Jeon Jungkook, un adolescent fraichement orphelin vient de retrouver son père disparue des radars depuis des années. Il entame son année de terminale au lycée le plus proche de son appartement et se voit chercher un colocataire afin de pouvoir boucl...
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Précédemment dans Ain't Nobody : Jungkook et Annah étaient parties pour Busan afin d'aller sur la tombe de la mère du brun. Ayant loupé le dernier bus pour rentrer sur la capital, ils prirent une chambre dans un motel le soir même, n'en restant qu'une seule.
Alors que Jungkook ressenti un mauvais pressentiment tout le long du chemin jusqu'au motel, ils se firent enlever et déporter à Séoul pendant leur nuit.
Se réveillant dans un hangar, Jungkook faillit laisser sa peau pendant un combat de haut niveau, s'effondrant au sol ensanglanté.
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SITE D'ENTRAINEMENT INTESIF QG, SÉOUL
17h00
Mort de fatigue et de faim, mes genoux rejoignaient le sol froid et sanguinaire.
L'énorme porte blindé du hangar s'ouvrait sur une lumière forte du jour. Il y avait des rayons de soleil dehors, mais je ne pus ouvrir les yeux pour en profiter. J'étais déjà bien loin mentalement. Des bruits de pas résonnaient derrière moi, c'était sûrement la personne qui devait venir me chercher.
Reprenant mon souffle, mes yeux se fermèrent seuls puis mon corps devenait un fardeau lourd à porter. Aussitôt je rejoignis complètement le sol et finissais avec les morts.
Derrière moi, des pas s'accéléraient et une voix qui me paraissait lointaine me criait:
- JUNGKOOK ! P*tain Jeon non !
Je ne pouvais rien faire à part écouter, tout les bruits semblaient être brouillons désormais. Mon dos me faisait terriblement mal et mes blessures me piquaient. Tout à coup, je sentis quelqu'un tomber à mes cotés.
- Jungkook si tu m'entend, bouge un doigt. Une voix stressé et grave que je reconnaissais me disait.
- Perdu mec, je peux rien bouger mais si tu veux je peux ouvrir ma gueu-
- Non c'est bon, tu m'a fais peur. Disait-il agenouillé à mes cotés d'un air apeuré.
- Quel chochotte ce Hoseok.
- Tu le vois celui la ? Il me faisait son plus beau doigt d'honneur.
-Bah non du coup, je peux pas ouvrir mes yeux je t'ai dis...
- Tsss c'est vrai je suis con. Il ricanait laissant le stress et la peur s'évaporer.
Puis, un long blanc s'installait dans le hangar. Il n'était pas désagréable mais plutôt apaisant. Le chant des oiseaux dehors résonnait dans la pièce infiniment grande et vaste.
