la dernière fois

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La visite est terminée, je vous épargne la description des toilettes. 

Nous nous posons sur son canapé, l'un en face de l'autre. Je le défi du regard de me rejoindre. Lui de même. Personne ne cède pour rejoindre l'autre. C'est alors que j'ai une idée. Un peu provocatrice je vous l'avoue. Je commence à me caresser l'intérieur des cuisses, de plus en plus haut pour que ma main arrive au-dessus de mon petit short en jean. Je ne m'arrête pas en si bon chemin et je me touche à travers l'épaisseur du jean puis continue en remontant sur mon haut moulant. Mes tétons pointent. Je le regarde. Il ne bouge pas mais se mords les lèvres.

- Tu ferais mieux de venir maintenant avant que je ne me fasse jouir... Lui-dis-je d'une voix sensuelle.

- Tu n'en es pas capable, tu es bien trop timide pour ça. Me répond-il

- Tu doutes de mes capacités là. Regarde ce que je fais... Je suis en train de d'humidifier mes doigts avec ma salive pour venir les frotter contre mon clitoris... Tu sais bien que je peux jouir en deux minutes et si je commence, je ne m'arrêterais pas pour...

Il craque, avance et me rejoins de mon côté du canapé. J'ai gagné.

- T'es chiante pesta-t-il, mais putain qu'est-ce que t'es sexy quand tu me parles comme ça.

Il m'embrasse intensément. Comme pour rattraper le temps qu'il avait perdu.
Nos baisers deviennent de plus en plus prononcés.
La chaleur nous envahit.
Nous avions tellement rêvé de ce moment.
Ce moment où nous pouvons nous embrasser, nous toucher, ressentir l'autre tout simplement.
Sa main passe dans mes cheveux et il m'installe sous lui.
Je peux déjà sentir son excitation à travers son jeans.
A mon tour, je caresse son visage, ses cheveux en l'embrassant langoureusement.
Il m'enlève mon haut et me caresse les tétons à travers le tissu fin de mon soutien-gorge.
Sa bouche embrasse et lèche délicatement mon cou, des frissons me parcourent, je crois rêver.

- Tu veux monter ou rester ici ? Me demanda-t-il en me dévorant du regard
- On monte. lui répondis-je sans hésitation.

Nous montons main dans la main. Nous savons très bien la suite des évènements.

Arrivés dans sa chambre, il me plaque contre le mur et maintient mes mains par-dessus ma tête.
Sa main glisse sur ma hanche droite. On s'embrasse longuement puis ses lèvres descendent tendrement le long de ma nuque, mon cou.
Il enlève sensuellement mon soutien-gorge et le balance par terre. Sa bouche descend jusque mes seins. Il lâche soudainement mes mains.

- Je t'interdis de me toucher, m'informa-t-il


Je tends ma main droite vers sa direction.

- Non.
Sa voix m'arrête brusquement.
Il me retourne contre le mur et m'inflige trois petites fessées.

- Ça t'apprendras à désobéir me lança-t-il.   

Je trouve ça existant.
Il glisse une main sur mes fesses pour me serrer contre lui, pour me la faire sentir.

Il me porte à son lit, retire mon jeans. Je le vois se déshabiller devant moi mais je ne peux le toucher.
C'est très dur de résister...

Ne tenant plus, je descends lentement le long de son torse jusqu'à être arrivé en bas, je contourne son sexe en déposant de doux baisers.
Sa peau sent la virilité.
Je le suce doucement, très fort puis de plus en plus vite.
Dans mes rêves, je l'entends me supplier d'arrêter pour me prendre maintenant.
Chose qu'il ne fait pas.
Monsieur prend du plaisir.

Il descend et son gland humide me caresse les tétons puis se reproche dangereusement de mon sexe.
Je le fixe du regard, droit dans les yeux.
Il fait de même.
La tension sexuelle monte entre nous.

Je sens son sexe caresser le haut de mes cuisses. Je laisse tomber ma tête en arrière et soupire de plaisir. Je ne veux pas qu'il s'arrête.

Mes jambes tremblent et ma respiration s'accélère lorsque je sens son gland s'introduire en moi.
Il fait exprès de ne pas me pénétrer entièrement.
Je le supplie de me faire l'amour.
Il entre.
Je peux sentir sa chaleur en moi.
Ses mouvements sont fluides et me pénètrent profondément.
Les vas et viens me procurent un immense plaisir.

Je grimpe désormais sur lui. Il n'a pas l'habitude d'être dominé.

Je prends son sexe et me l'introduit. Il pousse un gémissement lorsque je me cambre en arrière pour avoir une pénétration encore plus profonde.
Il dépose une main sur mon cou puis l'autre agrippant ma poitrine.
Elles sont chaudes.
Du bout des doigts, il titille mon téton. J'accélère le mouvement de mon bassin contre le sien.
Les frissons m'envahissent.
Il finit au plus profond de moi.

Nous avons reproduit ce schéma 4 fois en 24 heures.
La dernière fois était la meilleure, celle où nous savions que nous n'allions plus nous revoir.

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