Chapitre6

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Ça fait maintenant plus d'une semaine que je ne le vois plus, il rentre tard et ne fait aucun signe de vie...quand je demande à Maria elle me dit qu'il a beaucoup de boulot, alors je suis tout le temps dans ma chambre seule à pensé à mes sœurs... vous vous demandez sans doute pourquoi je ne pense jamais à mes parents ! Tout simplement parce qu'il n'ont pas été les parents qu'ils devaient être... ma mère suvait ce que mon père lui disait à la lettre et lui ne foutait absolument rien... il fesais mes petites sœurs devant moi enfin il frappait ma mère en lui fesant des enfants bref c'est pareille... je n'avais pas entendu la porte s'ouvrir que j'entends une voix super forte crier de surprise

-Oh mon Dieu tu es juste magnifique. Enzo m'a jamais dit que tu étais une pépite comme ça j'suis amoureuse littéralement

Je ne comprenais absolument rien mais aui était-elle sûrement une amie à monsieur scappeloni elle est magnifique avec ses longues jambes, sa coupe de cheveux lui va à la perfection en plus elle est rousse et ses piercings partout sur les oreilles et le nez, ses yeux sont d'un bleu éclatant qui donne de la valeur à ses tâches de rousseurs... voyant que je l'a scrutait enfin littéralement  elle s'approcha alors de moi puis saisissa mes cheveux

- Tes cheveux sont magnifiques... Allé dis moi où est qu'il t'a trouvé t'es tellement pure

- Euh... je...je ...euh

- Ne tais-je pas dit que tu ne pouvais parler qu'en ma présence dit-il en me regardant durement en baisant la tête et toi fou lui la paix s'adressant à la rousse

-Pitie Enzo elle est incroyablement belle je veux juste lui dire deux mots

- C'est hors de question pas maintenant et puis pourquoi t'as coupé tes cheveux

- Parce que j'an avais envie grand frère dit elle d'une voix ironique

Enzo: Haïcha debout et suis moi dans mon bureau

- et moi alors Enzo

Enzo: tu n'es pas ma chose alors fais ce que tu veux

Ça veut dire quoi ça ??? Alors je ne suis même pas sa femme mais sa chose ! Bref j'étais juste derrière puis il s'arrêta devant une porte en bois dure d'un marron presque noir j'en déduis que c'est ici son bureau... il ouvre finalement la porte et me fais rentrer avant de faire de même et fermer la porte derrière lui... alors je  me met à genoux comme d'habitude tête baissée...

- Tu sais que tu n'as pas respecté une règle là hein? Et qu'est ce que tu mérites ? Dit- il d'une voix grave et sombre

- Une punition monsieur dis-je  d'une voix à peine audible

- Bien maintenant déshabille- toi et ne me perd pas de temps

Est ce que ça sera toujours douloureux ? Sera-t-il brutale ou doux comme la dernière fois?

- Je ne serai pas gentil cette fois ci je déteste qu'on puisse me désobéir dit- il en colère juste parce que j'ai voulu répondre à sa soeur!

Il se dirigea vers son bureau et sortit un paquet de cigarettes, il en pris une et l'alluma je restais debout là tête baissée et nue à attendre ma punition... j'entendais alors des pas signe qu'il revenait vers moi et aussi rapidement que l'éclair il se metta derrière moi en m'attrapent le coup comme un chiot qu'on veut soulever et me poussa la tête sur son bureau et les fesses à l'air se présentant à lui je ne pouvais pas voir l'expression de son visage.

J'entendais alors le bruit de sa fermeture et son pantalon glisser suivi de son boxer et monsieur déjà bien dressé et en colère, je serai alors les dents et me mis à poussé quelques crient de douleur quand il s'introduit brutalement en moi, des larmes perlent mon visage mais je ne peux rien dire... sa main posée sur ma hanche lui permettait de faire ses vas et viens coup j'essayais de la saisir pour lui faire comprendre que j'avais mal mais il saisit celle-ci et la tourna et la posa sur mon dos... je n'aurai jamais dû grâce à ma main ses vas viens était beaucoup plus brutaux

Après quelques que coups de reins encore il se retira de moi dans un grognement et versa ce même truc sur mon dos. Il se retira de moi puis remonta son boxer et son pantalon quand à moi impossible de bouger j'avais trop mal toujours dans la même position, ma main gauche toujours sur mon dos... les larmes ne cessant de couler je me demandais qu'est ce que j'ai bien pu faire de grave... il s'éloigna et alla s'asseoir sur le fauteuil de son bureau.

- Habilles-toi et viens près de moi

Je fais ce qu'il me dit tout en pleurant, je me dirigea alors vers lui, il me tira pour que je puisse m'asseoir sur lui et posa ma tête sur son torse bien bombé j'étais comme un  moustique sur un éléphant il me caressa alors les cheveux pour m'attendrir

- Je ne veux pas que tu me prenne pour un méchant mari j'entendis cela avant de sombrer dans les bras de Morphée

Sa SoumiseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant