Dream

Chapitre 37: Trop beau

heyyy je le dit maintenant oui c'est inspiré de "trop beau" de Lomepal et surtout du clip parce que je trouve qu'elle définit bien la relation entre Arsène et Elea ou du moins comment je veux que ça finissent donc pour choquer personne je préviens ! (très bon artiste au passage allez écouter!)

PDV Arsène:

Ce week-end devait être le plus beau de notre vie, mais il vire au cauchemar comment on a pu passer de l'amour à la haine aussi vite ? Finalement retour à la case départ.

On est face à face, elle assise sur le canapé à pleurer en silence pendant que moi, j'enchaîne les cigarettes sur le fauteuil, on est encore sur les nerfs, mais pourtant le peu de regards qu'on se lance sont remplie de haine et d'envie si ça continue comme ça, on ne risque pas de tenir longtemps, elle est tellement belle et je regrette de l'avoir déçu comme je l'ai fait.

- Si tu veux plus me parler, je comprends, mais je t'en supplie vient dans mes bras... Lui demandai-je désespère, j'ai peur de la perdre, je l'aime tellement je donnerais ma vie pour elle... Vraiment

Elle me regarde mal, mais finalement ce lève pour se diriger vers moi, une fois à ma hauteur elle me gifle de toutes ses forces. Ma tête tourne violemment sur le côté et ma joue me brûle, putain ça fait longtemps qu'elle ne m'avait pas frapper comme ça la dernière fois, c'est quand on était en boite et que j'étais arraché. Ses beaux yeux bleus rougit par ses pleurs sont ancré dans les miens, elle décide enfin de s'assoir sur moi en entourant ses bras autour de ma nuque en plongeant son visage dans mon cou 

- Je te déteste tellement et je me déteste de t'aimer autant dit elle.

- Je t'aime aussi mon ange... Je lui caresse doucement les cheveux, elle relève son visage vers moi, tout aurait pu être parfait, mais ça aurait été trop beau pour être vrai, on se serait forcément détesté à un moment, c'est comme ça entre nous... Mais tu sais si c'est la haine qui me permet d'être avec toi alors je t'haine mon ange, enfin un sourire sur son beau visage.

C'est drôle quand j'y repense, je ne devais pas autant l'aimer à la base, je voulais seulement m'amuser, mais l'amour, c'est finalement plus amusant surtout avec elle.

- Fait moi l'amour ! S'exclama-t-elle

Je me jette sur ses lèvres et l'embrasse avec tout l'amour que j'ai pour elle, je lui retire son tee-shirt rapidement me laissant admiré encore une fois sa poitrine, étant à califourchon sur moi, elle commence à onduler ses hanches, je pose mes lèvres sur la naissance de sa poitrine et l'embrasse en remontant dans son cou, je la désire, tellement.

Elle passe doucement ses doigts dans mes cheveux et me les tire quand je mords son cou pour y laisser ma trace.

Elle glisse sa main sous mon tee-shirt traçant les contours de mes abdos, j'aime quand elle me touche comme ça.Elle glisse sa main sous mon tee-shirt traçant les contours de mes abdos, j'aime quand elle me touche comme ça. On se regarde dans les yeux se contacte est aussi chaud que les flammes de l'enfer, nos poitrines bougeant au même rythme, je l'admire et dire qu'elle a tout fait pour moi, jusqu'à tuer ! Putain ce que je l'aime, je m'empare à nouveau de ses lèvres sauvagement en passant mes mains sous ses fesses pour la porter jusqu'à notre lit, j'en profite en même temps pour jouer avec elle en frottant mon érection contre elle, même si nos vêtements me gênent, je vois très bien quel effet ça lui fait, elle aime ça aussi.

Une fois, nos deux corps sur le lit, s'embrassant et se collant l'un l'autre comme pour fusionner, on se déshabille pour faire l'amour toute la nuit comme s'il n'y avait pas de lendemain.

Je me suis réveillé en premier de cette nuit intense, aujourd'hui, nous devons rentrer chez nous, je suis anxieux que va-t-il se passer maintenant qu'elle est au courant ? Je la regarde endormie son beau visage contre mon torse comme au début ou tout allez bien. Elle a tellement changé depuis notre rencontre, elle est devenue plus sur d'elle, confiante, dangereuse, indépendante, je suis si fière d'elle et elle peut l'être aussi, je me lève doucement du lit pour ne pas la réveiller, je vais profiter du temps qui se présente devant moi pour préparer nos affaires.

