Chapitre 15

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Une femme sortie du lot et vient alors te couler une gifle qui te fit reculer un peu plus loin.

- Mère ...

- Comment ose tu?! Comment peux-tu nous faire une chose pareil après tout ce que ce peuple t'as transmit comme valeurs ?!!

- Je n'avais pas le choix.

- Tu n'as jamais le choix a t'entendre parler!

- Quoi??! J'aurais du les laisser nous traiter comme de la merde?!  Ou alors me reproche tu de revenir car nos principes même nous défende de laisser des innocents payer le pris de leurs imprudences?!!

- Ne me parle pas ainsi! Tu viens en notre lieu sacré pour monter de voix?!

- Je viens ici pour vous retrouver et faire ce que aucun de vous ne veut faire!

Elle se mit alors a rire.

- Ma fille, tu est donc le symbole de la paix? De la perfection humaine?

- Il faudrait savoir ce que tu me reproche.

Elle souffla se mordant la lèvre supérieur en réfléchissant.

- Laisse moi juste une chance de m'expliquer, je sais que je ne suis pas parfaite et que mes erreurs on tendance a mener a de graves conséquences mais ma pensée ne peut être contrôlé par autre chose que ma détermination.

- Bien, tu as une chance. Convocations de réunion de crise dans une heure, tacher tout les deux de faire disparaitre ces cicatrices, Allie vous aidera.

Elle fit demi-tour et disparut dans un couloir creusé dans le rocher, le reste du peuple la suivit ne t'adressant pour la plus pars aucun regard.

Une jeune femme vous guida alors dans une salle a l'intérieure, il y avait la une fontaine a eau et de quoi vous laver, elle vous donna des vêtements  et partie. Tu regarda Arthur et vous éclater de rire.

- Elle t'as pas raté. (Arthur)

- Ce n'est pas très drôle elle aurait pu me fracturer la mâchoire vu comment elle m'en veut.

- Tu la ramènerais moins, faudrait qu'elle revienne moi ca m'arrange. (Arthur)

Tu lui donna une tape dans l'épaule en rigolant et en faisant mine d'être vexée.

- Boooohou fais gaffe ou avec la mâchoire qu'il me reste je te jette un mauvais sort.

Vous vous mettez ensuite dos à dos pour vous déshabiller et la laver vos cicatrices chacun de votre côté. Vous enfilez ensuite de nouveaux vêtements et vous dirigez vers la salle de conseil.

- Vous voila! Dit t'as mère lorsque vous arriver.

Une cinquantaine de personnes se levèrent et s'assirent quelques secondes plus tard.

- Tu voulais une chance, je t'en pris.

- Rothleg n'avait pas dit qu'il ne restait plus qu'une centaines d'Altaïriens? (Arthur)

- Et bien la magie faisant bien son travail il est facile de faire d'une illusion une réalité, Arthur. Dit t'as mère en souriant pour la première fois que vous étiez ici.

Tu sourit alors te sentant idiote de ne pas y avoir pensée, bien sur que t'as mère ne se serrais jamais laisser faire de cette façon.

- Qu'elle est le problème que ma fille seule ne peut régler? Cette assemblée attend.

- Je suis super contente de vous savoir tous vivants mais il faut que vous sachiez que ce n'était pas les soldats d'Asgard qui on envoyé l'attaque contre nous.

Des bruits de murmures se firent entendre dans la salle.

- Qui?! (?)

- Rothleg, mon père. (Arthur)

- Rothleg et d'autres Altaïriens sont revenus, ils ne sont pas morts.

- C'est n'importe quoi! (?)

- Impossible!! (?)

- Pourtant c'est vrai.

- Rothleg est revenu avec une armée bien plus grande et plus puissante que jamais, ils sont dangereux et veulent la mort de tout le monde, pas que d'Asgard. (Arthur)

Tu sourit a Arthur en le voyant engagé contre son père, celui-ci t'avais parlé quand tu étais en cellule du fait qu'il ne le soutenait pas mais il ne te l'avais jamais prouvé.

- Ils on pris Asgard, ils nous on attaqué  et veulent a présent le plein pouvoir, il veut notre mort a tous et cela ne saurais tardé, nous pouvons restez caché mais ils ne sont pas débille, le temps ne leurs manque pas, nous si.

- C'est très beau mais ce qui arrive a Asgard est mérité ... Commença t'as mère.

- Mérité? Il n'y a pas de mérite même pour les plus coupables d'entre nous a la mort, a la peur, a la torture, au vol ou quoi que ce soit d'autre! Pas dans un esprit digne d'honneur et de respect! Pas chez nous!

L'assemblée resta en silence, ils n'osaient s'opposer a de tel paroles, t'as mère plus loin te regardais, elle était fier désormais cela se lisait dans son regard.

- Nous ne sommes pas comme eux, nous sommes meilleurs qu'eux. Nous valons plus et ce pas par notre intelligence, pas par notre puissance ou par nos belles paroles mais par notre cœur et ce qu'on en fait.

- Asgard est dominé par Rothleg, il attend que vous signer un accord et que vous vous livrez a eux ... (Arthur)

- Hors de question! (?)

- Nous allons nous faire couper la tête! (?)

- Votre père n'a aucune parole, la question ne se pose pas! (?)

- Chris? Quand pense tu? Demanda t'as mère en coupant ces injures.

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Vous étiez a présent entouré par la plus pars des Altaïriens, certains sont resté a l'écart car il n'était signalé qu'une centaines de survivants donc pas besoin d'être plus.

T'as mère avait signé, le peuple et elle vous suivait a présent prés a affronter ce qui devait être affronté. Tu avais réussi a convaincre ton peuple en t'adressant directement a eux dans un discours.

Tu leurs avais porté toutes les dernières nouvelles dont celle de ton mariage qui ne te plaisais pas vraiment, tu te fit par ailleurs charrier par nombreux d'entre eux. C'était assez facile car un mariage a trois faisait beaucoup rire.

Vous prenez donc route avec les signatures, le chemin pour Asgard serra long, vous passerez néanmoins les montagnes en toutes sécurité malgré la fatigue des dernières nuits inexistantes et tes blessures qui ne guérissait pas aussi vite qu'avant. En mettais tu peut-être de la mauvaise volonté? Surement.

Arthur sembla se faire apprécier de votre peuple, il en reconnu des ami et trouva sa place même si il ne fit pas trop le malin sachant que les 3 "soldats" vous surveillaient encore du coin de l'œil.

C'est pourquoi le trajet ne fut pas très joyeux et d'énergie.

La princesse d'Altaïre (et Loki)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant