Chapitre 2

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⛔️Ames sensible vêtez s'abstenir
Ce chapitre contient de la violence⛔️


Je me dirigeai vers le bureau de papa. Dans son grand fauteuil il était entrain de remplir des papiers. Quand il me vit arriver il arrêta et me pris  sur ses genoux.

-Coucou papa.

-Coucou ma puce. Alors ta journée?

-Genial! J'ai passer la journée avec Imaé on est aller à l'étang et on c'est baigner dans le marécage D'ailleurs je pourrais aller la voir ce soir s'il te plaît? Maman est d'accord.

-C'est d'accord Hope mais tu rentres pas trop tard mon coeur. Dit il en embrassant mes cheveux blond soyeux.

-Merci papa! Dis-je en l'enlaçant de mes petit bras. Je sautait de ses genoux est partit en courant voir maman.

-MAMAN. Criais-je dans les couloirs. Je peut aller voir Imaé. Papa m'a dit oui. Arriver à la cuisine je me mis en face de maman elle était en train de préparer à manger.

-Si papa a dit oui alors tu peut y aller Hopie mais ne rentre pas trop tard.

-A toute a l'heure alors!

Une fois dans le jardin je monta sur mon vélo rose bonbon et pédala jusqu'à' arriver au marécage . J'étais en avance d'une demi-heure Imaé ne pas tarderais pas arriver sur son vélo bleu. Je me cacha dans notre cabane et attendit ma meilleure amie. Le soleil commencer à décliner pour laisser place à la nuit. Je sortis de mon sac à dos une lampe de poche et une barre de chocolat. Un craquement de brindille parvint à mes oreilles.

-Imaé?

Aucune réponse.

-Imaé Statom si c'est une de t'es blague elle est vraiment pas drôle.

Toujours pas de réponse à pars que les pas sont proche beaucoup trop proche. Mon pou s'accélérât, mon coeur taper de plus en plus fort dans ma poitrine. Mon intuition me crier de courir. Hope court si tu tient à ta vie. Tétaniser sur place je ne bougeai pas.

-Le code secret! Chuchotais-je Imaé le code secret.

C'était elle j'en était sûr. Son petit corp aller arriver devant moi me criant BOUH de sa petite voix puis son rire cristallin me parviendrais. J'en étais persuader.

-Imaé si c'est toi tape des mains.

Aucun claquement de main.

-Fourchette!

Imaé n'arriveras jamais à ne pas rire au sons du mot fourchette. Dans la vie de tous les jours je l'aurais pris pour une imbecile a rigoler au mot fourchette mais maintenant c'était le mot qui allait m'aider à savoir si c'était ma meilleure amie qui était là. Ou un détraqué qui me suivais.

Aucun rire.

Je pris mes jambes à mon cou et courut de toutes la vitesse donc j'étais capable à travers les ombres épaisses. Le rayon de lumière de la lampe sautant avec moi. La terreur m'écrasait la gorge, étouffant mes cris. Des pas martelaient le sol derrière moi. Rapides, trop rapides. Trop proches. Quelque chose me frappa dans le dos, une douleur intense rayonna dans tous mon corp. Mes os s'entrechoquèrent, mon souffle se figea tandis que je tombait rudement à terre. Un long sanglot s'échappa de mes poumons alors qu'il me clouait de tout son poids sur le sol. Je sentit l'odeur de la sueur et de whisky.
Je crie maintenant. Un long cris de désespoirs. J'appelle mon amie à l'aide.
Imaé! Imaé! Au secours!
Au fond de moi même, la femme que je deviendrais jamais se mis à pleurer.

Je me réveille en sursaut dans mon lit le coeur en feu. Un cauchemars, toujours le même. Ce soir d'été ou j'ai tué ma meilleure amie.

Quelqu'un arrive dans le couloir et s'arrête devant ma chambre. Je sais qui c'est. C'est lui. La poignet s'enclenche et il rentre dans la pièce. Je ne sais pas quel heure il est. Il doit être quoi, 19h45 un truc comme ça.

