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•NAWEL• pour lui...

Je venais d'arriver je sors du bus et marche en direction d'un bâtiment

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Je venais d'arriver je sors du bus et marche en direction d'un bâtiment. C'était là qu'indique l'adresse sur le papier. Je rentre dans le bâtiment et prends l'ascenseur. Je suis monté jusqu'au 8 ème avec la boule au ventre toute stressée.

Je sors de l'ascenseur et avance vers une porte. C'était là ! Dans ma tête c'était le basard. Je regarde autour de moi et respire profondément avant de toquer à la porte. Je suis resté là à toquer pendant au moins une minute mais personne m'ouvre. Mais c'est du n'importe quoi ça. J'allais partir mais soudainement j'étends le bruit de la serrure je me suis donc retourné. Je regarde le jeune homme qui me suivait partout à la sortie de l'hôpital tout comme dans le bus. Je crois qu'il me doit des explications lui.

L'homme: *sourire Je m'attendais pas du tout à ce que tu viennes.

Moi: T'es qui au juste ? Pourquoi tu me suis partout ? Pourquoi tu voulais que je vienne ici ? Y'a quoi hein ? *lui regarde

L'homme: Ohhh lala respire et jte laisse entrer on pourrait bien discuter !

Je lui regarde de la tête au pieds sans répondre.

L'homme: N'est pas peur jte ferrait rien.

Moi: Pour commencer j'ai pas peur de toi. Et je ne suis pas là pour perdre mon temps !

L'homme: Alors pourquoi t'es venue hein ? *me regarde

Moi: Pour savoir qui t'étais et ce que tu me voulait voilà quoi !

?: Mais tu fais quoi ici jusq...

Quoi ? Lui ici ? Mais j'arrive pas à comprendre là ? J'étais choqué putain. Je vois mon frère Djibril qui fait son apparition. Je m'attendais à tout sauf ça. Il me regarde, je lui regarde on était tous sans mot. Même après trois ans il n'a toujours pas changé, toujours la même tête, le même regard. Juste en lui voyant tout les souvenirs du passé me revenait en tête. Tout ces moments de tristesse, de soufrance...les coups qu'il me mettait. Putain je repense à tout en lui fixant. J'avais la gorge noué et les larmes qui me montent. Mais non Nawel ne lui montre pas ta faiblesse c'est pas le moment ! Je sert donc mes poings en fronçant mes sourcils. J'avais la rage en moi et en même temps de la haine, de la peine. À vrai dire mes sentiments étaient mélangés.

Djibril: Nawel

Moi: Prononce surtout pas mon prénom ! Commence pas !

Djibril: Laisse nous !

Le gars qui m'avait ouvert la porte est parti en nous laissant seul.

𝗡𝗮𝘄𝗲𝗹 : «𝗣𝗼𝘂𝗿 𝗹𝘂𝗶...»Où les histoires vivent. Découvrez maintenant