-y/n, apportez-moi le dossier de Madame Poppy.
Tu sursautas à l'entente de la voix autoritaire de patron. "Et merde", lachas-tu en voyant que le café que tu buvais avait complètement maculé ton chemisier blanc.
Tu voulus te lever afin d'aller te changer quand ton boss te menaça de te virer si tu n'amenais pas le dossier dans les plus brefs délais. Tu respiras un grand coup, pris les documents que tu serras contre ta poitrine pour éviter que Mr. Malik ne voie ta petite lingerie et te dirigeas vers son bureau.
Tu toquas légèrement afin d'avoir l'autorisation d'entrer. Lorsque tu entras, ton pied se prit dans le tapis et tu volas au sol la tête la première.
Il grommela mais se leva pour t'aider. En te relevant, tu devins rouge comme une pivoine : ton patron louchait sur ton décolleté devenu transparent à cause de ta boisson.
-Qu'est-il arrivé à votre chemisier?
-Hum... Lorsque vous m'avez demandé le dossier, j'ai sursauté et...
-Laissez-moi me faire pardonner.Tu ne compris pas vraiment ce qu'il voulait dire mais quand tu sentis ses mains sur les boutons de ton haut, tu lui demandas de s'arrêter.
-Sshut. J'en ai envie depuis si longtemps.
Tu gémis aub moment où sa bouche se posa sur ton cou. Finalement, ses baisés te convainquèrent et tu lui arrachas sa veste puis sa chemise en l'espace de 10 secondes.
Le reste de vos vêtements formèrent rapidement un tas au sol. Dans la pièce, seul le bruit de vos bouches était audible. Il te poussa contre le bureau.
-À genoux.
Son ton autoritaire était de retour mais cette fois, il t'excita au plus haut point.
Tu descendis tout en embrassant son corps jusqu'à sa verge dressée fièrement. Tu l'empoignas et déposas un baisé sur son gland.
La main de Mr. Malik tira sur tes cheveux, te guidant.
-Putain c'est bon! J'en ai rêvé des centaines de fois y/n.
Ses mots t'encouragèrent à accélérer afin de l'emmener plus haut que les étoiles.
Il émit un son guttural indiquant qu'il avait atteint l'apogée de son plaisir. Tu roulas ta langue autour de son pénis une dernière fois puis te remis debout.
Il colla ses lèvres aux tiennes lançant vos langues dans une danse endiablée.
Sa main te guida pour te pencher sur le bureau. Tu t'applatis sur la surface boisée tandis qu'il enfilait un préservatif trouvé dans son porte feuille.
Le premier coup de rein fut rude. Il entema ensuite des vas-et-vient toujours plus rapides et plus profonds
Tu glissas ta main sur ton clitoris, te donnant plus de plaisir. Ses mains pétrissaient tes seins.Tu sentais que tu étais proche du gouffre. Il accéléra encore le mouvement jusqu'à ce qu'il t'entende crier dans ta main afin de ne pas alarmer tout l'étage de vos ébats.
Vidés de toute énergie, tu étais assise sur le bureau et lui en train de se rhabiller lorsqu'il dit une phrase qui te fit sourire : "je voudrais vous faire sursauter plus souvent Mademoiselle y/n".