Chapitre 43 : Ce laisser vivre.

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Je commence à suffoqué, il m'étrangle et je peine à respiré.

J'essaye d'appeler a l'aide, mais mon manque d'air m'arrache ma voix. Je tente de me retourner pour croisé le regard de Sanzu espèrent qu'il me reconnaissent.

Mais avant que j'y arrive, ses main de desserre doucement, je le sens tremblé.

Mes jambe me lâche ainsi je m'effondre au sol incapable de tenir.  Je tousse fortement jusqu'à comprendre qu'il m'a reconnus.

Il s'éloigne de quelque pas, sous le choque de ma présence en c'est lieu. Ce qui le rapproche de son lit.

Sanzu : Comment tu peu être arrivé jusque ici Yoi...-Il parle surpris. Putain je délire la.

Je me relève doucement, en reprenant ma respiration une main sur ma poitrine.

J'essuis la salive qui avait couler de mes lèvres à cause du fait d'avoir gardé la bouche ouverte, en quête d'un peu de vie.

Je croise son regard, puis remarque son état.. en plus du manque de drogue.

Le voila troublé, je le vois facilement, ses yeux son grand ouvert sur moi, croyant rêvé, ses pupilles tremblent tout comme sont corps.

Sanzu transpire, son visage est pâle et plus maigre qu'avant, est-ce un effet néfaste de sa drogue ...? Il as des cerne si épaisse sous les yeux.

Ça me ferait bpresque de la peine de le retrouver comme cela et de le connaître si différemment.

Ce n'est pas pour autant que je vais lui pardonner son geste précédent. Il était prêt à m'étranger ! Me tuer..

On m'a donné carte blanche, alors je ne vais pas me gêner, peut être même que ça va me faire du bien.

Sans avertissement, un pas de fait vers lui, je lui offre une énorme gifle qui lui fait écarquiller les paupières. Ça  t'apprendra a m'avoir étouffé a un tel point, et j'ai été gentille je trouve.

Yoi : Tu fait quoi la Sanzu! Arrête tes conneries ! Tu as faillit me tuer!-Je cris.

Je le sens sursauté, sensible a chaqu'un de mes bruits ou  de mes paroles... Puis en voilà une deuxième qui s'écrase contre sa joue, juste parce qu'il l'a mérité et que ça me fait du bien.

Sanzu : ?!

Sanzu s'assoit lourdement sur son lit, tremblant au possible dans un grand soupir.

Posant ses coudes sur ses genoux, courbant le dos... Cet homme observe ses mains abîmées par ses accès de colère avec dépit.

Il est méconnaissable, et je reste très surprise sans le montrer. Ce n'est pas le Sanzu que je connais, assuré et agaçant, tout de suite, il est très différent. 

Tout cela me permet de voir toute la sensibilité qu'il cache en lui. Je ne m'y attendais pas..

J'observe sa chambre dévastée, les meubles sont en miette. Des cendriers a terre, table renversé, ses vêtements éparpillés, saccagés.

Un tel gâchis... Je soupire doucement rassuré qu'il sois plus calme bien que cela semble être difficile pour lui, son corps ce tend a l'extrême.

J'enlève mon manteau, le posant sur un "meuble" a côté et je m'approche une nouvelle fois de Sanzu.

Maintenant qu'il m'a reconnus, j'ai moin peur de ses réaction envers moi. J'avais toujours dans ma main, cette cigarette que Hanma venait de me donner.

Je la mets sous le nez de Sanzu, qui lève des yeux surpris vers moi.

Yoi : Prend la.-Je parle. Ce n'est peu être pas ce dont tu as besoin, mais si sa peut te soulager même un peu.

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