Amour ou Devoir ! Tome 3 (Youssouf et Layla)

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Merci de vos différents retours, contente de vous lire, comme toujours.

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*** YOUSSOUF ***

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Sa femme toujours blotti dans ses bras, cette dernière semblé ne pas vouloir affronter son regard

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Youssouf : Ma brave lionne ne veut pas me montrer ses jolies yeux

Layla : J'ai trop honte de vous

Youssouf : Tu n'as pas à l'être

Layla : Hum

Youssouf : Je ne te veux pas sous mes pieds pour me demander pardon.
Je suis déjà satisfait de toi pour que tu veuilles y passer la nuit afin que je le sois, alors arrête de te torturer.

Layla : Je croyais vous avoir perdu

Youssouf : Pourquoi l'as-tu pensé ?

Layla : Vous ne m'avez pas fait signe

Youssouf : Toi non plus, juste les enfants et ta mère, la reine

Layla : J'avais peur de me faire rejeter

Youssouf : Je ne suis pas étranger à toi, encore moins dans ton état actuel

Layla : Hum

Youssouf : Je ne t'ai pas fait signe pour te laisser du temps de te remettre de tes émotions. Tu refuses toujours d'affronter mon regard alors que tu me connais suffisamment pour penser à ces choses.

- Lucide, tu n'aurais jamais agit de la sorte, je connais mon épouse.

Layla : Jamais

Youssouf : C'est passé, hunh

Layla : Oui, merci pour tout

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Elle déposa un tendre baisé sur ses deux mains, lui soulevant son menton souriant

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Youssouf : Je ne te laisserai jamais partir de toute façon donc aime-moi encore plus, ça vaudrait mieux pour nous, jeune fille

Layla : Tu as dû me prendre pour une folle, même si je l'étais

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Il l'a prit pour se mettre au lit, lui par dessus en train de la regarder

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Youssouf : Une folle que j'aime à la folie, je ne suis pas gêné de le reconnaître

Layla : (sourire) Dieu merci !

Youssouf : Ma belle djadja (sourire)

Layla : (rire léger) De 17ans en plus !

Youssouf : (rire léger) Regarde-moi ce bel jeune homme, on dirait que c'est sa mère qui l'a fait. Eh Allah !

Layla : (rire) Trop beau, je suis même jalouse comme ça

Youssouf : (rire léger) C'est pour toi seule mon amour et pour toujours inch'Allah

Layla : Oui

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Collant son nez contre le sien puis se mit à l'embrasser, passant de bon moment ensemble blotti l'un contre l'autre en train de discuter

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- Puis-je vous demander une faveur ?

Youssouf : Dis-moi

Layla : Accordez-moi quelques temps, je sais que Père l'a fait pour me protéger et que vous ne vouliez pas.

- Je vous demande juste un peu de temps pour mes enfants, s'il vous plaît.