Lorsqu'une princesse bien loin de son royaume vient seule pour régler des conflit sociaux après du grand Odin et de son peuple, elle n'aurait jamais imaginé se retrouver enfermé dans ce palace et dans une situation si peu accommodable.
Et pourtant...
Tu te réveilla de bonne heure, le soleil venait de se lever, tu pouvais le voir à travers la fenêtre. Le soleil éclairais légèrement ton doux visage.
Tu te leva en t'étirant et te prépara comme tout les jours :
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Tu descendit et salua d'un sourie toutes les personnes que tu croisa.
- Bonjour maman.
- Chris, comment ca va ? (?)
- Très bien, vois tu je suis de très bonne humeur ce matin.
Vous déjeuner ensemble et parler de tout et de rien, t'as mère te réprimanda sur t'as manière de parler qui ne correspond pas a celui d'un princesse.
Elle partie rejoindre ces invité et tu retrouva seule.
Tu te réfugia dans le salon ou se trouvait le piano, tu y passais ton temps lorsque l'envie te prenais. Tu commença a en jouer.
Tes doigts semblaient glisser sur le clavier avec une douceur qui se reflétait dans le son de la musique. Cela attira l'attention d'un des fils d'un invité en politique de t'as mère.
Celui-ci resta derrière toi et te regardait jouer en silence, il semblait captiver par la musique. Il attendit que tu est finie.
- C'est beau, tu en joue souvent? Demanda t'il.
Tu te tourna vers lui pour l'observer, il était plutôt fin de taille et assez grand, ses cheveux noir contrastait avec sa peau pale et ses yeux vert ressortait de son visage, il avait un certains charme tu te devait de l'admettre.
- J'y joue souvent, ca me permet de me changer les idées. Lui répondit-tu avec un léger sourire de politesse.
- Qui vous a donc appris cet mélodie ? Elle me fait penser a quelques chose. Répondit-il.
- De mon père, il l'a marmonnait souvent quand ca n'allais pas, depuis je la joue pour lui.
- Je suis désolé, j'ai du confondre. (?)
- Voulez vous essayer ?
Il releva la tête vers tes yeux, cherchant a cerné la blague que tu aurais pu lui faire ou a comprendre t'as question.
- Vous semblez en avoir besoin. Je sais que l'on ne se connaît pas mais la tristesse ce voit sur votre visage.
- Je ne suis pas triste. Affirma t'il d'une voix soudainement plus dur.
Tu rigola ce qui sembla le fâcher encore plus.
- Le déni n'est pas bon mélange avec les femmes vous savez ? Dit-tu en rigolant.
Comme réponse il souffla et allais répliquer mais une voix assez grave l'appela dans le couloir du palais.
