- je vous dis ça dans un petit instant...non désolé il est très occupé.
-C'est assez urgent, en fait.
-Je regrette mais ce ne sera pas possible.
-Alors pouvez-vous lui dire que c'est mademoiselle Tucker Kathrine?
-C'est d'accord"
Je l'entendais parler avec quelqu'un derrière lui, ils avaient l'air d'être en désaccord. Puis la conversation repris, néanmoins avec une toute autre personne:
"Bonsoir mademoiselle Tucker, je vous prie de bien m'excusé pour cette attente, vous vouliez me parler?
-Oui, merci de me recevoir. J'ai beaucoup refléchie et je voudrais finalement bien prendre le poste. Si la place est libre bien sûr.
-Je vois, nous ne nous sommes pas embêtés à chercher quelqu'un d'autre, vous avez un talent excepessionnel, les autres n'arrivent point à la hauteur de vos chevilles, si je puis me permettre. Vous commencerez dans quatre, voire cinque jours tout au plus. Nous vous finonçons le trajet et le logement. Vous décollerez demain à dix heures et demi, une voiture viendra vous chercher à l'aéroport.
-Merci sincèrement, au revoir et à bientôt monsieur Hayato."
Suite à cette information de mon départ, je préparais ma valise en prenant le stricte nécessaire, c'est à dire, des vêtements, deux paires de chaussures et des accessoires, ma trousse de toilette (y compris le maquillage), un guide sur le Japon, un carnet de note plus quelques stylos, mon chargeur de téléphone. Mon téléphone et de l'argent que je mis dans mon sac à main sans oublier mon précieux appareil photo. Sur ce, j'allais me coucher car demain était une journée sans repos.
Une sonnerie me réveilla, c'était l'alarme de mon téléphone. Je me levais, m'habillais, déjeunais et me lavais le corps pour ensuite appeler un taxi qui m'emmènerait à l'aéroport. Un klaxon se fit entendre et il était tant pour moi de partir de cette maison. Je pris ma valise, mis ma veste et rentrai dans le véhicule.
Une fois arrivée, je donnai, au chauffeur, la somme d'argent attendu par celui-ci. Je me présentais à l'accueil et montrai mon billet d'avion que monsieur Hayato m'avait envoyé par message. J'étais acceptée. Alors que je commençais à entrer dans l'engin, une voix masculine m'appelais, c'était le chauffeur de tout à l'heure qui m'apportait ma valise, je l'avais oubliée. Je le remerciais et grimpais, pour de vrai cette fois, dans l'avion avant que la porte ne se referme.
Le trajet se passa en dix-huit heures et trente minutes, je m'étais endormis durant ce dernier. En arrivant à Kyoto, je sortais de l'aéroport, puis un taxi vint me chercher pour m'emmener dans une célèbre auberge où je m'installais confortablement.
Je vins à la rencontre du directeur, dans son établissement, pour signer un contrat qui permettait de recevoir mon salaire et mes aides.
Plus tard dans la soirée, je décidai de visiter la somptueuse ville de Kyoto. Mon équipement de photographie et mon guide du Petit Routard en poche, je m'engageai dans la ruelle. Kyoto était une ville historique marquée par de immenses temples ornés d'or et de statues divines.
Plus loin dans mon exploration, je découvris la culture Nipponne : une odeur de sushi se dégageait des petits restaurants colorés, qu'on pouvait apercevoir le long des ruelles, des cerisiers en fleurs (ou Kumiko en japonais) décoraient les jardins municipaux, où les rares personnes qui s'y trouvaient, discutaient entre eux avec des voix et intonations mélodieuses. On pouvait apercevoir des enfants, courant dans tous les sens, jouant à des jeux comme Daruma Otoshi, Ayatori, Kendama, Go et bien plus encore.
de J'avançais dans mon excursion et découvris les ruines d'un parc, bien évidemment abandonné, qui paraissait lugubre, sinistre tellement il m'en donna les frissons. Je pénétrai un peu plus dans le parc, le vent était glacial, ce qui me paraissait étrange vis-à-vis du Japon, et sifflait bruyamment dans mes oreilles. J'avais même cru sentir l'effluve du sang et de la mort. Par chance, la fatigue commença à tomber (sinon je me serais aventurée là-dedans), alors je me devais de rentrer dans mon logement. Une fois arrivée, je me préparais à manger puis, je faisais ma toilette pour après aller me coucher.
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Nouveau Depart. (Terminer)
ParanormalMa vie était tout à fait normal, j'étudiais la photographie dans une ville des Etats-Unis. Mais un jour je reçu un appel privé d'une personne très réputé, et depuis ce jour, rien n'est comme avant.