Le Loup d'Abidjan

Tueur à gage

Monsieur vous avez cinq minutes, pour transférer les trente milliards sur ce compte. Si non je tue votre femme et vos enfants.
[ transfert réussi].
Une détonation et plus rien. Des pleurs de font entendre.
Allez Allez Allez dépêchez monsieur le ministre vient d'être abattu.

[ Deux jours plus tôt ]...

- C'est bien César, aujourd'hui tu viens de terminer ta formation. Je te fais confiance, je sais que rien ne t'ébranlera. Après ta troisième mission, je ferais de toi mon bras droit.

- Merci mon Capitaine. Je suis disposé et à votre service. Répondit César, au garde à vous.

- Non, appelle moi Alexandre. Tu es maintenant mon ami. Mais j'ai bien une mission à te confier. J'espère que tu accepteras et que tu la tiendra à bien cette mission.

- Quelle Mission ?

- Voici L'ordre de mission.

[ Tuer le ministre de la justice, corrompus. Mais il doit être obligé de transférer trente milliards, sur le compte que vous aurez sur place. Avec discrétion. Il aura pas de couverture. La mission ne doit pas échouer]
Cette mission ne te rapportera pas dix millions, mais 8 milliards. Cette mission fera de toi un milliardaire, César. Mais tu continueras a travailler pour moi, jusqu'à ce qu'on décident qu'ils soit temps d'arrêter.

- Très bien. Quels sont les plans ?

Alexandre et César ce mit à parler...
En réalité, César après 8 mois de formation était arrivé à la fin de sa formation. Il avait bravé toutes les formations militaires possible. Il était formé à tuer sans etat d'âme. Il était fin prêt. Il était maintenant à même d'aller sur le terrain et accomplir ses missions

Pendant ce temps dans la ville se préparait une festivité, où tous les membres du gouvernement étaient conviés, ainsi que le président de la République. L'atmosphère était lourde et en même temps festive. L'armée circulait ça et là. A chaque coin de rue, se trouvait un militaire, pour assurer au maximum la sécurité de la population et de la ville jusqu'à la fin des festivités.
Ce jeudi, c'était le jour des festivités. A Vingt heures c'est l'arrivé du premier ministre à l'hôtel ivoire.
Le ministre de la justice était toujours en retard aux festivités. Pendant ce temps chez lui, l'atmosphère était aussi lourde que pesante.

- Monsieur le ministre suivez moi, il y'a une taupe dans votre système de sécurité. Dit un agent cagoulé, l'emmenant dans une pièce.

- Dépêchez vous je suis déjà en retard, ce n'est pas maintenant vous allez trouver une taupe. Répondit le ministre sur un ton épuisé.

- votre famille vous y attend monsieur le ministre.

Les deux hommes rentrent dans une pièce, et puis tout d'un coup l'agent de sécurité met un coup de coude au ministre qui s'effondre.

- [ Un coup de gifle] réveillez-vous ! Vous avez Cinq minutes pour transférer trente milliards dans ce compte. Si non je tue votre femme et vos enfants.

- je vais alerter les gardes dehors. Laissez moi sortir. Dit le ministre en train de se débattre

- Ils sont déjà tous mort. Crié comme vous le voulez personne ne vous entendra, et comme je n'aime pas le bruit, à Chaque cris je vous mettrai une balle dans le tibia de votre femme.

- Non, non, non. C'est bon attendez je transfère l'argent.

Deux minutes plus tard :
[ transfert effectué ]

- Très bien monsieur le ministre. J'ai pour ordre de vous tuer. Renchéri l'agent.

Puis tout d'un coup, le sang jaillit. Dans la pièce. Le ministre vient d'être tué. Mais avant mde disparaitre, l'agent remet un téléphone à la femme du ministre pour qu'elle appelle les secours.
Deux minutes, après les secours arrivent.

Allez, Allez, Allez Dépêchez vous, le ministre vient d'être abattu.

César avait réussi sa mission...

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A la fin de ce chapitre, César est devenu un tueur à gage.
J'espère vois revoir au prochain chapitre. Aussi merci pour l'engouement que vous apportez sur la nouvelle oeuvre poétique, " Les roses ont des épines".
J'espère vois revoir très bientôt, pour suivre l'évolution de César dans sa nouvelle vie.