chapitre 12

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PDV Enzo:

Cette fille me met dans tous mes états, quand je l'a vois j'ai juste envie de me perdre en elle,malgré son jeune âge je ne peux m'empêcher de l'a traiter comme maintenant,son odeur,sa taille,ses yeux,ses cheveux... bref tout m'obsède chez elle.

C'est mon obsession, ma possession, mon objet et...ma femme.

***
Après avoir autant cogité sous la douche, je sors enfin et enroule ma serviette blanche autour de ma taille, je me dirige vers mon dressing en me rendant pas compte que madame était toujours dans la même position la tête baissée.

Je décide  de d'abord m'habiller puis aller vers elle, je rentre dans mon dressing enfile un tee-shirt noir et un jogging gris puis en ressort pour me diriger vers Aïcha.

Tout en m'approchant je remarque qu'elle pleure, je m'abaisse à sa hauteur lui attrape le menton pour lui relever la tête.

-Qu'est ce qui ne va pas?  elle me regarde de ses yeux noisettes et renifle.

- j...je... je ne sais pas...je me sens pas très bien.

Je savais très bien qu'elle mentait mais je ne voulais pas la brusquer je la porte et la dépose sur le lit,je me dirige vers la douche et lui fait couler un bain chaud.

Je retourne dans ma chambre et vais vers ma femme pour lui retirer ses vêtements quand j'attrape le bouton de sa chemise à Manche courte rouge je la sent frissonner, je lui fait autant d'effet? Ou a t-elle peur de moi? Bref je ne pense pas plus et continue à la déshabiller.

Elle reste inerte sans bouger, je ne comprend pas ce qui se passe pourquoi est-elle comme ça ? Je la porte (c'est étonnant, comment une personne peut avoir ce poids là ) et la conduit jusqu'à son bain où je la dépose.

Je la regarde elle est magnifique...tellement que j'ai envie de la prendre ici et maintenant, mais je préfère m'abstenir , je ne veux pas qu'elle pense que je suis allé l'épouser dans son village juste pour satisfaire mes pulsions sexuelles...bon c'était ça mon but mais plus maintenant parce que je suis tombé sur une personne qui fait sortir mon côté le plus mauvais ... Ma possession

***

PDV HAÏCHA:

Après le bain je me suis endormie dans les bras de monsieur scappeloni son odeur est tellement envahissante mais plaisante, quand j'ouvre les yeux je l'apperçoit entrain de m'observer, gênée je baisse la tête et ne bouge plus.

-Bonjour haïcha me dit-il de sa voix grave du matin

- Bonjour monsieur

Il se lève et se dirige vers la salle de bain, quant à moi je reste allongée sur lit toujours immobile, je l’entend faire de l’eau dans le grand trou qui nous sert de douche...quelques temps après il ouvre la porte de la salle de bain et se dirige vers moi.

- Tu comptes dormir toute la journée, il est déjà 12h et tu es encore couchée faudrait penser à prendre une douche et descendre manger.

- Oui monsieur lui répondis-je tout simplement

Je me relève tout doucement en sentant un violent mal de tête,j’attrape le côté gauche de ma tête en quittant mon lit et en allant prendre ma douche.

***Après avoir pris ma douche, je suis descendu prendre mon petit déjeuné avec monsieur scappeloni, il n’est pas resté plus longtemps et est allé au travail, il a dit qu’il passerait me prendre pour me faire un peu sortir alors je suis impatiente de voir où va-t’il m’emmener.

Depuis que je suis dans cette maison j'ai l'impression de ne plus avoir de vie, je ne fais absolument rien de mes journées à part manger et dormir,je me demande si je n'ai pas pris de kilos en plus depuis là.

(Il faut savoir que dans notre communauté les femmes doivent être mince et les filles en surpoids ne peuvent pas être mariées jusqu'à ce qu'elle perde leurs kilos en trop.)

Je suis assise sur un canapé du salon sans rien faire, je me demande bien si ma vie avec lui ne sera résumé qu'à ça, faire tout ce qu'il désire ne me dérange pas je suis sa femme pour ça, mais...ne suis tout d'abord un être vivant et je voudrai pouvoir m'exprimer,dire ce que je pense et faire ce que je veux. Aurons-nous des enfants ? J'espère que oui ça me sortira un peu de ma routine.

J'étais tellement plongée dans mes pensées que je n'ai pas entendu Maria arrivée.

-Madame Scappeloni, monsieur a appelé et il a demandé à ce que vous puissiez vous apprêtez

- Oh d'accord maria merci,vous a t'il dit où allions-nous ou ce que je devrai porter?

- Je vais m'en occuper aller prendre votre douche et autre, je vous rejoins dans trente minutes. Me dit-elle avec un sourire,le même sourire tendre que celui de ma mère.

C'est vraiment une boule d'amour cette femme, sans elle je n'aurai jamais pu tenir deux semaines enfermée ici, je suis habituée au bruit autour de moi alors...

Je mente prendre ma douche, j'entre dans la salle de bain et vais encore me brosser les dents parce que j'ai mangé, je fais couler mon bain et m'y plonge à l'intérieur de l'eau tiède et ferme mes yeux.

Ma famille me manque, j'aimerai tellement pouvoir changer les choses, maman ne m'a jamais dit qu'être mariée c'était ça, c'est vrai qu'on avait pas d'argent mais on était heureux dans notre village, j'aurai préféré ne pas me marier avec un étrangé.

Quand j'ouvre mes yeux je vois une grande silhouette contre les rebords de la porte, je sursaute avant de me rendre contre que ce n'était que monsieur Scappeloni, sa main droite dans la poche de pantalon et l'autre devant sa bouche tenant une cigarette.

Enzo :Je croyais avoir dit à Maria de te demander d'être prête quand j'arriverai

- Je me suis assoupie dans l'eau, je vous prie de m'excuser monsieur, maria ne m'a pas dit que vous viendriez aussi tôt

Enzo: Vous parlez enfin...j'aime vous entendre parlez, ça change un peu de d'habitude.

Il se retourne et se dirige vers la sortie en me laissant muette, je pensais qu'il ferait un truc,s'énerver ou me crier dessus mais non.

Il s'arrête un moment et me dit...

- il vous reste 10 min pour vous apprêtez sinon je te t'attrape, t'egorge et te donne à bouffer aux chiens, rappelle toi je déteste attendre.

Finalement j'ai trop vite parler, il sort enfin de la pièce et je me précipite pour allé m'habiller, Maria avait posé un de ces pantalons durs (jeans) et un haut, une lingerie sexy, et des chaussures fermées (basket.

Je retire ma serviette et la dépose sur le lit, quand tout coup  la porte s'ouvre sur monsieur Scappeloni qui sourit et avance à pas de loup.

   

Sa SoumiseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant