Nous avions finis nos plats et Catarina était déjà passé pour récupérer les assiettes et pris la commande de nos desserts. Le plat était tellement copieux que sincèrement il me restait très peu de place pour un dessert. Mais une certaine personne m'en avait limite obligé d'en prendre.
- Jea, j'ai quelque chose à te dire.
Il n'était plus en train de rire et de passer un moment chaleureux, d'un coup il était très sérieux tout comme son regard, on aurait dit qu'un mur se dressait entre nous.
Je me redressa, un pique de curiosité monta en moi.
Qu'est-ce qui peut bien susciter autant de sérieux.
- Je t'écoute, dis moi.
- J'ai une proposition à te faire. Qui je l'espère te plaira.
Son aspect sérieux se transforma en un professionnalisme inné prêt à faire une offre très importante, j'avais l'impression d'être à un entretien d'embauche.
- Arrête ce suspens, qu'est-ce que c'est ?
- Tout à l'heure on parlait de nos envies, tu as suggéré que tu aimerais travailler dans un garage et voir en diriger un, un qui porte ton nom.
Mais il va accoucher, crache le morceau ! Criais-je dans ma tête.
- C'est bien ce que j'ai dit, où veux tu en venir ? Soupirais-je.
- J'ai plusieurs petites entreprises pour certaines affaires, dont un garage, c'est un ami qui le dirige, tu m'as l'air d'être habile pour les réparations. Est-ce que ça t'intéresserais ? Je vais être honnête, j'ai déjà soumis un dossier de toi, pour lui, tout est bon, il est d'accord pour te prendre, à toi de voir ce que tu fais de cette information. Et bien sur tu seras payé, c'est-à-dire que tu toucheras un salaire.
Je m'arrêta net. J'étais confuse et perdue. C'est pas possible, c'est trop beau pour être vraie, pourquoi ferait-il ça ?
- J'ai beaucoup trop de questions en tête tout d'abord.
- Je comprend. Je répondrais à toutes du mieux que je le peux.
- Quelles sont ces affaires dont tu parles ? Comment peux-tu avoir soumis un dossier sur moi, je ne t'ai rien donner et on ne s'est vu que deux fois ? Et pourquoi ferais-tu ça, c'est comme un cadeau, ça cache forcément quelques choses.
- En effet tu as beaucoup de questions, mais je vais prendre le soins de toutes y répondre, ça mérite d'être clair.
Pour commencer je ne peux juste pas parler de ces affaires, c'est assez personnel, ce qui en est pour le dossier, j'ai fait des recherches sur toi, j'ai fouillé dans ton passé, ton histoire, ta famille, tes fréquentations, ton statue, j'en suis navré, c'est pour une raison d'assurance, les autres employés ont eu le même traitement. Je fais ça car je pense que tu en as les capacités, ça permettrais d'étendre tes connaissances et de travailler sur des machines.
A l'annonce des réponses surtout à une, mon sang se glaça, j'en avais des frissons.
Il était donc au courant de ma raison de pourquoi je ne vois plus mes parents, de tout.
- Vous savez donc tout de ma situation et de mon liens familiale ?
A l'instant je n'étais plus à la rigolade.
- Oui, je sais ce qu'il t'ai arrivé, mais je ne suis pas là pour ça.
Quant à lui, son visage était imperceptible, aucune émotion, il était indéchiffrable.
- Dois-je vous faire confiance ?
- Il est préférable que oui. J'ai oublié de précisé, il y'a une condition pour ce travail.

VOUS LISEZ
EssencE
Любовные романыQui pourrait penser qu'une simple rencontre peu autant bouleversé une vie ? Ce n'est certainement pas le cas d'une jeune femme, réparatrice de voiture dans les rues, sorte de portes à portes avec des voitures et moteurs, qui irait imaginer cela. El...