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•NAWEL• pour lui...

Mes larmes coulent encore et encore

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Mes larmes coulent encore et encore. La cabane regagnait dans un silence profond. Je réfléchis pas une minute et frappe la main de Hakim. Il tombe à terre et là j'ai juste entendu deux coups de feux.

Je regarde le corps de Hakim au sol. Soit c'est lui qui a reçu les deux balles ou soit c'est moi. Et j'arrivais pas à y croire qu'il se noyait dans son sang. Non j'ai fais quoi ? Je me penche vers lui en essayant de le secouer mais impossible.

Moi: Non , non , non...Hakim, réveille toi.

Je sens la main de Brayan me tenir.

Brayan: Viens on s'en vas. J'ai appelé une ambulance.

Moi: Non Brayan j'ai tué un homme...Brayan j'ai tué un homme *pleure Mais pourquoi j'ai frappé sa main, mon dieu pourquoi ? *pleurant Il est mort, Brayan regarde ce que j'ai fais il est mort. Il bouge pas...nonnn

Brayan: Vient Nawel...vient on y va. Tu n'y est pour rien. Je le sais c'était pas ton intention, tu l'as pas fait exprès en plus c'est lui qui avait la main sur la détente pas toi.

Brayan me tire par la main puis vient me prendre dans ces bras. Je pleure comme un bébé sans oublier la présence de mon fils. Il serait traumatisé à jamais , il n'était pas digne d'être témoin de ce qui venait de se passer.

Je me retire des bras de Brayan et vais porter mon fils. Je le serre fort contre moi alors qu'il enroule ces petits bras autour de mon cou.

Moi: Suis désolée pour toi. Suis désolée Younès...J'avais crus j'allais te perdre pour l'éternité.

Younès: Me laisse plus maman *pleure Part plus s'il te plaît me laisse pas...

Moi: *caressant son dos Ouais mon bébé, ouais plus jamais je te laisserais. Promis plus jamais je laisserais aucun mal t'arriver. Je serais toujours là, ouais toujours.

Il me sert encore plus fort en pleurant au même moment nous entendons la sirène de police puis celle de l'ambulance. Je retourne vers Brayan en le fixant. Il vient direct me tenir par la main. Et j'avais pas besoin de parler qu'il avait déjà tout compris.

Brayan: Reste tranquille ok. Tu n'as rien fait et rien ne t'arrivera tant que je suis là.

Je hausse la tête puis nous sortons de la cabane en laissant place aux policiers et les ambulanciers. Nous sommes partis s'arrêter auprès de la voiture de Brayan.

𝗡𝗮𝘄𝗲𝗹 : «𝗣𝗼𝘂𝗿 𝗹𝘂𝗶...»Où les histoires vivent. Découvrez maintenant