⌦ 𝘪𝘮𝘢𝘨𝘪𝘯𝘦.|𝘳𝘦𝘯𝘰 𝘴𝘪𝘯𝘤𝘭𝘢𝘪𝘳.

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Ceci n'est pas une commande, je me suis permis de l'imaginer moi même parce que j'aimais bien l'idée.
Bonne lecture. :).

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Un gris serré teintait l'entièreté du ciel, accompagné de quelques larmes de nuages, laissant les rues trempées, formant d'immenses flaques au milieu de la route pour ne pouvoir que mieux agrémenter votre matinée déjà bien complexe. Éveillé.e depuis maintenant cinq heures du matin, plus rien n'étonnai l'adepte de boissons. Ses mains viendront enfiler ses chaussures, attraper avec une rapidité habituelle ses affaires placé dans un sac et quittera son endroit de résidence pour prendre le chemin de son lieu de travail, situé exactement à l'opposé. Le café dans lequel notre protagoniste se trouve avoir été embauché est situé à l'opposé du septième ciel, afin de ne pas lui faire de concurrence... Il fallait avouer que, de toute façon, le secteur n'était pas des plus gigantesques. Et comme le lieu de residence se trouve placé aux cotés du septième ciel, notre pauvre barista se devait de traverser le secteur chaque jour, aller retour. Vous me direz: iel fait du sport ! Et en effet, là était la seule positivité qu'iel arrivait à trouver à cette douloureuse et ennuyeuse balade quotidienne. Alors son corps avançait, couvert sous ses habits et sa capuche pour éviter de tomber misérablement malade et de ne rater des heures de travail, ce qui signifierait perdre de l'argent. Ça ne tombait pas du ciel, après tout, mais la pluie quand à elle, oui. Si la pluie et le beau temps pouvait affectait négativement lea barista, c'était tout l'inverse des enfants qui semblaient s'amuser comme jamais ils ne l'avait pu sous la pluie. Il leur en fallait si peu, mais il en fallait tout autant à l'adulte pour désespérer de bon matin alors était-iel réellement en capacité de juger ? Finalement, la tête ( C/C ) se retrouva submergé de chaleur, enfin arrivé à destination. Home sweet home comme on pourrait dire, car arrivé à un tel point, tout endroit protégé de la pluie était une maison. Veste accrochée, chaussures essuyées avant d'entrée afin de ne rien salir, lea barista passa derrière le comptoir du café pour accéder à la salle de repos, dans le but d'enfiler son tablier de travail et se laver les mains, attendant patiemment que son collègue lui demande de prendre sa place. Et dire que le café était en effet ouvert depuis deux heures du matin, un enfer... Y avait-il réellement de clients à une telle heure ? Oui, en effet il y en avait. Pas autant qu'à partir de sept heure, mais tout de même. Des clients qu'on ne pouvait pas perdre.

