Chapitre 54. Glace sur la peau

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Le coffre s'ouvre, je suis enfin sortie du noir. D'une poigne de fer, il me force à me lever, toucher terre. Mon visage grimace de douleur ayant aucune envie de les laisser faire toute leur action.

Je ne sais même pas ce qu'ils vont faire de moi.

Même si l'ont me fait sortir violement de la voiture, jusqu'à en tomber au sol, le gamin au cailloux leur conseille de tout de même de bien me traité, avec un ton autoritaire et sec, bien qu'amuser de me voir a terre, presque a ces pied. Ils s'y plient sans sourciller.

Peu être que d'une certaine façon il veulent me garder en état, au cas où le Kanto débarquerai..

Dévisageant l'homme qui m'a lâché avec colère, je retiens un horrible jurons des qu'il revient avec la même délicatesse me relevé, me redresser, puis en me bousculant ils obligent à avancer avec eux.

Je ne sais pas où je suis, ni quel chemin ils ont emprunté, autour, je ne reconnais rien,c'est sûrement pour cela que j'ai fait pour la première fois de ma vie, un voyage dans le coffre d'une belle voiture noir sans plaque d'immatriculation.

Autour de moi, il n'y as qu'un chemin de gravier et quelque arbre et arbuste.

La nuit camoufle tout ce qui peu ce trouvée ici, je pense seulement avoir quitté le centre ville pour allé dans un coin plus reculé de Tokyo comme une vieille décharge, ou des entrepôts abandonné.

Un bon vieux coin de boloss.

On entre dans un bâtiment a la façade vraiment sale, les vitre brisé un aspect sombre et effrayant s'ajoute avec la pénombre.

Les craquelures du mur font que cet endroit menace de s'écrouler. L'odeur est mauvaise, l'ambiance également.

Je grimace à nouveau dès lors ou l'ont me fait rentrer à l'intérieur. Certain du groupe attendent devant la porte principale, tandis que le gamin au cailloux et celui qui m'agripe depuis tout à l'heure me lâchent puis continue leur marche l'air de rien.

Yoi : Mh.. ?..

Je suis inquiète, mon visage observe ce qui le trouve ici avec crainte, je ne sais pas ce qui vas m'arriver. Est que je vais subir un interrogatoire comme dans les film où ils vont me frappée ?..

Jusqu'à présent je garde un peu de calme, mais à l'intérieur de mon corps chaque muscle est en alerte.

J'entends des rires dans des pièce a côté, ou d'autre personne discuté de femme dénudé qu'il regarde certainement dans un magasine trouvé dans une poubelle.

Quelque homme traverse les couloir, certain me remarque d'autre non. Pour ceux qui m'ont vu, il m'observe avec des yeux qui me rendent mal à l'aise, dangereux et minutieux sur les détail qui font de moi une femme a leurs goût, leurs regards remplis de perversion ne me mettent pas en sécurité et me force un peu a vouloir me cacher.

J'ai l'impression d'avoir affaire a des prédateurs.

Je comprend alors qu'il s'agit de leur planque. Je suis donc très loin d'être seul. Je ne ressortirait pas d'ici indemne.

Arrivé devant une porte entrebâillée, le gamin rentre sans toqué, appellant un homme comme si il était un de ses proche, tout de suite par son prénom.

... : Ç'est vrai?-Il parle surpris. Tu as réussis à la capturé ?

Gamin : Ça n'a pas été bien compliqué. Elle était seule. Puis elle ne sait pas ce battre.

... : Nickel! Fait la rentré.-il parle précipitamment.

Le gamin reviens donc vers moi, après un pas en arrière de ma part, il m'attrape par le poignet sans assez de force pour me le tordre, mais avec assez d'insistance pour me forcé.

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