STRANGER THINGS One Shot

Billy Hargrove x nouvelle maman!lecteur

Avertissements : parle de sexe, de grossesse, de préjuice aux mères adolescentes, de perte de sommeil

Genre : FLUFF

Lorsque vous avez appris que vous étiez enceinte, vous ne saviez pas trop ce que vous alliez faire. Le père n'était personne avec qui vous vouliez élever un enfant et quelqu'un que vous aviez vu en passant une nuit. C'était un gâchis d'émotions et un peu d'alcool qui ont constitué l'erreur de l'enfant que vous alliez avoir. Après lui avoir dit et qu'il soit parti presque immédiatement, vous vous êtes permis de vraiment réfléchir à ce que vous vouliez.

Vous étiez encore dans votre avant-dernière année du secondaire et vous ne vouliez pas décrocher après tout le travail que vous aviez investi dans votre éducation au cours des dernières années de votre vie. Cependant, vous vous êtes retrouvé à vouloir avoir ce bébé. Même si le père était une blague, tu t'es dit que si quelqu'un pouvait le comprendre, ce serait toi.

Tout au long de la grossesse, vous êtes devenue amie avec certaines personnes de l'école et vous avez perdu certaines de vos amies régulières à cause de cela. Mais la chose à laquelle vous vous attendiez le moins était Billy Hargrove.

Il s'est présenté à l'école juste après votre accouchement. Tu étais assis devant l'école, regardant par-dessus le parking depuis la cabine téléphonique du parking. Vous revérifiez avec votre baby-sitter, lui disant qu'elle devait faire quelques choses supplémentaires. C'était le premier jour où vous alliez être pleinement conscient de votre petite fille, ce qui était très éprouvant pour les nerfs. Ce qui était un peu surprenant, c'est quand vous avez vu une voiture bruyante entrer dans le parking. Tu as poussé un soupir et raccroché le téléphone, le regardant s'arrêter brusquement.

"Hé connard ! Froideur!" cries-tu, agacé. Billy vous a regardé et vous a jeté un coup d'œil.

Et c'est ainsi que Billy Hargrove est entré dans votre vie. Fort, ennuyé et ennuyeux. C'est un peu comme ça que tu résumais ta relation.

Vous étiez tous les deux en train de vous intégrer à la vie scolaire. Tout le monde faisait semblant de ne pas parler de votre grossesse mais apparemment Billy n'en a pas eu vent jusqu'à ce que vous vous asseyiez côte à côte en deuxième période. Vous ne l'avez même pas remarqué au début comme la personne que vous connaissiez depuis ce matin-là, mais après un moment où il a essayé de flirter avec votre moi à moitié éveillé, vous avez remarqué qui il était.

Croyez-le ou non, bien que le début de votre relation ait été un peu difficile, vous vous êtes bien entendu dans vos niveaux d'agacement l'un envers l'autre et c'était plutôt parfait pour le genre de chose dont vous aviez besoin.

Au troisième jour de classe, vous vous étiez plutôt bien compris. Il avait entendu parler de votre fille qu'il avait élevée le deuxième jour. Pendant que tu étais stressée comme l'enfer étant toujours une jolie nouvelle maman, mais quand tu lui as parlé, tu as tout oublié pendant quelques minutes que tu pensais mériter.

Quelques semaines après le début de l'école et votre niveau de stress augmentant à cause du manque de sommeil, Billy, toujours votre partenaire de deuxième période, vous a frappé avec son crayon.

"C'était pour quoi ?" as-tu demandé en passant une main dans tes cheveux en désordre. Il haussa les épaules.

"On dirait que tu avais besoin de quelque chose de dur pour te réveiller", taquina-t-il en prenant ton crayon. Vous pincez les lèvres et arrachez votre crayon.

"Désolé, elle a été éveillée toute la nuit. Je n'ai même pas fait les devoirs. Je me sens comme toi », lui as-tu dit avec un petit rire. Il roula des yeux.

« Pourquoi ne prends-tu pas une baby-sitter et sors dîner ? » Vous avez haussé un sourcil.

"Avec toi?" Il haussa les épaules.

"Je ne vois pas pourquoi pas. Allez, tu mérites une nuit. Vous y avez pensé pendant un moment et y avez pensé, pensant sérieusement à ce que vous deviez faire cette nuit-là. C'était vendredi après tout.

« Je ne connais pas Billy. Je dois faire des choses pour elle et tout... »

"Vous le méritez. Mon meilleur partenaire de deuxième période doit sortir davantage ou les gens penseront que vous êtes un prude », a-t-il plaisanté. Vous avez roulé des yeux.

« Ça ne me dérange pas si les gens pensent que je suis prude. Je ne suis pas toi Billy bébé. Il se pencha sur le bureau.

"Mr.Hargrove, Miss.Y/L/N ça vous dérange de partager ?" demanda le professeur en s'appuyant contre son bureau. Vous avez hoché la tête et regardé vos notes. Il a frappé votre côté pendant que le professeur continuait. Tu lui as jeté un coup d'œil et il t'a donné des yeux de chiot.

Vous roulez à nouveau des yeux et acquiescez.

Vous avez prononcé une amende et il a souri, donnant une mini pompe de poing dans l'air.

Il est venu vous chercher chez vous ce soir-là. Vous deviez admettre que c'était plutôt agréable de se rhabiller. Vous avez tenu votre fille dans vos bras et la baby-sitter vous a regardé marcher dans la pièce, préparer et nettoyer les choses.

On frappa à la porte après le grand bruit de la camaro. Vous avez remis votre fille à la baby-sitter et elle vous a lancé un regard heureux.

Vous vous dirigez vers la porte et l'ouvrez. Billy se tenait de l'autre côté, appuyé contre le cadre de la porte, un cure-dent entre les dents.

« Tu es superbe », dit-il avec un sourire. Vous avez roulé des yeux. La baby-sitter s'est dirigée vers la porte, tenant votre fille dans ses bras. Billy se redressa et sortit le cure-dent, son sourire changeant totalement.

"N'est-elle pas juste la chose la plus mignonne," chuchota-t-il, roucoulant vers elle. Tu as souri et il s'est tourné vers toi. "Puis-je la tenir?" Il a demandé. Vous avez hoché la tête rapidement.

« Elle a sommeil », lui as-tu dit, mais il l'a prise dans ses bras, roucoulant et la faisant rebondir. Tu lui as souri sincèrement.

"Elle est adorable."

"Je sais", as-tu taquiné. "Allez, je meurs de faim." Billy hocha la tête et la rendit à la baby-sitter.

"Je l'aurai à la maison à 11 heures", a-t-il dit en désignant la petite fille. Tu roules des yeux et attrape son bras, le traînant dehors.

"Tu es stupide," marmonna-t-il. Il haussa les épaules.

« Et tu meurs de faim. Viens, je veux des hamburgers.