Non loin de cette eau trouble, des enfants aux airs joyeux jouaient.
Sans se soucier de l'humeur changeante des nuages, innocents.
Leurs parents les appelaient, inquiets qui leur arrive malheur. Ils devaient rentrer.
On les appelait lumières.
Car ils étaient cette issue qui nous tendait toujours la main malgré les ténèbres jaillissants.
La mer s'agita.
Alors qu'elle semblait s'être retirée, pour laisser place au sable sec, elle revint.
Cette eau noire qui effaça le sourire qu'avait dessiné ces enfants. Innocents, ils le pensaient éternel.
La souffrance l'emportera toujours.
VOUS LISEZ
Cette existence ( le jour où le soleil a plu )
PoesíaPeut-on vivre en espérant sa fin ? Vivre sa vie pleinement c'est d'abord commencé par trouvé son autre moitié de lune. Quelqu'un qui nous comprendra. Peut-être cette moitié de lune se trouve-t-elle déjà en nous ? Entre anxiété et confiance bafouée...
