D'un instant à l'autre, je flottais dans les airs et fus projetée dans ce pitoyable souvenir que mon hystérique de grand père avait fait resurgir. J'étais là, heurtée au sol, en entendant la sirène des secours, je restais dans la même position ne pouvant bouger aucun de mes membres, écrasés sur le béton. Je m'abandonnais soudainement jusqu'à l'évanouissement.
Lorsque que je me réveillais, des fils étaient branché sur moi, un bandage était compressé soigneusement autour de ma tête, de même pour mon abdomen, alors qu'un de mes bras était positionné dans un plâtre confectionné uniquement pour moi.
Plus tard, je sortais de ma chambre d'hôpital pour rentrer chez moi. Bien avant, on m'avait annoncé la mort de mes parents. Cet évènement m'affectait toujours, je m'étais mise donc à pleurer. Fille unique que j'étais je vivais seule. Quand ce fut l'heure de me coucher, mes yeux se fermèrent et le matin je me réveillais comme si rien ne c'était passé la veille.
Dans l'incompréhension, je retrouvais mes parents en train de petit-déjeuner. Dans l'après-midi, nous partîmes, en famille, direction un certain parc. Quand tout à coup, rebelotte, la voiture bascula et tourna en faisant des tonneaux. Je restais pétrifiée par la sensation que me produisait cette expérience, connue auparavant.
es secours déboulèrent sur le lieu de l'accident et me prirent en charge, pendant que je percevais avec peine, ce qui se passait. L'action de mon éveil se répéta et les quelques instants d'après je sortis de l'établissement avec les yeux gonflés par les pleurs et la fatigue. L'enfer se répéta pendant une dizaine de jours, deux semaines, tout au plus quand je compris que pour sortir de ce souvenir douloureux il fallait que je perde la vie. Au moment où mes parents s'installaient à l'avant du véhicule, je demandais à ma mère si je pouvais m'assoir sur ses genoux : elle ne fut pas priée qu'elle avait déjà accepter ma demande. Cet fois, je vis l'accident se dérouler en détail puisque j'étais présente sur le siège du côté passager. La route était déserte, c'est ainsi que je portais les preuves du crime de mon grand-père maléfique. Tant dis que l'automobile faisais des pirouettes, le pare-brise se cassa et un bout de vitre alla se loger dans ma gorge. Dans un cri strident, mes yeux affichaient le noir complet.
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Nouveau Depart. (Terminer)
ParanormalMa vie était tout à fait normal, j'étudiais la photographie dans une ville des Etats-Unis. Mais un jour je reçu un appel privé d'une personne très réputé, et depuis ce jour, rien n'est comme avant.