Cœur Brûlé ( en correction)

Vingt-cinq : une nouvelle infiltrée.

Je range soigneusement mon arme sous les regards ébahis des autres personnes présent dans cette salle.

Je me retourne pour sortir, je ne vis pas à adan mais je croise Hares qui lui était plutôt amusé par la situation, je pouvait le voir a travers son sourire au coin, je change vite de vision quand les souvenirs de ce qui s'est passé tout à l'heure sont revenu.

Moi : ou es la voiture qui était garé ici ?

Gardien : monsieur Gonzales est parti il y'a quelques minutes.

Moi : merde vous serez pas ou je peut trouver un taxi ?

Gardien : il se fait tard je pense pas que vous allez en trouvez.

Moi : d'accord je vais au aller à pied alors, merci.

Gardien : faites attention à vous.

J'ai commencé à marcher.

Il faisait très sombre, J'allais arriver chez moi dans au moins une heure c'est-à-dire à 22h, je me demande très bien à quoi cette soirée a servi je voyais plus que des hommes que des femmes c'est-à-dire à Adan avait menti quand il avait dit que les hommes devaient être accompagné de femmes. à partir d'aujourd'hui je vais vraiment faire très attention avec lui.

Cela fait cinq minutes que je marche j'ai vraiment très mal aux pieds à cause de mes talons je n'arrive même pas à faire un pas de plus ma cheville se tord brutalement.

Moi : c'est pas possible.

J'enlève mes escarpins que je porte avec ma main droite tendit que ma main gauche tenait la train de ma robe.

Je me retourne je vois une voiture arrivée, je me met sur le trottoir.

Celle-ci s'arrête devant moi.

Un homme qui m'est inconnu sort de celle-ci.

L'homme : mademoiselle myra ?

Je sort mon arme de vitesse pour la pointer face à lui.

Moi : qui êtes vous ?

Il lève les bras en l'air.

L'homme : non non ne vous inquiétez pas, je suis juste chauffeur.

Je baisse mon arme.

Moi : qu'est-ce que vous voulez ?

L'homme : un monsieur m'a prévenu de vous emmener chez vous.

Moi : qui sa ?

L'homme : je ne le connaissais pas.

Moi : adan ?

L'homme : je pense que c'est lui mademoiselle.

Moi : ce batard, dit lui pas besoin je rentre seule.

J'avance pour partir.

L'homme : madame s'il vous plaît, même si vous voulez pas à cause de vos histoires personnelles je n'ai pas envie de rentré chez moi et de savoir que j'ai laisser une femme rentrer seule chez elle, et puis je risque de perdre mon travail.

Moi : c'est quoi votre nom ?

L'homme : Houssein.

Moi : d'accord je vais monter avec vous Houssein.

L'homme : merci, allez-y rentré.

Il m'ouvre la porte arrière.

Moi : merci.

Je viens d'enlever tout mes habits et après mettre démaquiller de me met dans mon lit et ouvre mon ordinateur portables pour faire quelques recherches.