La princesse d'Altaïre (et Loki)

Chapitre 14

Le Gobelin cria un cris diffèrent de d'habitude, tu te releva avec un peu de difficulté et vient rejoindre les autres au centre.

- Je crois qu'il appelle ces copains.

- Pourquoi on pars pas tout de suite alors ? (?)

- On aura plus de difficulté à ce défendre dans ces chemins étroits qu'ici. Êtes vous un soldat ou une poule qui a pris la flotte?

Il fit mine base encore une fois. Une dizaine de Gobelins arrivèrent face à vous, ils vous entouraient près à vous sautez dessus au moment opportun.

Vous vous regardez droit dans les yeux, puis, ils s'avancèrent avec leurs cros et griffes peu entretenu vers vous.

L'un d'eux te sauta dessus, tu lui envoya un coup dans le ventre avant de lui trancher la gorge avec une dague. Les autres suivirent et vous attaquèrent tous en même temps.

Le combat commença, vous furent vite surpassé même si vous vous débrouillez assez bien. Tu fonça sur un des Gobelins qui tenais un des soldats sous son pied et l'envoya valser dans le vide avec un bout d'épée à travers la gorge.

- Merci. (?)

- Relève toi.

Tu te pris alors un coup de griffe par le bras ce qui te fit basculer en avant et tomber dans le vide. Tu te rattrapa à une partie de la falaise les pieds dans le vide et tenu par tes doigts.

Le Gobelin qui venait de te pousser vient vers toi, il fit mine de sourire et leva le pied pour écraser tes doigts et te forcer à tomber.
De ton autre main tu lui jeta un sort ce qui lui piqua les yeux et le fit reculer jusqu'à ce que tu ne le vit plus de la ou tu étais.

D'un coup tu le revit voler au dessus de toi et tomber plus bas, Arthur apparut et te tira vers le haut. Il était blessé aux bras lui aussi et un peu au visage.

Vous finissez alors de leurs mettre la pâté, deux d'entre eux prirent la fuite, vous vous dépêcher alors de partir.

- On y va, on a pas de temps à perdre.

- Nous sommes blessé Chris et toi aussi. (Arthur)

- Nous sommes mort si nous restons ici, les deux qui ce sont enfuis vont appeler leurs amis et ils reviendrons plus nombreux.

Vous reprenez donc le chemin vers les plages l'infusant le flan des montagnes escarpées.

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Vous arrivez tant bien que mal à sortir des montagnes, vous descendez la dernière côte.

Face à vous, les plus belles plagues de tout les royaumes, les plus dangereuses cette mais au moins elles sont magnifiques.

Elles s'étendent à porter de vue sur des kilomètres et des kilomètres, tu sourit en imaginant à quel point tu avais de la chance de bientôt retrouver ton peuple, en vit.

- Ok a réussi. Dit Arthur d'un ton vainqueur et enthousiaste.

Vous avancez plus loin, les pieds sur ce sol de sable te change de ces derniers temps que tu avais passé dans ces cellules du palais ou dans les montagnes enneigées de chez toi.

Vous vous posez pour vous répondez et vous soigner.
Le soleil venait de se lever, tu te posa plus loin t'essayant en tailler sur une pierre.

- Tu pense les retrouver où désormais? (Arthur)

- Je sais où ils sont.

- Pourquoi on y va pas alors? (Arthur)

- Je ne peut pas vous amener avec moi, en tout cas sûrement pas eux.

- Pourquoi pas? (Arthur)

- Je sais qu'ils travaillent pour Rothleg, ton père, je sais aussi qu'ils ne sont pas soldats mais messagers alors je me demande, qui est tu toi ?

Arthur resta muet en entendant ton résonnement, il regarda ces hommes puis toi.

- Leurs armes les trompent, ils sont armés avec les couteaux de cuisine de leurs grands-parents. (Arthur)

- Je me fiche pas mal de leurs armes, nous aurions pu mourir a cause de leurs inefficacité!

- Je sais, je sais mais ce n'est pas le cas. (Arthur)

- Encore heureux mais cela ne répond pas a ma question. Qui est-tu Arthur?

Il sembla déstabilisé par cette question car il resta sans voix un instant.

- Tu le sais qui je suis, tu veut juste savoir si tu peut me faire confiance ou pas. Ne ment pas Chris. (Arthur)

- Et bien oui, c'est exactement cela et j'attend toujours une réponse.

- Tu peut. Dit-il sans hésiter.

Tu le regarda droit dans les yeux sans parler.

- Alors on peut y aller?

- Je te suis cher cousine. (Arthur)

Vous partez prendre vos montures sous le regards paniqué des soldats qui étaient pris de cour lorsque Arthur leurs ordonna de rester là et de vous attendre avec les autres.

Tu le guida jusqu'au bout de la plage, de la le haut rocher prenaient place vous bloquant le quelconque accès. Tu vous fit arrêter là.

- Il n'y a rien ici Chris. (Arthur)

- Normal s'agirait de savoir escalader. Dit-tu en monta sur la falaise.

De légères traces sur ce rocher coupant indiquaient que des humains étaient passé par là, un sourire se dessina alors sur ton visage.

Vous risquiez de tomber a plusieurs moments mais parvenez enfin en haut avec un soupire de soulagement.

La vue était sublime, elle offrait une vision ample sur l'océan face a vous et les montagnes dos a vous.

Tu te repris et avança plus loin sur le rocher, face a vous une sorte de trou dans le rocher se dessinait ( image du chapitre), un puit de lumière d'où émanait de légères voix et mouvement de vie.

Tu t'avança vers le bord retenant Arthur de sautez la tête baissé.

-Hum Hum! Je suis Chris, nous sommes que deux, moi et mon cousin, Arthur.

Le silence emplit le sous sol, soudains après quelques minutes de silence profond une immense fumé bleu empli sous la force d'une demie-sphère le trou devant vous et disparut dans l'air.

- C'est quoi ça? (Arthur)

- Un champs de force, ca t'aurais gelé sur place si tu l'avais touché, la preuve que ma chère mère est vivante. Sourit-tu.

Vous sautez alors dans le trou, face a vous les Altaïriens c'étaient mis en arc de cercle, leurs visages étaient fermé et dur face a vous, ton sourire disparut.

- Bonjour, je ... Commença tu avant d'être interrompu brusquement.