Je ne ressens plus le bonheur
Tout est parti tout à l'heure
Plus de sensations dans mon coeur
À part une brisure en profondeurJe brûle de l'intérieur
Je me suis consumé
Seul les cendre sont restés
Mais est partis leur chaleurComme à mon habitude insolence
J'essaie de retrouver le sens
Je reste digne en apparence
Mais je pleure en silenceCar même les larmes ont cessé de couler
Je baisse mes armes je m'en vais crierEt quand je pense à l'infini poussière
De l'unique univers
Le vertige me fait tombé par terre
Et s'est emparé de ma chaire toute entièreEt cette voie dans ma tête
Si sombre me fait douter de tout
Je voudrais seulement qu'elle s'arrête
Pour que je revienne au près de vousÀ mes yeux plus rien n'a d'importance
Pardonnez-moi cette indifférence
J'avoue étouffer mes souffrances25 déc. 2021
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ÉPHÉMÉRIDES [PARTIE 1 : QUAND LA PLUIE RENCONTRE LA TERRE]
PoesiaQuelques grains de sable perdus dans l'océan des poèmes. Irreconnaissables parmi tant d'autres qu'on aime. Ephéméride, nom féminin. Du grec ephêmeris et -idos, qui signifie "Idées de chaque jour". Voici un recueil de 98 poèmes, triés par ordre chro...