Papa me fait face, je me redresse sur mon lit. Mon coeur tambourine dans ma poitrine quand il se rapproche de mon lit. Je recouvre mon corp de ma couchette.

Il se rapproche de moi. Non papa je t'en supplie pas encore. Il enlève la couverture qui recouvre mon corp,

-Non papa ne me touche pas encore une fois je t'en supplie. Dis-je en sentant mes yeux s'embuer de larmes.

Et alors que j'allais crier afin qu'Anny arrive, il anticipe chacune de mes réactions et plaque rapidement sa main contre ma bouche. En même temps son autres main sincère dans mon chemisier pour descendre progressivement vers ma culotte. Il plonge maintenant ses doigts. Mon corp tremble, sue de tous mes pores, figés ma chair dans mon lit. Je commence a me débattre. A repousser son torse plaqué sur moi. Il est trop fort, beaucoup trop fort. Je sais mai tenet que je ne vais pas pouvoir y échapper. Je vais me faire violer encore une fois. Dans mon lit. Comme ces femmes à la télévision que l'on entend témoigner sur leur agressions sexuelles, je vais aussi devoir subir ça. Je lutte avec toutes mes forces réunies. Mes poignets sont broyés, mes jambes immobilisées, ma voix coupés, mon ventre écrasé. J'entend les gémissement de mon géniteur. Ses petit cris haletant de plaisir au ceux de mon cou. Il tire mes jambes vers lui, s'étale et monte sur moi. Je sens son excitation à travers son pantalon. Je continue à me débattre, à crier. Mais personne ne m'entendra, ou du moins ils feront semblant de pas m'entendre. Mes bras frêle ne sont tenue que par une seul main de mon agresseur pendant que l'autre s'attarde à détacher la ceinture et les boutons de son costume. La culotte en sois que maman m'a offerte pour mon anniversaire est arraché en une fractions de seconde. Il ma griffé en même temps. Un ultime sursaut me fait convulser, mon corp se tord dans tous les sens, mes pied tendues a l'extrême pour lui échapper. Je suis rapidement épuisé, sans forces. Tous les membres souffre de ne pas m'aider. Il me pénètre. Les vas-et-vient commence à s'engager, d'abord lentement puis très fort. J'ai mal. Mon vagin et sec, les parois de mon sexe sont râpé jusqu'au sang. Il s'arrête soudain. D'une main assurée, il attrape mes cheveux et m'oblige a me tourner sur le ventre. Je l'entend marmonner quelque mot mais ne parvint pas à distinguer le sens des sons. La réalité se déforme. Rien n'existe plus. Je vais me réveiller. Peut-être suis-je dans ma chambre entrain de rêver et papa vas venir me réveiller énerve encore une fois.
Son sexe est dur comme une arme. Il tape dans le fond de mon ventre par coup violent. La douleur me fait vomir sur le tapis de la chambre. Il ne s'arrête pas. Sa respirations s'accélère.

-Viens!

Son corp lourd remonte sur mon visage. Son sexe durci se place en suspens au-dessus de ma bouche.

-Vazy! Prend la dans ta bouche!

Je tourne la tête dans tous les sens, le supplie d'arrêter, tente de se dégager de son emprise. Il immobilise mon visage de ses mains, ses genoux bloquant chacun de mes gestes, et in été violemment son sexe dans ma bouche. Bien au fond de ma gorge . Je vais m'étouffer. Je le mord avec mes dents . Il se retire d'un seul coup et le gifle.

-Salope! Tu veut sa alors?

Il bande encore. Il revient en moi par derrière. La sodomie. Je n'avais jamais fait ça avec personne. La douleur est insupportable. Il change d'orifice et finit par jouir en moi. Dans un long râle de plaisir. C'est terminer. Son sexe et mou. Trempé de sperme. Il est soulagé et d'un geste furtif se relève pour se rhabiller puis il part de la chambre comme si de tous ça ne c'était passer encore une fois.

Tu aurais du le tuer se soir d'été Imaé.

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Voilà le chapitre 2
Dites moi ce que vous en penser
Et à bientôt pour le chapitre 3😉

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