Par quel n'importe moyen, le temps ressemble avec celui des sentiments ressentient par les civils. Le ciel bleu porte une couverture de nuages gris. La température est froide en temps de mars. La stuation de terreur dure deux mois et les personnes s'inquiètent. Comme avait prévu le patron, la maison d'édition a été retourner. Mais fort heureusement qu'aucun papiers et argents ont été pris. Depuis, ceux qu'ils voulaient, ils retournent au bureaux, d'autres, peuvent rester chez eux.
En ce qui concerne l'entreprise H&V, la sécurité à été renforce. Un portail avec un passe pour toutes les personnes qui travaillent dans l'entreprise. Passant dans chaque ateliers, Katsuki observe le moindre mouvements de ses salariés qui trahissent le fait qu'ils peuvent être engager cher les terreurs. Eijiro trouve des moyens de sécuriser les donnés et dossiers avec Hitoshi. Quant à Shoto, il observe depuis son bureau, lui aussi, les personnes ainsi que ce qui entoure l'entreprise. Il a vue une ou deux fois une personne louche et en a parler avec les deux autres patrons.
Alors qu'ils sont chacun occuper par leur poste, une personne entre dans son bureau à la vitesse folle. Le bicolore lève son regard et observe les deux hommes, le visage peint de panique.
Shoto: "Un problème?"
Eijiro: "Les donnés de l'entreprise, elles ont disparues!"L'information s'infiltre lentement dans son cerveau avant de se lever de prendre le talkie-walkie.
Shoto: "Katsuki? Ici Shoto. Un gros problème est apparu. A toi."
Katsuki: "J'arrive de suite. Terminé."Plusieurs minutes s'écoulent. Shoto observe une personne portant une capuche. Cette personne est arrêté depuis quelque minutes pour observer leur entreprise. Si une attaque vient au siège social, les entreprises dans d'autres pays pourrais avoir une chance d'avoir échouer aussi. La porte s'ouvre, laissant le blond apparaître.
Eijiro: "Les données de l'entreprise ont disparus."
Shoto: "Et un type louche observe longuement l'entreprise."
Katsuko: "Ce qui signifie que là, on commence à rentrer dans la merde. Si ces types arrivent à nous pirater et entrer dans l'entreprise, on n'a plus aucune chance. Faud qu'on appel ton frère."
Shoto: "Dabi essaye de voir où se trouve le QG avec Hawks. C'est leur groupe qui se charge de l'affaire".Katsukii tourne en rond, trouvant une solution. Ils sont viser et il le sait. Comment éviter le drame? Ça, il ne le sait pas.
Eijiro: "Pour éviter le même drame à Kapel et l'autre maison d'édition, je propose de renvoyer les gars cher eux. On payera tout de même les jours. Mais je ne veux pas qu'un d'eux se retrouve décapiter en mille morceaux, trouvant un bout d'un coter et un autre bout à l'opposé. "
Katsuki: "Suspendre notre activité d'ici, ok. Mais que vont penser les gens, hein? Tu as penser?"
Shoto: "On a du rab. Si les commerces sont en manque, on a cas envoyer des cartons garder pour les rabs."
Katsuki: "Et pour les partenariats? Dit moi? Ils sont importants pour nous comme on est important pour eux."
Shoto: "Ils comprendront notre décisions. Si ils ne sont pas d'accord, on les abandonne car ils ne sont pas digne de bosser avec nous. Et quand les affaires reprendront, on les payera plus qu'avant durant le temps de la suspension de contrats."Katsuki réfléchi longuement avant de se placer à coter du bicolore et de voir l'homme à travers l'écran.
Katsuki: "On fait ça. Eijiro, tu t'occupes des partenariats. Je m'occuperai des salariés plus tard. Shoto, tu utilises le micro pour dire qu'il y aura une réunion à 17h. Je sort voir le type. Tu as un flingue?"
Le bicolore sort l'objet et le tend au blond, sans pour autant lâcher.
Katsuki: "T'inquiètes. C'est si ça tourne mal. Et au pire, je te fait un signal pour que tu appuies sur le bouton pour appeler les flics."
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La fierté de l'amour //mal reader//
Aléatoire(Mal reader) Dans n'importe quelles histoires, l'amour est traduit par une belle histoire de couple entre une femme et un homme, se marient et ont beaucoup d'enfants. C'est l'amour que l'on voit dans les histoires, mais dans le vrai monde, est-il vr...