Quarante-sept : Le journal intime.

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Harry styles : Sign of the times




Cette position de cuillère, m'aide à être beaucoup plus détendus et à me sentir en sécurité dans mon sommeil, et dans ces bras, et il le sait très bien. C'est bien pour sa qu'il le fait.

C'était notre première nuit ensemble.

Et là toute première ou je dormais paisiblement.

Les rayons de soleil rentre dans la chambre à travers ces immense baies vitrées, cette lumière perce les boucliers de mes yeux. Je me redresse et pose mes pieds nus par terre, le sol était gelé tandis que mon lit me retient sans vigueur en me rappelant que dehors, il faisait atrocement froid.

J'étais toujours vêtu d'une chemise sans bas, je regarde à côté de moi, Hares n'est pas présent. Je me lève en me demandant où il pouvait être.

C'est étrange comme sentiment, de me lever après m'être endormi avec quelqu'un, on pense directement à cette personne avant de dormir et au réveil.

En sortant de la chambre je découvrit les lieux avec la lumière du jours, je descends les escaliers en marbre noir pour rejoindre la cuisine qui était facile à trouver, c'était une cuisine américaine.

— vous êtes réveillé madame. Dit une voix qui me fait sursauter.

Je me retourne et vis une jeune femme âgée avec une tenu de ménage, robe noir accompagné d'un tablier blanc.

— qui êtes-vous ? Demandai-je en cachant mes jambes nus derrière le plateau de travail.

— Monsieur Alkez enfin...

Elle recula d'un pas.

— je suis Christine, Monsieur m'a engagé ici pour subvenir à vos besoin et de vous surveiller. Dit-elle en étirant ses lèvres.

Une femme de ménage pour moi ? Mais ce n'étais pas la peine enfin.

— ah je n'étais pas au courant, enchanté je m'appelle, Myra. Vous ne savez pas où il est par hasard ?

— non il est sorti tôt ce matin il ne m'a rien dit.

— d'accord merci.

— vous avez faim ? Vous voulez manger quelque chose en particulier ? demanda Christine aimablement.

— non merci, je ne digère pas très bien le matin.

— très bien.

Je remonte directement à l'étage prendre une douche et me rhabiller, je n'avais même pas de téléphone pour appeler Hares alors j'allais moi même me rendre chez les Antonov pour voir mon père.

Je m'apprêtais à sortir quand Christine m'arrêta et me dit :

— désolé mademoiselle mais... Monsieur nous a menacer... enfin précisé que je ne devais pas vous laisser sortir sans son autorisation. Me dit-elle gêné.

— pardon et pourquoi sans son autorisation ? Demandai-je en haussant les sourcils.

— je ne sais pas.

Cœur Brûlé ( en correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant