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PROLOGUE

Coucou tout le monde !!! Déjà, je vous remercie de lire mon livre au titre de...

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🤭J'espère que vous allez aimez. Bon là, j'apprête juste le terrain pour mademoiselle !!!

⚠︎Ce prologue contient une scène de kidnapping.

Bon bah... Sans plus tarder...

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°Mon père m'aidait à fermer le zip de ma longue robe verte scintillante et très vite, je me dirigeai vers la voiture... J'étais sans émotion descriptible.°

Je criais et sanglotais. J'étais couchée dos au sol, couverte de la tête au pied par un drap épais, dans un lieu qui m'était inconnu. Je ne sais pas comment ceux qui m'avaient kidnappée avaient placé cette couverture mais je n'arrivais pas à y sortir. À chaque fois que je me rapprochais d'un endroit qui me semblait être le bout de ce fichu drap, je sentais un truc tellement lourd qui ne me permettait pas de soulever le drap. Mon petit corps ne faisait que se débattre du mieux que je pouvais.

Je n'arrivais pas à respirer... Comme si l'air m'était interdit. Ou peut-être était-ce une impression...

Aucun jour de mon existence ne pouvait être pire que celui-ci.

Ce jour que j'étais censée apprécier.
Le jour de mon anniversaire.
Mon dixième.
Je m'étais faite kidnappée.
Pourquoi ? Je ne sais pas...

Alors que je criais et que je sentais ma respiration devenir de plus en plus difficile, j'entendis une voix masculine:

--Entre dans cette pièce, salope !!

Cette voix se suivait d'un bruit qui ressemblait au grincement de la porte de la pièce dans laquelle j'étais.

--S'il vous plaît, ne lui faites pas de mal; entendais-je.

Je reconnaissais cette voix, mais cette fois-ci, elle était faible et tremblante.

--Maman !!!!! ; criais-je de toutes mes forces.

°La moitié du trajet s'était déjà faite. J'étais présente dans cette voiture et consciente du lieu où on allait. Mais mon cerveau était perdu°

--Aéna...ma chérie, tout va bien se passer; dit ma mère d'une voix tremblante.

Tout va bien se passer.
Tout va bien se passer.
Tout va bien se passer.

J'essayais à mon tour de me consoler avec cette phrase. Je savais que me mère n'était pas certaine en la disant mais elle me consolait assez.

--Je pourrais la tuer maintenant, tu sais; dit l'homme en s'adressant à ma mère alors que je pleurais de toutes mes larmes et n'arrivais plus à respirer normalement.

J'étais coincée dans ce fichu drap et je ne pouvais rien voir. Mes larmes et mes sanglots ne faisaient qu'aggraver ma respiration.

Putain, je veux voir ma maman...

--Vous n'aurez pas ce que vous voulez. Prenez ma vie à sa place!; dit ma mère presque dans un cri.

Tout se passa si vite. Je n'entendais que des coups de feu, des cris de douleurs et mes sanglots. J'étouffais sous ce truc qui me couvrait.

Qu'est-ce qu'il venait de se passer ?

Je ne voyais rien. Rien... Et ça me contrariait encore plus.