Dans l'obscurité d'une comble
on a vue passé une ombre
Quel est le comble pour un nombre ?
C'est d'être trouvé dans les décombresEt ça swing le français, sans une cédille oubliée
Et c'est le cercle encerclé
Par où et où sommes-nous liés ?
Fermeras-tu la porte à clé ?Et puis où as-tu donc passé,
Le plus claire de ton temps.
Dans la tempête est emporté,
Les souvenirs du bon vieux temps.Quand le cillon est siphonner tu as la bouche fermée
Ne fait plus claquer la porte d'entrée
Sinon les sirène ne pourront plus jamais rentrer
Dans tout le ciel les oiseaux déploient une arméeDans les plus sombres recoins de ta chambre
Le temps est clair comme l'eau de roche
Le son est terni à mon approche
Donnes une pièce pour la fin de décembreAvant que tu ne sorte ton revolver
Souffle comme les feus dans l'atmosphère
Fait sonner les cloches lointaines
Va jouer au sein des soirée mondainesTu es comme le moulin qui tourne sans marcher
Tu es comme un mandiant qui a arrêté de chercher
De quoi manger sous une pluie diluviennes
Tu dansera un jour dans l'opéra de Viennes6 mars 2022
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ÉPHÉMÉRIDES [PARTIE 1 : QUAND LA PLUIE RENCONTRE LA TERRE]
PoetryQuelques grains de sable perdus dans l'océan des poèmes. Irreconnaissables parmi tant d'autres qu'on aime. Ephéméride, nom féminin. Du grec ephêmeris et -idos, qui signifie "Idées de chaque jour". Voici un recueil de 98 poèmes, triés par ordre chro...