𝕸𝖆𝖘𝖐 𝕺𝖋𝖋

Chapitre 19

Hey!!

⚠︎⚠︎Ce chapitre contient des scènes de meurtre.

Bonne lecture 💋 !!!

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Washington_chez Mayra

PDV Mayra

J'en avais marre. Non ! Je ne voulais plus ça.

Marre. Marre. Marre de tout.

Je n'en pouvais plus...

Ma tête chauffait. Je voulais être comprise. J'aurais aimé que mes amis le sachent... Je crois que je suis brisée, ou que je suis vide.

J'étais allongée sur le dos. Je sentais une larme ruisseler sur ma joue, puis une autre. Où est-ce que tout ça allait me mener? Allais-je mourir ?

Mourir...

— C'est normal de dramatiser autant quand on est malade ? me demande mon petit-frère Kyle en entrant dans ma chambre.

— Et si je meurs, Kyle? Tragédie! dis-je.

Depuis déjà quelques heures, je ne me sentais pas bien. Et ça empirait. Kyle dit que j'exagères dans ma réaction... C'est faux... C'est lui qui exagère dans sa manière de voir mes choses.

— J'ai 15 ans. Mais je me sens quand même bien plus mâture que toi, May. me dit Kyle en me tendant un comprimé et un verre d'eau qu'il était venu avec. Papa a dit que je te donne ça.

— Est-ce un antidote, un antidépresseur, pour que je ne meurs pas? demandais-je avec un regard étonné et triste.

Mon petit frère me dévisagea et me dit:

— Arrête la télé. Ne regarde plus de télévision ou quoi que ce soit. Maintenant, tu es encore plus bête que tu ne l'était. C'est un putain de comprimé, Mayra ! Pas un antidote... Tu te crois à Disney ou quoi ?

Je le dévisageais à mon tour et lui dis:

— Ouais, bon. T'es pas obligé de crier sur moi non plus... Fais ce que tu es venu faire et sors de ma chambre. C'est une réaction tout à fait normale pour une personne qui tombe malade.

Il roula des yeux. Kyle déposa ensuite le verre d'eau et le comprimé sur le chevet de mon lit, et sortit de la pièce.

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PDV Nia

J'étais à la salle de réception depuis quelques minutes. Je venais de terminer mon verre de jus de fruits. Il fallait que je poursuive ma mission.

— Caméras coupées. entendis-je une voix grave à travers mes oreillettes.

Je compris qu'Anton avait déjà couper les caméras de surveillance.

J'avais déjà trouvé les escaliers qui pouvaient mener à l'étage. Ils étaient assez cachés, dans un couloir. Et le faut que les lumières n'y étaient pas allumées, les rendaient difficile à voir.

Sauf qu'il y avait trois hommes en lunettes de soleil autour. Je présume qu'ils étaient des sortes de gardes.

Il fallait que je les éloigne de là. Il me fallait une diversion ou un truc du genre. Je choisis donc de demander à Milan son aide.