il a desserré sa cravate et commence à déboutonné sa chemise.

- En gros, tu te vides les couilles et après c'est fini?

Ran: Tu préfères qu'on fasse plus connaissance?

- Si tu m'emmène ou je veux, oui.

Ran: d'accord.

Il commence à sentir mon cou avant de placer sa langue pour laisser place à des suçons. Il m'embrasse de force afin de mordre mes lèvres, il glisse sa langue dans ma bouche, il m'embrasse doucement.

En enlevant sa cravate, il m'a fait allongé sur le siège, il retira sa chemise. Sa main se baladait partout sur mon corps, il retira ma culotte et passa sa langue et reviens m'embrasser.

- Bon ça suffit, déposez moi.

Il sort torse nu de l'arrière banquette pour aller sur le siège conducteur. Il a des tatouages sur le torse, ça donne un côté attirant.

Ran: T'habite ou?

Je lui indiqua où est-ce que j'habitais. Pendant le trajet, c'était silencieux, il me jetait des regards dans le rétro viseur.

- C'est là!

Il me depose devant chez moi, j'ouvre la portière et sors.

- Au revoir, j'ai votre numéro si j'ai besoin de vous.

Ran x ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant