XVII

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Mélanie : Jungkook ?
Moi : hum ?
Mélanie : tes crises d'angoisse, elles ont recommencées quand ?

Mes muscles se tendent légèrement, je ne voulais vraiment pas évoquer le sujet...

Mélanie : Jungkook ?
Moi : durant tes deux mois de coma ...

Je relevais la tête pour pouvoir croiser son regard , celui-ci était soudainement perturbé et fixait le vide .

Mélanie : combien de fois par semaine ?
Moi : ne t'inquiète p-

Son regard sérieux croisa le mien .

Mélanie : combien Jungkook ?

J'évite son regard avant de doucement me décrocher de son petit corps à contre cœur...

Moi : 3 a 4fois ... par semaine ...

Dis-je relevant mes yeux vers elle , ses iris s'écarquillèrent quelque secondes avant de s'attrister.
Je soufflais légèrement.

Moi : ne t'inquiète pas ... c'est juste la grande vague de stresse que j'ai reçus au boulot.
Mélanie : Jungkook arrête de mentir...
Moi : mais je ne ment pas !
Mélanie : à ce que je sache il n'y a pas de come-back prévu pour ces mois ci , vos entraînements sont considérés comme des révisions rien de plus .

Je soufflais puis roulais pour m'allonger sur mon dos .

Mélanie : les garçons sont au courant ?
Moi: non ...
Mélanie : tu as vécu tout ça seul ...
Moi : écoute Mélanie se n'est pas grave s'est passé ! En plus je vais bien maintenant-
Mélanie : et hier alors !
Moi : ...
Mélanie : Jungkook arrête de tout te mettre à dos ! Arrête de ton vouloir pour tes actions passées ! Moi je ne t'en veux pas pour sa alors arrête !

Elle passait son doigt sous mon montant faisant délicatement tourner ma tête sur le côté , nos regards se croisant .

Mélanie : dis moi , tu regrette d'avoir eu des enfants ?

Je répondais presque aussitôt.

Moi : bien sûr que non !
Mélanie : alors arrête de ton vouloir ! Parce que je ne regrette rien également car c'est l'une des plus belles choses qui me soit arrivés et parmi ces choses il y'a notre rencontre et la naissance de mes bébés !

Je sentis ma gorge se serrer et mon cœur palpiter , je la faisais basculer sur moi de sorte à ce qu'elle s'asseye sur mon bassin passant ma main sur sa nuque j'émis une pression de sorte à l'allonger sur mon torse , elle n'eu pas le temps de reprendre ces esprits que je scellais mes lèvres aux siennes mouvant celles-ci d'un rythme ardent, je caresse délicatement d'une mains le creux de ces reins et l'autre appuyait légèrement son cou , sentir le poids ainsi que la chaleur de son corps sur le mien me procurait une sensation d'aise .
On se séparait par contraintes à bout de souffle , je poussais un léger grognement plaintif mordillant sa lèvre inférieure.
Nos yeux mi clos se dévoraient , elle est tellement magnifique...

~

Pdv Mélanie :

Léna : Appa ! Appa ! On est rentrééééé !

Criait-elle depuis la porte d'entrée.
Enlevant rapidement ces chaussures elle courait déjà dans les escaliers en direction de la chambre principale.
Léon quant à lui avait un air inquiet sur le visage depuis l'annonce du mal être de Jungkook, je les ai  prévenu sur le chemin du retour parce qu'il fallait que je passe en pharmacie .

Arrivé dans la chambre Léon se transformait en louveteau et sautait dans les bras de son père qui s'était assis contre le dos du lit , Léna quand à elle serrait légèrement la tête de Jungkook sur sa poitrine celle ci debout sur ces jambes croiser en tailleur . J'eu un moment de réflexion avant de comprendre son geste . Un sourire prenait place sur mon visage . Jungkook et moi avant l'habitude de les porter en kangourou lorsqu'ils sont malades ou qu'il y'ai quelque chose qui ne va pas , le fais qu'ils écoutent nos battements de cœurs apaisés les rassuraient énormément et ceci faisait baisser leur inquiétude.
Jungkook ouvrait délicatement ces yeux et croisait instantanément mes iris mon sourire ne lui échappait pas vu qu'il me le rendit .
Un aire choqué prenait place sur mon visage ainsi que celui de Jungkook quand un chantonnement se fit entendre de la pars de Léna , c'est le rythme d'ephoria !
Jungkook se décrochais soudainement d'elle l'a coupant dans son chant , il prenait son petit visage en coupe observation tout les petits détails de celui-ci il retirait de son doigt une mèche de ces cheveux la passant derrière son oreille, son visage décrivait une joie et satisfaction , il en avait presque les larmes aux yeux, délicatement il venait embrasser le front de Léna qui observait patiemment les expressions de son père.

Ma vie surnaturelle Où les histoires vivent. Découvrez maintenant