That Night all started

Chapitre 1

Point de vue Sydney.

Aujourd'hui, ça fait maintenant cinq jours que j'étais aller a ce concert et que j'avais trois suçons dans le cou.

Depuis Dimanche dernier, lorsque j'étais rentré au petit matin c'est à dire trois heures et que mes parents m'aient sermonné comme pas possible pour leur avoir fait une telle "frayeur", notez l'ironie puisqu'en réalité ils en ont rien a faire.

Ainsi, j'avais passé mes nuits à me demander d'où pouvait bien provenir les morsures violacées avec lesquelles j'étais rentrer.

Par ailleurs, le plus ignoble même après avoir vomit tout ce que j'avais insurgé avec mes amis cette nuit là, c'était de ne pas me rappeler de la personne qui m'avait fait ça.

Je ne me souvenais de rien du tout, juste du goût des lèvres de ce bel inconnu et de la sensation que j'ai ressentit lorsque nous nous étions embrassé.

Cette façon torride avec laquelle il c'était emparé d'elles, comme si elles le lui appartenaient depuis déjà très longtemps.

On s'était embrassé sans gêne, avec une aisance incroyable et avec désir et passion.

Durant cet échange de plaisir ou nos lèvres faisaient communions, nous fîmes abstraction de tout, et profitions de cet électricité naissante entre nous.

À la fin du baiser, j'avais ressentis un manque. Comme ci j'avais goûté à un plaisir interdit.

Néanmoins, ce qui m'énerve au plus haut point est le faite que j'ai oublié son visage, ce qui veut dire par ailleurs qu'en même tant j'ai perdu à jamais cette sensation de bien-être et de désir que me procurait son toucher.

Dans la même foulée, j'avais perdu l'opportunité d'avoir pu envisager quelque chose avec lui, par faute d'un abus impulsif d'alcool.

Ce serait vous mentir si je vous disais que j'ai voulus accepté l'hypothèse que tout ceci n'était qu'une illusion dut à cette boisson de malheur, mais, les marques présentes dans mon cou ne pouvait pas être sortit de mon imagination.

Me voilà ainsi, en train de cacher du mieux que je peux les morsures que j'avais dans le cou en portant des pulls à cols roulées, à croire que ce type de vêtement avait été créer pour cacher aux yeux des autres, les traces laissés par un amant quiconque.

Étant donné que nous étions au mois de Septembre et que l'été vient juste de nous quitter, j'imagine que c'est aussi un facteur apparent pour ne pas réveiller des soupçons auprès de mon entourage sur mes vacances de folies.

N'empêche que le temps frais qui accompagne ce mois est tout de même du mieux agréable. Car l'automne restera toujours ma saison favorite.

J'avais pus savourer du mieux que je pus mes dernières vacances de lycéenne en short et en crop top car cette année je rentre en dernier année soit l'année des Seniors, la Terminale.

Au compte d'aujourd'hui, il ne me reste que neuf mois avant de m'envoler vers un nouveau pays où je ferais mes études d'illustratrice/animatrice.

Un métier que j'ai toujours rêver de faire depuis le jour ou j'ai appris à tenir un crayon.

J'affectionne l'idée de pouvoir donner vie à la production de mon imagination. Un rêve peu commun, je vous l'accorde.

Par ailleurs afin de rendre mon rêve réalité, il faudrait que je m'envole pour une ville comme Tokyo ou cette discipline à un grand succès au près de la population.