Je me porterais mieux, si je m'étouffais dans mon sommeil.
Dans ma vie de confort, je ne sais pas voir le soleil.
Il brille pourtant dehors, mais je ne le vois plus,
Dans une vie de " on s'en fou si ça ne t'as pas plu".Je devrais le faire pourtant,
Pour mon avenir sois-disant.
Mais si je meurt demain,
Ça n'aura servi à rien.Je vous pleurerais au nez, vous n'en ferrez rien,
Vous me consolerez en me disant "de rien".
On nous dit d'apprendre par cœur,
Mais sachez que j'en n'es pas le cœur.Car la planète est en détresse,
Les enfants ne meurt pas de vieillesse.
La faim abîme ces corps dociles,
Pour eux, ce n'est pas facile.Les guerre leurs volent toutes leur terres.
L' humains, parasite, dès son apparition,
Créa les espèces en voie de disparition.J'aimerais partir après la nuit, au petit matin,
Un jour d'automne, et je ne porterais rien,
Juste mon cœur à la main.
Je pourrais vivre, enfin.19 oct. 2021
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ÉPHÉMÉRIDES [PARTIE 1 : QUAND LA PLUIE RENCONTRE LA TERRE]
PoetryQuelques grains de sable perdus dans l'océan des poèmes. Irreconnaissables parmi tant d'autres qu'on aime. Ephéméride, nom féminin. Du grec ephêmeris et -idos, qui signifie "Idées de chaque jour". Voici un recueil de 98 poèmes, triés par ordre chro...