Je n'avais jamais compris pourquoi je ne laissais pas les gens qui me faisant du mal s'en aller,
Je voulaient qu'ils restent, quand ces méchants gens menaçaient de m'abandonner,
Et j'ai enfin compris,
Leurs trahisons ne me faisait rien,
La tristesse que cet acte aurait du normalement me procurer était devenu mon quotidien,
Je ne voulais pas qu'ils partent car ils étaient ma dépendance,
Leurs rares bonnes actions créaient ma jouissance,
J'en voulais plus et toujours plus,
Comme un horrible monstre qu'on nourrit,
Et son appétit grandissait,
Et si un manque se faisait ressentir il s'écroulait,
Ne m'abandonne pas, ou le monstre périra,
Seul au milieu de tout ça.
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Cette existence ( le jour où le soleil a plu )
PoesíaPeut-on vivre en espérant sa fin ? Vivre sa vie pleinement c'est d'abord commencé par trouvé son autre moitié de lune. Quelqu'un qui nous comprendra. Peut-être cette moitié de lune se trouve-t-elle déjà en nous ? Entre anxiété et confiance bafouée...