Les mondes parallèles

Chapitre 3:

Un 28 décembre 2045, 9h37 du matin à Paris, une jeune fille se préparait pour son seizième anniversaire, Keiko, elle descendit dans la cuisine pour manger les pancakes que sa mère lui a préparé avant de partir travailler, elle lui avait comme d'habitude laissé un petit mot « Passe une bonne journée ma puce je te souhaite un joyeux anniversaire, je t'ai laissé de la purée dans le frigo, je reviens à 14h je t'aime ma chérie <3 »

« Ça fait seize ans aujourdhui que tu nous as abandonnées, je te retrouverais papa » pensa Keiko en mangeant son pancake, la seule pensée de ce mot « père » lui donnait des frissons.

Ellipse à 14h

« Je suis rentrée ! » cria Azami,

Keiko arriva à toute vitesse dans le salon pour sauter dans les bras de sa mère qui pour la seizième année consécutive soccupait et élevait sa fille seule.

« Alors tu veux ton cadeau ? » demanda Azami, bien que, sûre de la réponse.

« Bien sûr, est-ce vraiment une question ? » dit Keiko avec les yeux brillants d'excitation,

Azami donna une longue boîte a Keiko qui sempressa de louvrir. A l'intérieur se trouvait un magnifique sceptre doré orné dune énorme boule en cristal sur le dessus. Keiko regarda sa mère dans l'incompréhension, Azami vint éclairer sa lanterne sur ce sceptre plutôt étrange.

« Ma mère me l'avait offert pour mes seize ans je pensais que te le léguer était une bonne idée, tu comprendras plus tard qu'il est assez spécial et que ce n'est pas une simple décoration » dit-elle en embrassant sa fille sur le front.

Keiko plaça le sceptre dans sa chambre près de sa fenêtre et alla manger le gâteau que sa mère lui avait ramené de la boulangerie plus tôt.

Keiko décida alors de questionner sa mère sur son père mais Azami ne préféra pas répondre et alla préparer le dîner car il était déjà 18h.

Ellipse le lendemain

Keiko se réveilla à 10h et prit son temps pour se préparer car elle n'avait pas école aujourdhui, sa mère étant partie au travail elle décida d'aller observer le sceptre que sa mère lui avait donné la veille, elle était bien décidée à percer les mystères de ce sceptre. Elle se mit à l'observer puis après dix bonnes minutes elle se dit quelle devait avoir l'air ridicule à fixer un simple objet de décoration.

Ellipse soir

En sortant de la douche elle se mit alors soudainement à pleurer en répétant sans cesse qu'elle voulait enfin rencontrer son père pour lui dire toute la haine qu'elle avait qu'il l'ait abandonnée, puis tout en fixant le sceptre elle fit le vœu de le rencontrer et elle alla dormir.

**PDV rêve de Keiko**

Une lumière blanche m'aveugla les yeux, il était là, celui qui m'avait donné la vie et celui qui m'avait abandonnée dès qu'il en avait eu l'occasion je le reconnu car il y avait des photos de lui dans le tiroir du bureau de maman, puis tout s'effaça et là je vis la plus belle personne que j'avais jamais vue, mais tout restait très flou et je ne puis distinguer qu'une vague silhouette de femme avec des ailes elle était très probablement blonde, vêtue de vêtements clairs et elle m'appelait comme un au secours, puis le néant.

**Fin du Pdv**

Keiko ouvra les yeux puis se leva et c'est le temps qu'elle reprenne ses esprits qu'elle rendit compte qu'elle n'était pas dans sa chambre, ni dans sa maison et ni à Paris d'ailleurs. Elle était au beau milieu d'une forêt d'un vert éclatant, elle se mit à paniquer en appelant sa mère, quand tout d'un coup un groupe d'hommes surgit de derrière les buissons, ils étaient armés d'arcs et n'étaient probablement pas des humains étant donné qu'ils avait des oreilles anormalement pointues et des ailes, le premier réflexe de Keiko fût de rire car elle pensait qu'elle était en train de rêver, sauf qu'elle fût vite ramenée à la réalité quand un des Hommes avec des ailes et des oreilles pointues, habillé plus élégamment et plus formellement que les autres intervint et dit

« Bonjour mademoiselle Keiko nous vous attendions »

Puis encore le néant, son dernier souvenir était une petite douleur dans la cuisse.

Elle se réveilla dans une chambre qui donnait sur la forêt, Keiko n'était bel et bien plus en France et vu les sortes de décorations et les meubles et les paysages ce n'était pas non plus sur Terre, elle appela au secours et une sorte de garde ailé déboula dans la chambre.