Après plus d'une heure passée à regarder la télé, nous décidons de monter nous coucher, mais aillant faim, je décida de regarder ce qui se trouvait dans le frigidaire. Je prit alors une tranche de jambon, ainsi que du pain, qui lui se trouvait sur le plan de travail. Je me fis donc un sandwich que je mangea. Une fois ma faim comblée, je décida de rechercher une occupation, n'étant pas fatiguée. Je fini par trouver une bibliothèque. J'observa les livres, un attira particulièrement mon attention: il parle d'une adolescente menant une enquête dans sa ville natale. Ça a l'air intéressant, je le prend et trouve un vieux journal auquel j'arrache le coin de la page pour me faire un marque page. Je monta dans ma chambre et commença ma lecture. J'enchaina les chapitres, complètement plongée dans l'histoire.
Ce sont des bruit de pas retentissants dans le couloirs qui me font sortir de ma bulle. Je décida de regarder le réveil se trouvant sur ma table de chevet. Celui-ci indiquait: "8:36". Je n'avais pas fermé l’œil de la nuit. Malgré cela, je ne me sentais pas si fatiguée. Je descendis les escaliers et rejoignis les deux adultes se trouvant dans la cuisine. Je les salua et pris une tasse du reste de thé qu' Hizashi avait sûrement fait. "Vous n'êtes pas sensé faire cours à cette heure là?" demande je aux deux hommes. "Je bosse tard ce matin et ton père commence à dix heure" Me dit le bond, bien énergique pour l'heure. "D’ailleur, les policiers ont chargé le "piaf" de te surveiller le temps que tu n'es pas scolarisée, il ne devrait pas trop tarder." Dit mon père avec un air légèrement agacé. "Le "piaf" ? Tu veux dire Hawks?" Il me répondit d'un simple hochement de tête positif.
Suite à cette annonce, je souffla et continua de boire mon thé. Après avoir fini ma tasse je me mis en tête de m'habiller mais je me rappela que cela faisait deux jours que je porté les même vêtements, n'en n'ayant pas d'autre dans cette maison. "Je m'habille avec quoi?" demande-je à mon géniteur. Il me répondit du tac au tac: "Je vais te passer des vêtements. Mais c'est exceptionnel." Dit il avec son air neutre habituel.
Il se dirigea donc vers sa chambre et revint avec quelques habits qu'il me tendit. "J'ai pas de sous-vêtements pour toi, donc tu les mets à laver le temps que tu prennes ta douche." Me dit mon père.
Suite à ces mots, je me dirigea vers la salle de bain, servant également de buanderie. Je mis donc à laver mes vêtements avec un cycle rapide afin de les avoirs après avoir prit soin de me laver. Une fois cela de fait, je récupéra mes vêtements et les mis vite fait au sèche linge. Après quelques minutes, je pu récupéré mes sous vêtements et m'en vêtir, j'ai également enfilé le tenue que mon paternel m'a gracieusement prêté.
Je suis descendu, dans le séjour, il n'y avait qu'Hizashi. "Ou est Shota?" lui demande je. "Il est parti travailler. D’ailleurs, pourquoi tu l'appelle par son prénom? C'est ton père.". Je souffla puis reprit la parole: "Pour le peu d'affection que j'ai pour lui, il n'aura pas de surnom.". Le blond hocha la tête, ne posant pas d'avantage de question. Mon père a déjà dut lui expliquer la situation.
Hizashi enfila son manteau, ouvrir la porte d'entré avant de dire: "Hawks ne devrais pas tarder. Si vous sortez, il y a des clés sur la table avec un peu d'argent. C'est de ma part, ne dis rien à ton père." et me fit un clin d'œil et continua: "Donc achètes toi des fringues. Pas que les affaires de Shota ne te vont pas, mais c'est mieux d'avoir les siennes. Aller, j'y vais. À ce soir." Après cela, il partit, claquant la porte derrière lui.
J'alluma donc la radio, afin d'avoir un fond sonore. Puis commença à fouiller dans tous les placards. Je voulais des informations sur ce qui s'est passé durant mon absence. J'ai l'impression d'avoir loupé tellement d'évènements importants. Je sais pas trop pourquoi je veux savoir cela, mais c'est le cas. La curiosité et un vilain défaut mais pour une fois je la laisse faire. J'ai l'impression qu'on me cache des choses. C'est normal, je viens du coté des "vilains", ils ont le droit de se méfier mais je ne supporte pas ça.
Après plusieurs minutes de recherche, je me fis interrompre par le bruit de la sonnette, résonnant dans tout l'étage inférieur ainsi que dans l'escalier. Je rangea donc en vitesse tous ce que j'avais sortie de façons à ce qu'on ne voit pas les investigations que j'ai mené. Puis je me précipita vers la porte d'entrée. Lorsque je l'ouvris, je vis deux policiers. Ceux-ci commencèrent à m'expliquer le fait que lorsque je serais pas avec mon géniteur ou son compagnon, je serais sous la surveillance de héros professionnel, mais l plus récurant sera "Hawks", car c'est celui qui a l'emploie du temps le plus souple.
C'est au même moment que je remarqua son absence. Il est sensé être avec moi pour me "surveiller" mais il n'est pas présent. "Excusez-moi, vous parler de Hawks mais il n'est pas là. Si?" demande-je aux forces de l’ordre. "Il nous attend au commissariat, il faut que l'on te pose quelques questions supplémentaires. Après tu seras libres, bien que sous surveillance constante."
Après la prise de parole du policier, j'alla récupéré les clés se trouvant dans la salle à manger. Une fois la porte fermée, ils m’emmenèrent au commissariat. Une fois arrivés; ils me firent sortir du véhicule et m'escortèrent en direction de la salle d'interrogation, que je reconnaissais être la même que celle de la fois passée.
Dans la pièce se trouvait une policière en uniforme, discutant avec le héro aux ailes rouges. Lorsqu'ils remarquèrent ma présence, ils firent signes aux policiers se trouvant à mes cotés de partir. Une fois cela fait, la jeune femme prit la parole: "Je suis l'agente chargée de te poser des questions. Cela ne prendra pas longtemps. Après cela tu pourras repartir avec Hawks." m'explique-t-elle. Je ne fis qu'acquiescer d'un très léger mouvement de tête, peu enthousiaste de la situation.
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𝐀𝐛𝐚𝐧𝐝𝐨𝐧//Une Rancoeur pas si profonde
FanfictionJe suis Aya, Aya Aizawa. Mon père, le célèbre Shota Aizawa, a préféré son travail a moi. Je me suis donc retrouvé dans le camps inverse. C'est seulement neufs ans plus tard que je le retrouve, m'étant fait attraper par les héros. Les retrouvailles s...