chapitre 13

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POV HISAE


Shori .. alors depuis tout se temps elle n'a fait que simuler ?

Sanzu : eh réveille toi on est bientôt arriver ma belle 

- ne m'appelles plus jamais comme ça connard 

Sanzu : oh mais c'est qu'elle a changer la gamine 

- pardon ?! répètes un peu - je tremblais de rage

Sanzu : je t'ai traitée de gamine, tout simplement car tu as voulu protéger une parfaite inconnue 

- Ayame ?

Sanzu : c'est Shori, Ayame était un faux pseudo, jamais elle ne s'est appelée comme ça 

- ouais pour une espionne c'est facile de changer de nom

Sanzu : oui surtout que t'étais experte en la matière, et tu ne la même pas vu venir ahaha 

- on verra bien qui rira le dernier poulet 

Sanzu : oh et qu'est ce qui te fais dire ça ?

- quand les autres débarqueront et t'exploseront la gueule,

Sanzu : oh mais ils ne viendront pas ma chère 

- oh et pourquoi ça ? - ton sarcastique

Sanzu : vois tu Shori et aller les informer de ta mort

- quoi attends !

Sanzu : mais oui enfin, tu es morte en la sauvant, malheureusement cette voiture t'as shooter et tu es morte sur le coup, quel dommage, imagine une seule seconde la tête de ton pauvre Rindou

sale enfoiré  

- il ne la croiront pas 

Sanzu : oh que si, je suis arrivé à un niveau tel que le hasard n'a plus sa place, tu verras ils y croiront 

- et même, j'arriverais à m'enfuir d'ici et je retournerais à Tokyo 

Sanzu : premièrement tu ne retourneras jamais à Tokyo sinon je fais sauter leur QG dans la nuit et là ils n'auront aucunes chances de s'en sortir, deuxièmement si je te laisse les rejoindre parce que en vérité ça pourrait m'amuser, ils croiront à un fantôme et jamais ne croiront à ton vrai retour, 

- ..

Sanzu : je vains toujours, tu pourras toujours rêver ma belle 

- ..

Sanzu : mais le rêve va lentement te consumer..


POV SHORI 


Je roula toute la nuit , à en avoir mal au pied à force d'appuyer sur les pédales.

Autour de moi tout était noir, pas le moindre signe de vie.

Je passais des villages abandonnés par les gens, abandonnés par le temps.

Je levais de temps en temps la tête pour voir les étoiles, me demandant si je les reverrais un jour

Je commençais à voir les lumières de Tokyo.

J'en avais toujours voulu à Hisaé de s'être comporté de la sorte avec moi.

Mais je n'étais pas prête à la tuer.

Pourtant si je ne le faisais pas, ma tête allait tomber. 

Je ne voulais pas la perdre, elle était devenue ce qui était de plus précieux pour moi.

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