CHAPITRE 18: first love/ last summer

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PDV Elea :

Je cherche désespérément ma meilleure amie, quand je la vois enfin.

Assise par terre sur l'herbe du parc en train de dessiner la vue devant elle

Je cours vers elle est lui saute dessus en lui faisant un câlin elle cri de surprise.

- Chica? Il t'arrive quoi ?

- Je veux que tu me racontes tout avec mon frère et que tu me promettes de ne plus jamais me mentir !

- Promis ! dit elle l'air ravi

- Allez je t'écoute !

Elle me raconte la même chose qu'Adrian.

- Et depuis cet événement, je suis folle de lui, mais il préfère garder notre relation secrète ce qui me frustre pas mal !

- Tu sais pourquoi ?

- Il a dit un truc comme ce n'est pas le moment et que c'est dangereux, mais je ne sais pas vraiment pour quoi.

- Tu..Tu savais qu'on lui faisait du chantage ?

- Oui, mais je ne connais pas vraiment la cause ... Je sais juste que ça l'empêche d'être libre de faire ce qu'il veut.

Mon frère ne lui a donc pas dit qu'il avait tué un mec...

- Et toi alors avec notre beau Arsène !? demande t-elle

Je lui raconte donc tous les événements récents, elle crie de joie et d'excitation quand je lui parle des moments hot.

- Mais tu vois y a quelque trucs que je trouve bizarre, je sais qu'il connaît Adrian, mais comment savait-il que j'étais sa sœur, comment il savait où j'habitais sans lui avoir jamais rien dit, et puis on ne connaît même pas son nom de famille !

- Beaucoup de mystère, je pense que les agents Sullivan et Hayes ont du boulot ! Dit elle en riant et en se relevant Déjà pour son nom de famille, tu pourrais juste regarder sur sa boite aux lettres la prochaine fois que tu vas chez lui !

Elle a raison, je ferais ça la prochaine fois !

Je me lève aussi et on commence à marcher en parlant comme avant, je la regarde, et a l'air épanouie et je suis heureuse de la voir comme ça ! Elle mérite d'être heureuse.

Et je suis heureuse que son premier amour soit mon frère, il ne pourra jamais la blesser, j'en suis certaine !

On profite des derniers jours d'été avant que l'automne n'arrive , j'adore cette saison pour moi, c'est la mort d'une phase pour pouvoir renaître meilleur au printemps, voir les feuilles changer de couleur et tomber me fait du bien, les entendre craquer quand on marche dessus et satisfaisant et puis en Automne il y a Halloween qui est une de mes fêtes favorites.

On vient d'arriver devant chez Lumi, on s'arrête net quand on remarque James son frère ... Il est avec une fille, on se regarde toutes les deux en souriant, on était secrètement persuadé qu'il aimait les hommes.

On se retourne vers eux, mais notre sourire disparaît quand on voit que la fille en question, c'est Cécilia , mais qu'es ce qu'elle fout là ? Ils ont l'air de se disputer.

Sans savoir pourquoi on la voit gifler James et partir en furie, elle ne remarque même pas notre présence, on se regarde un air interrogateur avec Lumi , on se décide enfin à se séparer elle rentre chez elle est moi je repars encore choquer de ce que je viens de voir

Est-ce que je devrais aller parler à ma sœur ?

Une fois rentrer je remarque que personne n'est là alors je monte les marches jusqu'à ce que j'entende des pleures venant de la chambre de Cécilia , je m'approche et entrouvre la porte, elle est allongé à plat sur son lit le visage enfuie dans son oreiller, même si on n'est pas proche et qu'elle m'insupporte là voir comme ça me fait de la peine, je m'approche d'elle et m'assoie sur le rebord de son lit

- Tu veux en parler ? demande je

- Non ... Tu peux juste me prendre dans tes bras ? demande t-elle en pleurant

Je m'exécute et m'allonge à côté d'elle pour la prendre dans mes bras, je suis perdue, je n'aurais jamais pensé devoir réconforter ma grande sœur un jour, mais je me sens apaisé, étrangement, ça fait longtemps qu'on n'avait pas été proche comme ça.

Quand on était petites on étaient tous très proche jusqu'aux 15 ans de Cécilia qui c'est éloigné du jour au lendemain sans donner d'explication , et après elle a commencé à être méchante avec tout le monde .

J'ai essayé de lui en parler, mais elle s'est refermé comme une huître alors je n'ai pas insisté.

On finit par s'endormir dans les bras de l'une de l'autre.

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