Je pense voir à quel moment ça à dérailler, il y a cette première fois où on se dispute, mais rien de grave, on se rassure, cela arrive à tout le monde. Puis vient la seconde dispute, et la troisième. Et finalement ces petites disputes casse lentement le lien, quand tout va bien, c'est le bonheur absolument, on se dit que rien ne pourra nous séparer, puis quand ça va mal, c'est la guerre, plus rien ne va, on se déteste, on s'insulte, on se détruit... Encore et encore.

Et justement ça à commencer comme ça, une dispute pour quelque chose de pas si grave en réalité, mais c'était assez pour que j'aille me détendre au bar avec de l'alcool. Malheureusement, cette fois-là, je n'ai pas su me contrôler et j'ai baisé avec une autre meuf.

Et je regrette tellement, le soir même, je suis rentré à la maison, j'ai essayé comme je pouvais te recoller les morceaux et ça a marché... Jusqu'à hier, ou cette même nana m'a envoyé un message, Elea est tombé dessus et une nouvelle dispute à exploser et je crois que c'est celle de trop.

Mais c'est le problème de l'amour passionnel, on s'aime jusqu'à se haïr, on veut se quitter, mais préfère rester ensemble à jamais, ne pas réussir à décider, parce qu'au fond, on ne sera jamais heureux sans l'autre, mais on ne le sera pas non plus ensemble.

Elea, c'est réveiller, et j'ai l'impression de ne plus exister, aucun mot, aucun regard, elle a juste pris sa valise que je venais de finir de faire pour la mettre dans la voiture, elle s'est installée et m'a attendu à l'intérieur le temps que je range le reste.



Ça fait déjà 5 minutes qu'on a démarré, et je la vois accélérer de plus en plus, elle frôle les barrières sur les virages et j'avoue que je commence de plus en plus à avoir peur.

- Tu sais Arsène j'ai beaucoup réfléchis sur comment finirait notre relation.

Je n'ose pas parler par peur de l'arrêter, mais mes mains s'agrippent de plus en plus au siège.

- On pourrait se quitter, mais on est attiré comme des aimants, on finira toujours par retourner vers l'autre, c'est comme ça entre nous, mais ce n'est pas la bonne solution.

Plus vite

- Putain Arsène, tu ne sais même pas à quel point je t'aime, je suis folle de toi merde.

Toujours, plus vite, je tourne légèrement ma tête vers elle.

- Mais tout ça ! Ce n'est pas une vie avouons le.

On se rapproche dangereusement d'un virage serré près d'une falaise et elle ne ralentit pas pour le prendre.

- Et tu vois, je me déteste tellement d'être amoureuse de toi.

J'ai compris.

- Mais comme l'a dit le prêtre le jour de notre mariage, jusqu'à ce que la mort nous sépare.

---------------------------- Fin ----------------------------

Re ! J'ai écrit ce chapitre, il y a bientôt 6 mois, évidemment, j'ai façonné en fonction de comment l'histoire, c'est finalement finit.

Alors comment dire, je suis tellement heureuse d'avoir enfin réussi à finir une histoire, et surtout de l'aimer, je pense que j'en ferais des mieux, des plus intéressantes, des moins "cliche" mais moi, j'aime bien cette histoire , c'est le début de quelque chose et il faut bien commencer quelque part.

Évidemment, je ne m'arrête pas là, je suis déjà en train d'écrire la prochaine.

Petite description :

Tearose est une jeune fille d'une vingtaine d'année qui travaille dans un petit café pour payer ses études. Elle est passionnée de peinture et de musique.

Depuis son arrivé, un client régulier va tomber sous son charme et elle va devenir son obsession, il sait tout d'elle, enfin vraiment tout ? Pour pouvoir l'approcher, il va tout tenter, mais où leurs relations va les mener ?

Lior agé de 26 ans professeur de lettre à la fac, passionnée par la littérature , la musique et surtout Tearose. Jusqu'où son obsession pour la jeune femme va le mener ?

C'est une description rapide, ça peut tout à fait changer, j'ai tellement d'idées que je dois tout noter et essayer d'en faire un tout :) 

Enfin voila pour cette histoire j'essaie de m'améliorer et je serais ravi d'avoir des conseils.