Assit dans la salle de repos, son esprit divagua sur un sujet des plus futiles pour certains mais pour l'employé.e des plus primordiaux: la commande d'un habitué qu'iel avait l'habitude de servir aux alentours de six heures. Sa commande était des plus simples à retenir: un café accompagné d'un sucre. Rien de plus simple, et croyez le, c'est très agréable, surtout quand vous savez que vous risquez de vous enfiler six affreuses commandes à la suite. Alors oui, iel appréciait cet habitué, que l'on pouvait considérer adorable comme tout, être une agréable personne, drôle, et très, très, séduisante. ( aller, vous m'avez perdu. ). C'était toujours agréable à savoir. M'enfin, son collègue entre épuisé dans la salle jetant son tablier dans son casier, laissant comprendre qu'il était l'heure de se mettre au fourneaux et de se faire violence. Alors iel s'extirpa de sa chaise et passa du côté comptoir, pour l'instant silencieux et vide à son plus grand plaisir et c'est bien pour cela que lea ( c/c ) ne perdra pas de temps et commencera à préparer la commande d'une certaine personne dont la cheveux se trouvait n'avoir aucune différence avec la teinte d'une tomate. Hélas, la préparation de la boisson chaude ne durera point longtemps interrompue par la clochette de l'entrée indiquant l'arrivée d'un nouveau client, ou plutôt d'une nouvelle cliente dans le cas présent. Une vielle femme, que l'on avait peur de laisser marcher seule, appuyé sur sa canne, par peur que cette dernière ne se brise un os. Et c'est suivit des politesses que la commande fit la suivante: un latte. Efficace au moins, et on l'en remercie bien! Dans un premier temps, il suffisait de faire un Fortissio Lungo et de le verser avec délicatesse dans le récipient, avant de n'y ajouter le lait chauffé à la vapeur et de le recouvrir d'une fine couche de mousse. Ainsi, le café latte de madame était prêt et servit ainsi que réglé. S'en suivit de nombreux autres clients, déjà bien plus réveillés que lea pauvre barista, qui n'en pouvait déjà plus.
"-Et... hop !" La boisson de monsieur était servit, laissant enfin du repos à l'employé.e. Repos qui ne durera pas étant donné qu'iel l'utilisera à bon escient : pour enfin préparer le café de monsieur ! Pas bien compliqué, un petit carré de sucre, on remue et ajoute un petit bâtonnet pour pouvoir le touiller plus tard et le voici le voilà, déposé aux côtés de monsieur.madame. Le meilleur moment de la journée, sans se mentir... Un des clients reviendra payer sa boisson, pour partir en coup de vent. La politesse, parfois... m'enfin, à en juger son habit de travail il devait sûrement travailler pour la Shinra, expliquant sa fuite. Nous ne lui en tiendrons donc pas rigueur. Quand soudain, la clochette retentit de nouveau, laissant entrer le rayon de soleil de la journée, le seul et unique, Reno Sinclair. Il s'approcha du comptoir, ce même sourire accroché aux lèvres, ce même sourire bien trop communicatif.

"-Mais.. Ne serait-ce pas monsieur Sinclair ?
- En chaire et en os, très cher.e !
-Mais quel plaisir de vous voir... Bon. Dites moi. Comme d'habitude ? Commença-t-iel, mettant sa main sur le café afin de le lui tendre.
- mh... Non, je comptais plutôt essayer autre chose aujourd'hui."

La boisson fit bien rapidement reposé à ses côtés, silencieusement, ni vu ni connu. Bah ça alors... Ce n'était pas sensé se passer de la sorte. Bah merde! Iel en était resté bête un instant avant d'acquiescer sous le regard interrogatif du Turk. Son indexe viendra même pointer la direction du comptoir, là où se trouvait le café.

"-Est-ce que c'était ma commande habituelle ?
- Quoi ? Pff, non. Bien sur que non.
- Qu'est-ce, dans ce cas ?
- uh... Mon.. Café au lait glacé. Annonça lea barista, pensif.
- Dans un gobelet chaud ?
-... D'accord, c'est un café, mais ce n'était pas pour vous !"

Suite à quoi iel porta la boisson à ses lèvres pour en prendre une gorgée, l'air de rien, afin de prouver son appartenance... Ce n'était vraiment pas au goût du.de la (c/c) dont les iris ( c/y ) n'avaient pas décroché du client. Client qui plissera les yeux et arqua un sourcil, laissant ce sourire s'accroître sur son visage.

"-Et bien... Maintenant que j'y réfléchis. J'ai bien envie de prendre ma commande habituelle. "

Et ainsi, il tendra la main vers la boisson pour la prendre à son tour, la retirant de notre pauvre protagoniste, et le porta à son tour à ses lèvres pour en aspirer une ou deux gorgées, tout content de son action...

𝘩𝘦𝘢𝘥𝘤𝘢𝘯𝘰𝘯𝘴 + 𝘪𝘮𝘢𝘨𝘪𝘯𝘦𝘴 𝘧𝘧𝘷𝘪𝘪.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant