chapitre 13

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Il s'avance tout doucement et moi je recule, jusqu'à me cogner la fesse gauche contre le rebord du lit...ça fait très mal, il se rapproche puis m'attrape,je reste là toute nue à le regarder sans bouger, ça me gène alors au moment où je voulais attraper ma serviette.

Il me pousse sur le lit, et monte sur moi, avant de déposer sauvagement ses lèvres contre les miennes, difficile de suivre son rythme alors je m'arrête pour prendre un peu d'air.

ENZO: Je ne veux plus de règle avec toi, tu es ma femme et ma propriété, j'ai juste besoin que tu m'obeïsses sans bouder ou autre, que tu parles que lorsque que je te l'autorise ou lorsque je m'adresse à toi.

Il me regarde droit dans les yeux, je me sens très mal à l'aise comme ça alors je baisse mon regard, il descend sa main jusqu'à mon intimité, soulève ma jambe de sorte que ça soit ouvert et qu'il puisse avoir accès à cette partie, dès que son doigt rentre en contact avec mon clitoris, un son s'échappe de ma bouche ce qui me gène encore plus, mais lui ça lui faire sourire.

Il se rapproche de ma bouche et l'embrasse tendrement tout en faisant des cercles en bas, je ne comprends pas pourquoi mais je ressentais un plaisir inexplicable, je n'avais pas envie qu'il s'arrête alors je me suis mise à le supplier, j'en voulais plus.

-S'il...s..hannnnn....s'il vous plaît... J'ai.. hann...mon... monsieur...ne vous arrêtez pas, je vous en prie... S'il....v..plaît.

Et il se stop tout à coup, j'étais toujours sur mon petit nuage mais je ne sens plus de présence au dessus de moi, alors je me relève et le voit debout de devant.

Enzo : Ça devenait très intéressant mais ça m'ennuyais que tu ne puisses pas gémir plus fort pour que Maria puisse savoir que le fils qu'elle a élevé est un Dieu du sexe, très insultant ton comportement, je veux  t'entendre crier et gémir de plaisir que les gardiens puisse t'écouter ... Il te reste 3 min.

Il se retourne et sort de la chambre, je suis restée dans la même position,si j'étais blanche je serai déjà rouge de partout tellement j'ai honte, je ne veux plus le croiser, mon Dieu qu'est ce que je peux faire pour me sortir ça de la tête, j'ai trop honte, je ne pourrai plus le regarder dans les yeux ou même être proche de lui.

Je soulève les vêtements qu'il y'avait sur le lit et je les porte.

Je suis habillée de la sorte,dans notre village les femmes ont souvent le ventre dehors donc ça me dérange pas, par contre il est interdit pour une femme de porter des bas, nous sommes toujours nue en dessous

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Je suis habillée de la sorte,dans notre village les femmes ont souvent le ventre dehors donc ça me dérange pas, par contre il est interdit pour une femme de porter des bas, nous sommes toujours nue en dessous...nous ne connaissons pas de sous-vêtements, ni de pantalon etc ...

J'enfile des sandales et j'suis prête, j'ouvre la porte et je vois Marco qui était prêt à frapper à la porte, sûrement pour me dire que monsieur Scappeloni m'attendait.

Nous sortons de la chambre et je me dirige vers les escaliers, arrivée à l'extérieur il m'emmène vers une petite voiture blanche,elle est magnifique et sûrement Cher.

Je vois Enzo juste devant celle-ci, occupé avec ce truc qu'ils appellent téléphone, je ne vois pas trop l'utilité de ce truc pour lui à part crier dans son micro, il le fait déjà en face alors pourquoi le faire aussi avec ce machin.

Finalement il s'en détache en remarquant ma présence et je le vois regarder cette partie de mon ventre laissé dehors.

Enzo:*regard noir* T'aurais pû un peu plus te couvrir au lieu de montrer ce qui m'appartient.

Moi:...

Enzo: rentrons on a plus de temps à perdre.

Le chauffeur vient alors m'ouvrir la portière et je rentre m'asseoir auprès d'Enzo. Nous démarrons et roulons un bon moment avant d'arriver au portail, et au même moment une énorme voiture noire se gare devant nous.

Je reconnais la personne qui descend mais ne dis aucun mot, je regarde Enzo et je le vois froncer les sourcils, il ordonne au chauffeur de descendre la vitre.

Enzo:*agacé* Qu'est ce que t'es venue faire ici ly?

Elle: *étonné* Quoiii, comment ça, d'abord la dernière fois tu ne m'as pas laissé parler à ta femme et là tu me demandes ce que je viens faire ici

Enzo:*souffle agacé* monte dans la voiture

Elle:*saute de joie* hiiii d'accord grand frère, vos désirs sont des ordres très cher.

Enzo: pffff pathétique, pas un seul mot dans la voiture pitié.

Elle: PROMISSSSSSSSS

Enzo: Putain ly tu fais exprès ou quoi

Elle: désolée

J'ai alors sortie un petit rire de ma bouche ce qui a étonné Enzo, il m'a regardé avec insistance alors arrêté puis il m'a attrapé la main et à déposé un baisé sur mes petits doigts.

Elle: Bon j'en ai marre elle s'est retourné et m'a regardé, moi c'est Lydia,mais bon mes proches m'appellent ly,la sœur de ton très cher mari*sourire*  la dernière fois tu n'arrivais pas à placer un seul mot avec moi, j'ai tout de suite compris que c'était mon frère qui te l'avais interdit pfff comment il peut être relou celui là.

Enzo:*regard noir* la ferme ly sérieusement ferme ta bouche.

Elle: orhhh allez laisse lui m'adresser la parole pitié elle est tellement belle.

Enzo: C'EST NON

Elle : stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp stp.

Enzo:Bonne ok t'as gagné t'es contente?

Elle: Merci grand frère.

Alors les gas je sais que c'est pénible d'attendre un nouveau chapitre tout le temps mais avec les études c'est chaud quand même, vous m'encouragez en partageant mon histoire, en commentant, en votant et en m'écrivant.
Vous êtes des vrais ❤️🫶🏽🫶🏽

Sa SoumiseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant