Chapitre 3- Le zoo

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Nous sommes maintenant dehors se tenant côte a côte sur le petit chemin pave qui me fait vaguement penser a la route de pave d'or dans le magicien d'oz. Et c'est sa qui est merveilleux, partout ou je regarde j'ai l'impression de trouver des références a beaucoup de film. Sa se trouve je suis en ce moment même a Hollywood ou dans un rêve je ne sais pas trop. En tout cas même si il fait un froid de canard et que la plus part des pelouses sont recouverte de givre, sa fait du bien de prendre l'air dans un tel endroit. J'ai les mains enfouis dans mes poches et je grelotte mais j'aime cette endroit alors ce n'est pas si grave, cela en vaut la peine. Au bout d'un moment ayant les pieds geler Jackson me propose d'emprunter une des mini voiturette qui sert a faire le tour du domaine plus vite pour les employer. J'accepte avec joie étant frigorifiée.

Nous parcourons le grand domaine et je suis eblouie par toute les statuts qui se trouve sur notre chemin. Elles représentent pour la plupart d'entre elles des enfants qui ont un large sourire figer sur le visage. J'ai moi aussi un énorme sourire sur le visage en découvrant tout ce qui m'entoure. Ce n'est qu'un large étendue de pelouse mais c'est magnifique quand même.

Il y a énormément de bâtiments et je demande a Jackson de s'arrêter brusquement quand j'aperçois des enclos au loin. Il freine donc brusquement et je descend rapidement de la voiturette manquant de me casser la figure sur le sol, vite suivi par ses pas. Je me dirige rapidement vers le premier enclos et me rend compte déçu qu'il n'y s'y trouve aucun animal dedans. Je vois Jackson me faire signe de le suivre et il m'emmène dans ce qui semble être un autre bâtiments. Nous entrons et je découvre les animaux qui sont censée être dehors normalement. Mais a cause du froid je pense qu'il l'es installe ici pour qu'ils sois plus confortable et au chaud.

J'observe les différents animaux et m'approche lentement des lamas ayant un peut peur de ses bêtes. Je sais que ces bêtes crache et sa me dégoûte un peu. Quand Jackson aperçois ma réticence, il ricane et me tend sa main pour que je la prenne. Il nous fait approcher doucement d'un lama blanc et marron qui a l'air d'être gentil. Il pose ma main sur sa crinière et je le caresse doucement. Finalement il ne fais pas si peur que sa.

"Vous voyez il est sympa."

"Oui je me suis fait des ..."

Je ne fini pas ma phrase quand je m'éloigne rapidement en l'entendant faire un bruit bizarre. Jackson rigole fortement a ma réaction et quand je me suis calmer énerver contre lui, je me précipite vers lui le faisant tomber dans le foin moi sur lui. Nous rigolons tout les deux et il me sers lentement dans ses bras. Je me penche vers lui et sans vraiment savoir ce que je fais je pose mes lèvres sur les siennes. Je ne sais toujours pas ce que nous sommes tout les deux mais pour l'instant je ne m'en soucie pas, je veux juste en profiter. Il pose ses mains sur mes hanches me collant plus a lui, et je peux sentir qu'il a très envie de moi. J'en ai aussi envie mais pas ici. Je me retire de sa bouche et me relève pour lui prendre ensuite la main pour l'aider a se relever.

Nous reprenons notre route découvrant les autres animaux qui sont dans le bâtiment. Nous sortons quelque minutes plus tard et nous reprenons la direction de la maison dans la petite voiturette.

3 DECEMBRE 1992 NERVERLAND RANCH 10 H DU MATIN

Je viens de me réveiller et j'ère dans la maison pour me rendre directement dans la cuisine pour prendre mon petit déjeuner. Cela doit faire un peu moins d'un mois que je suis ici, et je dois dire que je m'y plais énormément. C'est un endroit merveilleux et avec Michael c'est encore mieux. Oui il est devenu Michael au fil des jours, et il m'a montrer la vrai personne qu'il est et j'avoue que j'ai été étonner de se changement de comportement. C'est peut être parce que l'ont étaient entourer de monde. En tout cas c'est beaucoup mieux ainsi. Si vous vous demander, non nous ne sommes pas ensemble nous passons juste du bon temps tout les deux. Nous passons quelque fois la nuit ensemble mais seulement pour dormir, je vous vois venir. Mais sinon rien de plus.

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