Chapitre 38 : Rindou

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Marchant seules dans les rue de Tokyo, la nuit est tombé depuis un moment. Portant un masque sur le visage pour évité que l'ont me regarde fixement, je ne m'occupe de rien mise a part retrouvé mon chemin.

Je cherche désespérément le quartier général du Kanto avec le peu de souvenir que j'en ai. Je dois me dépêcher, j'aimerais rentré avant sur Atsushi n'arrive.

Avec de la chance, je ne croiserai personne, de ce fait, je pourrais rentré directement après avoir déposer la lettre.

Ont-il seulement une boite au lettre... Honnêtement, je ne pense pas. Je ne sais plus qui, cette personne avait fortement conseillé a ce que je n'entre pas dans le bâtiment si je voulais resté en vie. Alors je poserai juste la lettre devant la porte, espérant que quelqu'un la remarque.

J'aurais pu l'envoyé directement par le service postier, néanmoins, quelque part, je préfère l'emmener moi même, puis je ne connais absolument pas l'adresse.

Chaqu'un des pas que je fait dans cette rue déserte est beaucoup trop remarquable, j'ai l'impression que c'est un coup de tambours.. mes bottine a talon rendent mes déplacement trop bruyant dans ce coin ou l'ont ne veux pas être vus.

Je me sens observé, c'est une sensation très déplaisante.

Je reconnais les néons qui ce trouve devant moi, ce bar qui rayonne dans cette rue, je suis dans la bonne direction et ne préfère ne pas m'attardé ici. 

Je vois ce bâtiment plus imposant que tout les autre, a un certain étage, j'arrive a voir des lumière clignoté comme si une fête avait lieu, ce soir encore il semble y avoir une bonne ambiance a l'intérieur, je me demande tout de même a quoi ressemble l'intérieur des mur de cette grande tours.

A l'entrée de ce building, par chance je vois deux homme appuyé contre une façade fumant une cigarette tout en discutant en riant a gorge déployé. Il me remarque et arrete donc de rire soudainement.

Figé, je me fait nerveuse, l'un d'eux prend son arme a feu prêt a ce débarrassé de l'élément gênant qui s'approche de leur QG. C'est vrai que j'ai l'air menaçante.  Je regarde autour de moi, c'est bien moi qu'il " vise " 

... : T'est qui toi.-il agresse. qu'es ce que tu viens faire ici.

... : Enlève ton masque ! -il ordonne.

Yoi : Bonsoir, j'ai une lettre pour Rindou, est ce que vous pouvez la lui donné pour moi..? 

... : J'ai une gueule de postier chérie..? 

... : Tu est l'une de ses crush ? Poupée, si il t'a pas rappeler, c'est que tu ne dois pas être aussi bonne qu'il pensé.

Agacé par ses réflexion, ma voix prend un timbre plus grave et contrarié. Ont-ils tous cette mentalité de merde dans ce gang a la noix..? 

... : Lâche l'affaire.

Yoi : Ce n'est pas du tout ca!

Me regardant de haut en bas, son expression change, quelque chose semble éveillé son intérêt soudainement.

... : Pourtant tu n'a pas l'air mal du tout, enlève donc ce masque qu'on voit ton visage.-il demande.

Je lève les yeux au ciel, gardant mon masque. Tournant mon visage, je par en direction des portes pour essayé d'y trouver une nouvelle silhouette en regardant a a travers les vitre, mais il ne semble y avoir personne.

... : Oh, je t'ai parlé! -Il rage.

Je plisse les yeux en le dévisageant durement, sa main s'avance tout a coup vers moi, m'arrachant mon masque, mon visage  fut dévoilé, son expression devien a la fois surprise et horrifié.

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